Author: tilman Date: Mon Nov 16 16:46:17 2015 New Revision: 1714630 URL: http://svn.apache.org/viewvc?rev=1714630&view=rev Log: PDFBOX-3110: add test files by Maruan Sahyoun
Added: pdfbox/trunk/pdfbox/src/test/resources/input/PDFBOX-3110-poems-beads.pdf (with props) pdfbox/trunk/pdfbox/src/test/resources/input/PDFBOX-3110-poems-beads.pdf-sorted.txt (with props) pdfbox/trunk/pdfbox/src/test/resources/input/PDFBOX-3110-poems-beads.pdf.txt (with props) Added: pdfbox/trunk/pdfbox/src/test/resources/input/PDFBOX-3110-poems-beads.pdf URL: http://svn.apache.org/viewvc/pdfbox/trunk/pdfbox/src/test/resources/input/PDFBOX-3110-poems-beads.pdf?rev=1714630&view=auto ============================================================================== Binary file - no diff available. Propchange: pdfbox/trunk/pdfbox/src/test/resources/input/PDFBOX-3110-poems-beads.pdf ------------------------------------------------------------------------------ svn:mime-type = application/pdf Added: pdfbox/trunk/pdfbox/src/test/resources/input/PDFBOX-3110-poems-beads.pdf-sorted.txt URL: http://svn.apache.org/viewvc/pdfbox/trunk/pdfbox/src/test/resources/input/PDFBOX-3110-poems-beads.pdf-sorted.txt?rev=1714630&view=auto ============================================================================== --- pdfbox/trunk/pdfbox/src/test/resources/input/PDFBOX-3110-poems-beads.pdf-sorted.txt (added) +++ pdfbox/trunk/pdfbox/src/test/resources/input/PDFBOX-3110-poems-beads.pdf-sorted.txt Mon Nov 16 16:46:17 2015 @@ -0,0 +1,71 @@ +Wer reitet so spät durch Nacht und Wind? +Es ist der Vater mit seinem Kind; +Er hat den Knaben wohl in dem Arm, +Er fasst ihn sicher, er hält ihn warm.Mein Sohn, was birgst du so bang dein Gesicht? +â +Siehst, Vater, du den Erlkönig nicht? +Den Erlenkönig mit Kronâ und Schweif? â +Mein Sohn, es ist ein Nebelstreif. ââDu liebes Kind, komm, geh mit mir! +Gar schöne Spiele spielâ ich mit dir; +Manchâ bunte Blumen sind an dem Strand, +Meine Mutter hat manch gülden Gewand.â âMein Vater, mein Vater, und hörest du nicht, +Was Erlenkönig mir leise verspricht? â +Sei ruhig, bleibe ruhig, mein Kind; +In dürren Blättern säuselt der Wind. ââWillst, feiner Knabe, du mit mir gehn? +Meine Töchter sollen dich warten schön; +Meine Töchter führen den nächtlichen Reihn +Und wiegen und tanzen und singen dich ein.â âMein Vater, mein Vater, und siehst du nicht dort +Erlkönigs Töchter am düstern Ort? â +Mein Sohn, mein Sohn, ich sehâ es genau: +Es scheinen die alten Weiden so grau. ââIch liebe dich, mich reizt deine schöne Gestalt; Dem Vater grausetâs; er reitet geschwind, +Und bist du nicht willig, so brauchâ ich Gewalt.â â Er hält in Armen das ächzende Kind, +Mein Vater, mein Vater, jetzt faÃt er mich an! Erreicht den Hof mit Mühe und Not; +Erlkönig hat mir ein Leids getan! â In seinen Armen das Kind war tot.ARGAN, seul dans sa chambre, assis, une table devant lui, compte des parties d'apothicaire avec +des jetons; il fait, parlant à lui-même, les dialogues suivants: +Trois et deux font cinq, et cinq font dix, et dix font vingt; trois et deux font cinq. +"Plus, du vingt-quatrième, un petit clystère insinuatif, préparatif et rémollient, pour amollir, humecter +et rafraîchir les entrailles de monsieur?" Ce qui me plaît de monsieur Fleurant, mon apothicaire, +c'est que ses parties sont toujours fort civiles. "Les entrailles de monsieur, trente sols." Oui; mais, +monsieur Fleurant, ce n'est pas tout que d'être civil; il faut être aussi raisonnable et ne pas +écorcher les malades. Trente sols un lavement! Je suis votre serviteur, je vous l'ai déjà dit; vous ne +me les avez mis dans les autres parties qu'à vingt sols; et vingt sols en langage d'apothicaire, +c'est-à -dire dix sols; les voilà , dix sols. +"Plus, dudit jour, un bon clystère détersif, composé avec catholicon double, rhubarbe, miel rosat, et +autres, suivant l'ordonnance, pour balayer, laver et nettoyer le bas-ventre de monsieur, trente sols." +Avec votre permission, dix sols. +"Plus, dudit jour, le soir, un julep hépatique, soporatif et somnifère, composé pour faire dormir +monsieur, trente-cinq sols." Je ne me plains pas de celui-là ; car il me fit bien dormir. Dix, quinze, +seize, et dix-sept sols six deniers. +"Plus, du vingt-cinquième, une bonne médecine purgative et corroborative, composée de casse +récente avec séné levantin, et autres, suivant l'ordonnance de monsieur Purgon, pour expulser et +évacuer la bile de monsieur, quatre livres. Ah! monsieur Fleurant, c'est se moquer: il faut vivre avec +les malades. Monsieur Purgon ne vous a pas ordonné de mettre quatre francs. Mettez, mettez trois +livres, s'il vous plaît. Vingt et trente sols. +"Plus, dudit jour, une potion anodine et astringente, pour faire reposer monsieur, trente sols." Bon, +dix et quinze sols. +"Plus, du vingt-sixième, un clystère carminatif, pour chasser les vents de monsieur, trente sols." +Dix sols, monsieur Fleurant. +"Plus, le clystère de monsieur, réitéré le soir, comme dessus, trente sols." Monsieur Fleurant, dix +sols. +"Plus, du vingt-septième, une bonne médecine, composée pour hâter d'aller et chasser dehors +les mauvaises humeurs de monsieur, trois livres." Bon, vingt et trente sols; je suis bien aise que +vous soyez raisonnable. +"Plus, du vingt-huitième, une prise de petit-lait clarifié et dulcoré pour adoucir, lénifier, tempérer et +rafraîchir le sang de monsieur, vingt sols." Bon, dix sols. +"Plus, une potion cordiale et préservative, composée avec douze grains de bézoard, sirop de +limon et grenades, et autres, suivant l'ordonnance, cinq livres." Ah! monsieur Fleurant, tout doux, +s'il vous plaît; si vous en usez comme cela, on ne voudra plus être malade; contentez-vous de +quatre francs. Vingt et quarante sols. Trois et deux font cinq, et cinq font dix et dix font vingt. +Soixante et trois livres quatre sols six deniers. +Si bien donc que, de ce mois, j'ai pris une, deux, trois, quatre, cinq, six, sept et huit médecines; +et un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf, dix, onze et douze lavements; et, l'autre mois, +il y avait douze médecines et vingt lavements. Je ne m'étonne pas si je ne me porte pas si bien +ce mois-ci que l'autre. Je le dirai à monsieur Purgon, afin qu'il mette ordre à cela. +Allons, qu'on m'ôte tout ceci. Il n'y a personne. J'ai beau dire: on me laisse toujours seul: il n'y a +pas moyen de les arrêter ici.(Il agite une sonnette pour faire venir ses gens.) +Ils n'entendent point, et ma sonnette ne fait pas assez de bruit. Drelin, drelin, drelin. Point +d'affaire. Drelin, drelin, drelin. Ils sont sourds... Toinette! Drelin, drelin, drelin. Tout comme si je ne +sonnais point. Chienne, coquine ! Drelin, drelin, drelin. J'enrage!(Il ne sonne plus, mais il crie.) +Drelin, drelin, drelin. Carogne, à tous les diables! Est-il possible qu'on laisse comme cela un +pauvre malade tout seul? Drelin drelin, drelin. Voilà qui est pitoyable! Drelin, drelin, drelin. Ah! +mon Dieu! Ils me laisseront ici mourir. Drelin, drelin, drelin. Propchange: pdfbox/trunk/pdfbox/src/test/resources/input/PDFBOX-3110-poems-beads.pdf-sorted.txt ------------------------------------------------------------------------------ svn:mime-type = text/plain Added: pdfbox/trunk/pdfbox/src/test/resources/input/PDFBOX-3110-poems-beads.pdf.txt URL: http://svn.apache.org/viewvc/pdfbox/trunk/pdfbox/src/test/resources/input/PDFBOX-3110-poems-beads.pdf.txt?rev=1714630&view=auto ============================================================================== --- pdfbox/trunk/pdfbox/src/test/resources/input/PDFBOX-3110-poems-beads.pdf.txt (added) +++ pdfbox/trunk/pdfbox/src/test/resources/input/PDFBOX-3110-poems-beads.pdf.txt Mon Nov 16 16:46:17 2015 @@ -0,0 +1,75 @@ +Wer reitet so spät durch Nacht und Wind? +Es ist der Vater mit seinem Kind; +Er hat den Knaben wohl in dem Arm, +Er fasst ihn sicher, er hält ihn warm.Mein Sohn, was birgst du so bang dein Gesicht? +â +Siehst, Vater, du den Erlkönig nicht? +Den Erlenkönig mit Kronâ und Schweif? â +Mein Sohn, es ist ein Nebelstreif. ââDu liebes Kind, komm, geh mit mir! +Gar schöne Spiele spielâ ich mit dir; +Manchâ bunte Blumen sind an dem Strand, +Meine Mutter hat manch gülden Gewand.â âMein Vater, mein Vater, und hörest du nicht, +Was Erlenkönig mir leise verspricht? â +Sei ruhig, bleibe ruhig, mein Kind; +In dürren Blättern säuselt der Wind. ââWillst, feiner Knabe, du mit mir gehn? +Meine Töchter sollen dich warten schön; +Meine Töchter führen den nächtlichen Reihn +Und wiegen und tanzen und singen dich ein.â âMein Vater, mein Vater, und siehst du nicht dort +Erlkönigs Töchter am düstern Ort? â +Mein Sohn, mein Sohn, ich sehâ es genau: +Es scheinen die alten Weiden so grau. ââIch liebe dich, mich reizt deine schöne Gestalt; +Und bist du nicht willig, so brauchâ ich Gewalt.â â +Mein Vater, mein Vater, jetzt faÃt er mich an! +Erlkönig hat mir ein Leids getan! â +Dem Vater grausetâs; er reitet geschwind, +Er hält in Armen das ächzende Kind, +Erreicht den Hof mit Mühe und Not; +In seinen Armen das Kind war tot.ARGAN, seul dans sa chambre, assis, une table devant lui, compte des parties d'apothicaire avec +des jetons; il fait, parlant à lui-même, les dialogues suivants: +Trois et deux font cinq, et cinq font dix, et dix font vingt; trois et deux font cinq. +"Plus, du vingt-quatrième, un petit clystère insinuatif, préparatif et rémollient, pour amollir, humecter +et rafraîchir les entrailles de monsieur?" Ce qui me plaît de monsieur Fleurant, mon apothicaire, +c'est que ses parties sont toujours fort civiles. "Les entrailles de monsieur, trente sols." Oui; mais, +monsieur Fleurant, ce n'est pas tout que d'être civil; il faut être aussi raisonnable et ne pas +écorcher les malades. Trente sols un lavement! Je suis votre serviteur, je vous l'ai déjà dit; vous ne +me les avez mis dans les autres parties qu'à vingt sols; et vingt sols en langage d'apothicaire, +c'est-à -dire dix sols; les voilà , dix sols. +"Plus, dudit jour, un bon clystère détersif, composé avec catholicon double, rhubarbe, miel rosat, et +autres, suivant l'ordonnance, pour balayer, laver et nettoyer le bas-ventre de monsieur, trente sols." +Avec votre permission, dix sols. +"Plus, dudit jour, le soir, un julep hépatique, soporatif et somnifère, composé pour faire dormir +monsieur, trente-cinq sols." Je ne me plains pas de celui-là ; car il me fit bien dormir. Dix, quinze, +seize, et dix-sept sols six deniers. +"Plus, du vingt-cinquième, une bonne médecine purgative et corroborative, composée de casse +récente avec séné levantin, et autres, suivant l'ordonnance de monsieur Purgon, pour expulser et +évacuer la bile de monsieur, quatre livres. Ah! monsieur Fleurant, c'est se moquer: il faut vivre avec +les malades. Monsieur Purgon ne vous a pas ordonné de mettre quatre francs. Mettez, mettez trois +livres, s'il vous plaît. Vingt et trente sols. +"Plus, dudit jour, une potion anodine et astringente, pour faire reposer monsieur, trente sols." Bon, +dix et quinze sols. +"Plus, du vingt-sixième, un clystère carminatif, pour chasser les vents de monsieur, trente sols." +Dix sols, monsieur Fleurant. +"Plus, le clystère de monsieur, réitéré le soir, comme dessus, trente sols." Monsieur Fleurant, dix +sols. +"Plus, du vingt-septième, une bonne médecine, composée pour hâter d'aller et chasser dehors +les mauvaises humeurs de monsieur, trois livres." Bon, vingt et trente sols; je suis bien aise que +vous soyez raisonnable. +"Plus, du vingt-huitième, une prise de petit-lait clarifié et dulcoré pour adoucir, lénifier, tempérer et +rafraîchir le sang de monsieur, vingt sols." Bon, dix sols. +"Plus, une potion cordiale et préservative, composée avec douze grains de bézoard, sirop de +limon et grenades, et autres, suivant l'ordonnance, cinq livres." Ah! monsieur Fleurant, tout doux, +s'il vous plaît; si vous en usez comme cela, on ne voudra plus être malade; contentez-vous de +quatre francs. Vingt et quarante sols. Trois et deux font cinq, et cinq font dix et dix font vingt. +Soixante et trois livres quatre sols six deniers. +Si bien donc que, de ce mois, j'ai pris une, deux, trois, quatre, cinq, six, sept et huit médecines; +et un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf, dix, onze et douze lavements; et, l'autre mois, +il y avait douze médecines et vingt lavements. Je ne m'étonne pas si je ne me porte pas si bien +ce mois-ci que l'autre. Je le dirai à monsieur Purgon, afin qu'il mette ordre à cela. +Allons, qu'on m'ôte tout ceci. Il n'y a personne. J'ai beau dire: on me laisse toujours seul: il n'y a +pas moyen de les arrêter ici.(Il agite une sonnette pour faire venir ses gens.) +Ils n'entendent point, et ma sonnette ne fait pas assez de bruit. Drelin, drelin, drelin. Point +d'affaire. Drelin, drelin, drelin. Ils sont sourds... Toinette! Drelin, drelin, drelin. Tout comme si je ne +sonnais point. Chienne, coquine ! Drelin, drelin, drelin. J'enrage!(Il ne sonne plus, mais il crie.) +Drelin, drelin, drelin. Carogne, à tous les diables! Est-il possible qu'on laisse comme cela un +pauvre malade tout seul? Drelin drelin, drelin. Voilà qui est pitoyable! Drelin, drelin, drelin. Ah! +mon Dieu! Ils me laisseront ici mourir. Drelin, drelin, drelin. Propchange: pdfbox/trunk/pdfbox/src/test/resources/input/PDFBOX-3110-poems-beads.pdf.txt ------------------------------------------------------------------------------ svn:mime-type = text/plain