Laurent GUERBY a écrit :

« Les opérateurs pourraient déployer leur réseau jusqu'à un point
– regroupant environ un millier d'abonnés – à partir duquel il n'y
aurait plus qu'un seul réseau. La présence de l'Etat au capital
assurerait la neutralité technologique et la vision à long terme de
l'aménagement du territoire! » aurait ainsi expliqué au quotidien
économique les défenseurs de ce réseau mutualisé.

Pour France Télécom, il s'agit là ni plus ni moins d'une « soviétisation
de l'économie ». Or l'Élysée ne peut mettre en place son plan sans
France Télécom. D'où ces multiples réunions entre le PDG de l'opérateur
historique et le cabinet de Nicolas Sarkozy afin de trouver un accord.

Avoir privatisé France Télécom, au prix des suicides que l'on constate aujourd'hui, pour en arriver à ce point, c'est quand même le comble du ridicule !

--
Pierre


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