Salut, Bon, je n'ai rien pu garder de la traduction d'Éric : ce donc tout nouveau. Vous pouvez le relire. Ce ne sera toutefois pas la dernière version puisque le fichier anglais n'est pas terminé...
En plus, si vous voulez connaître toutes les façons de booter n'importe quel système Debian compatible, ne vous gênez pas : ce texte est fait pour vous... recommandé *avant* de s'endormir ;-) Sinon, j'ai gardé firmware en attendant un consensus (au moins pour les boot-floppies ;-) ). Bon, Denis, tu peux comiter en attendant. Je corrige les fichiers précédents et je passerai à un autre fichier qu'après. Bonne nuit, PK -- |\ _,,,---,,_ Patrice KARATCHENTZEFF ZZZzz /,`.-'`' -. ;-;;,_ mailto:[EMAIL PROTECTED] |,4- ) )-,_. ,\ ( `'-' http://p.karatchentzeff.free.fr '---''(_/--' `-'\_)
<!-- $Id: inst-methods.sgml,v 1.19 2001/10/08 06:28:56 dwhedon Exp $ --> <!-- retain these comments for translator revision tracking --> <!-- Id of English canonical file : --> <!-- inst-methods.sgml,v 1.119 2002/04/09 15:27:56 --> <!-- Transl. update by [EMAIL PROTECTED] --> <!-- Transl. update by [EMAIL PROTECTED] --> <chapt id="install-methods">Méthodes pour installer Debian <sect>Jeu de cédéroms &debian; officiels <p> La méthode la plus aisée pour installer &devian; est sûrement celle à partir du jeu de cédéroms officiels (cf. <url id="&url-debian-cd-vendors;" name="Page des revendeurs de cédéroms">. Vous pouvez aussi télécharger les images ISO à partir du site de Debian et vous fabriquer votre propre jeu, si vous avez une connexion rapide et un graveur. Si vous possédez un jeu de cédéroms et que votre cédérom est amorçable sur votre machine, vous pouvez aller directement à <ref id="install-cd"> un effort particulier a été apporté pour s'assurer que les fichiers que la plupart des gens ont besoin sont présents sur le cédérom. <p> Si votre machine ne supporte pas l'amorçage à partir du cédérom, vous pouvez utiliser une autre stratégie (<![ %not-s390 [ disquettes,]]> <![ %s390 [ bande, bande simulée,]]>, disque dur ou bien amorçage depuis le réseau) pour initialiser le système d'installation. Les fichiers requis pour amorcer de ces autres façons sont aussi sur le cédérom l'archive réseau de Debian et l'organisation des répertoires du cédérom sont identiques. Ainsi, lorsqu'un chemin d'archive est demandé pour un fichier particulier requis pour amorcer, cela le recherche dans le même répertoire ou sous-répertoire de votre cédérom. <p> Une fois amorcé l'installateur, il est capable d'obtenir tous les autres fichiers nécessaires à partir du cédérom. <p> Si vous n'avez pas de jeu de cédéroms, il vous sera nécessaire de télécharger les fichiers du système d'installation et de les placer sur votre disque dur, <![ %not-s390 [ sur une disquette]]> <![ %s390 [ sur une bande d'installation]]> ou sur un ordinateur connecté que vous pourrez utiliser pour amorcer l'installateur. <sect>Télécharger les fichiers depuis les miroirs Debian <p> Lorsque vous téléchargez les fichiers depuis un miroir Debian, assurez-vous de bien être en mode <em>binaire</em> et non en mode texte ou en mode automatique. C'est très important pour répliquer fidèlement la structure des répertoires qui se trouve sur le miroir afin de créer un « sous-miroir » local. <![ %not-s390 [ Il est vraiment nécessaire de faire cela si vous placez ces fichiers sur une disquette ; mais il est toujours plus facile d'aller chercher les fichiers au fur et à mesure que vous en avez besoin.]]> Vous devrez commencer votre structure de répertoire local au niveau inférieur à <file>disks-&architecture;</file>, par exemple : <example> current/<var>sub-architecture</var>/images-1.44/<var>flavor</var>/rescue.bin </example> <p> Il n'est pas nécessaire de télécharger tous les fichiers à partir de ce niveau, juste ceux qui vous concernent (vous trouverez plus loin comment les déterminer). Il faut simplement que les répertoires aient le même nom que ceux du miroir et de garder chaque fichier dans son répertoire d'origine. <p> Si votre machine est configurée pour décompresser ou décoder les fichiers téléchargés, vous devez annuler cette option lorsque vous téléchargez les fichiers d'installation. Les installer ainsi vous ferait perdre de la place sur votre système et si les archives compressés originales sont abîmées par le programme de décompression, elles manqueront lorsque l'installateur en aura besoin. <![ %powerpc %m68k [ <p> Ceci est tout particulièrement vrai avec les Macintosh où les fichiers .bin sont vus comme des fichiers binaire Mac (« MacBinary ») et les tentatives du décodeur pour les convertir échoue avec fracas. C'est pourquoi la plupart des fichiers binaires de Linux et de yaboot sont automatiquement interprétés comme du texte, car ils n'ont pas de nom d'extension de fichier, même si vous les avez correctement télécharger en mode binaire. Ces fichiers seront <em>inutilisables</em> si vous les avez transférés en mode texte.]]> <sect1>Options d'installation <![ %m68k [ <p> Pour les m68k (à l'exception de VME), les fichiers d'installation système (<file/rescue.bin, linux.bin, root.bin/ et <file/drivers.tgz/) ont été compilé en une seul archive tar (« tarball »). Il se peut que vous ayez aussi besoin du fichier du système d'installation de base <file/basedebs.tar/. <p> Si vous avez une connexion Ethernet fonctionnelle sur votre ordinateur et que votre carte Ethernet est une de celles incluses dans le noyau d'insatllation, vous n'aurez alors besoin que de l'archive tar du système d'installation. <p> Si vous installez Debian GNU/Linux sur un ordinateur sans connexion réseau fonctionnelle, ou bien si votre connexion réseau se réduit à celle de PPP (via un modem) plutôt qu'à une connexion Ethernet, il vous sera alors nécessaire de télécharger <file/basedebs.tar/ avant de commencer l'installation. <![ %not-m68k [ <p> Les fichiers nécessaires peuvent se diviser en trois catégories <enumlist> <item> les fichiers nécessaires à l'amorçage su système d'installation (par exemple, <![ %not-s390 [ <file/rescue.bin/, <file/linux.bin/ et <file/root.bin/) ]]> <![ %s390 [ <file/kernel.debian/, <file/parmfile.debian/ et <file/initrd.debian/) ]]> <item> les fichiers que le système d'installation peut demander après avoir amorcé pour installer le noyau du système d'exploitation et les pilotes de périphérique (par exemple, <file/rescue.bin/ et <file/drivers.tgz/). <item> les fichiers d'installation du système de base (par exemple, <file/basedebs.tar/) </enumlist> <p> Si vous avez une connexion réseau Ethernet fonctionnelle et que votre carte Ethernet est une de celle incluses dans le noyau d'installation, vous n'aurez besoin que des fichiers d'amorçage de l'installation. L'installateur est capable d'installer le noyau et les pilotes de réseau de très nombreuses cartes Ethernet communes. <p> Si vous avez une connexion Ethernet non supportée nativement par l'installateur, vous aurez alors à installer à la fois les fichiers d'amorçage du système, le fichier noyau et les fichiers d'installation des pilotes de périphériques. <p> Si vous installez Debian GNU/Linux sur un ordinateur sans connexion réseau fonctionnelle, ou bien si votre connexion réseau se réduit à celle de PPP (via un modem) plutôt qu'à une connexion Ethernet, il vous sera alors nécessaire de télécharger les trois types de fichiers avant de commencer l'installation. <p> Si vous n'êtes pas sûr des fichiers qu'il vous faut, commencez simplement par les fichiers d'amorçage système. Si votre première tentative pour configurer le réseau avec l'installateur échoue, vous pouvez tout simplement arrêter, aller chercher les fichiers manquants puis redémarrer l'installation. <p> le fichier d'installation système de base <file/basedebs.tar/ fait aujourd'hui environ 27 Mo. Il serait préférable d'utiliser un cédérom ou bien de configurer votre réseau avant d'installer le système de base ; dans ce cas, il n'est pas nécessaire de rapatrier ce fichier. L'emplacement sur le réseau où vous pourrez le trouver se trouve dans l'annexe (<ref id="base-images">). <p> Pour assembler une archive basedebs.tar sur un système Debian à partir d'une archive Debian, installez en premier <prgn/debootstrap/ (<tt/apt-get install debootstrap/). Ensuite, tapez la commande suivante : <example> debootstrap binary-basedebs SUITE=woody VERSION=3.0 \ MIRROR="http://ftp.debian.org/debian" ARCHES="&architecture;" </example> <sect1 id="kernel-choice">Choisir lejeu d'installation adéquat <p> <![ %i386 [ Les fichiers d'installation comprennent différentes images de noyau déclinés en « saveur ». Chaque saveur fait l'objet d'un support différent de matériel. <taglist> <tag>« vanilla » <item> Le noyau standard disponible pour Debian. Il inclut presque tous les pilotes supportés par Linux compilés comme modules, ce qui inclut les modules pour les périphériques réseau, SCSI, les cartes son, les périphériques Video4Linux, <em>etc.</em> la saveur « vanilla » comprend une &RESCUE-FLOPPY;, une disquette root et trois &DRIVER-FLOPPY;. <tag>« compact » <item> Ressemble à « vanilla » mais amputé de beaucoup de pilotes moins fréquemment utilisés (son, v41,<em>etc.</em>). De plus le support pour plusieurs cartes Ethernet PCI courantes est compilé dans le noyau — NE2000, 3com 3c905, Tulip, Via-Rhine et Intel EtherExpress Pro100. L'inclusion des ces pilotes directement dans le noyau vous permet de profiter de toute la puissance de l'option d'installation réseau de l'installateur Debian pour installer les &DRIVER-FLOPPY; et/ou le système de base à travers le réseau ; ainsi seuls les disques racine et sauvegarde ont besoin d'être faits. Enfin « compact » supporte également plusieurs contrôleurs RAID courant : DAC960, et Compaq SMART2 RAID. La saveur « compact » comprend une disquette de sauvegarde, une disquette root et une disquette de pilotes de périphériques. <tag>« idepci » <item> C'est un noyau ne supportant que les périphériques IDE et PCI (et quelques rares périphériques ISA). Ce noyau doit être utilisé si les pilotes SCSI des autres saveurs bloquent votre système au démarrage. (probablement à cause d'un conflit au niveau des ressources, ou un pilote/carte se comportant mal dans votre système). La saveur « idepci » inclut compilé dans son noyau le pilote ide-floppy vous permettant d'installer à partir de disques LS120 ou ZIP. <tag>« bf2.4 » <item> C'est une saveur expérimentale qui utilise une version spéciale du paquet kernel-image-2.4. Il contient du support pour certains nouveaux matériels qui n'existe dans les autres saveurs (plus stables). Elle supporte le maétriel USB, les contrôleurs IDE moderne, les systèmes de fichiers ext3 et Reiser. En comparaison du jeu de pilotes inclut dans les paquets kernel-image-2.4.x-yz, certains pilotes non essentiels ont été retirés de façon à conserver le même nombre de disquettes que pour les noyaux 2.2.x. Si vous avez besoin d'encore plus de pilotes ou d'optimisation pour votre type de microprocesseur, n'hésitez pas à un installer un paquet « officiel » de kernel-image-2.4.x-yz. Cette saveur est disponible avec une disquette root, une disquette de sauvegarde et quatre disquettes de pilotes. </taglist> <p> Bien que nous ayons décrit plus haut combien de disquettes 1,44 Mo occupent les différents jeux vous pouvez toujours choisir une autre méthode d'installation. <p> Les fichiers de configuration des noyaux pour ces saveurs peuvent être trouvés dans leur répertoire respectif sous un fichier nommé <file>kernel-config</kernel-config>. ]]> <![ %not-i386 [ <!-- only i386 has flavors --> Les fichiers d'installation comprennent des images du noyau qui sont disponibles sur des sous-architectures variées. Chaque sous-architecture supporte un jeu différent de matériel. Les sous-architectures disponibles pour &arch-title; sont : ]]> <![ %sparc [ <taglist> <tag>« sun4cmd » <item> C'est le noyau nécessaire au vieux matériel SPARC. Pour le support des modèles spécifiques, allez voir <ref id="supported-cpus">. <tag>« sun4u » <item> Machines UltraSPARC. </taglist> <p> Les fichiers de configuration du noyau pour ces sous-architectures peuevent être trouvées dans leur répertoire respectif dans le fichier nommé<file>kernel-config</file>. ]]> <![ %mipsel [ <taglist> <tag>« r4k-kn04 » <item> C'est le noyau nécessaire pour les DECstation 5000/150 à base de R4000 et toute machine similaire comme les DECstation 5000/260 à base de R4400. <tag>« r3k-kn02 » <item> C'est le noyau nécessaire pour les DECstation à base de R3000 et des cartes-mères KN02 (ou compatible) comme la série des DECstation 5000/1xx avec xx=20,25,33 et les DECstation 5000/240. </taglist> <p> Les fichiers de configuration du noyau pour ces sous-architectures peuevent être trouvées dans leur répertoire respectif dans le fichier nommé<file>kernel-config</file> ]]> <![ %mips [ <taglist> <tag>« r4k-ip22 » <item> C'est le noyau nécessaire aux machines SGI Indy, Indigo et Challenge. Le noyau comprend la plupart des pilotes supportés par Linux fournis sous forme de modules comme les pilotes de périphériques réseau, SCSI, <em>etc.</em>. Il n'y a pas d'autres saveurs disponibles à ce jour pour &arch-title;. </taglist> <p> Les fichiers de configuration du noyau pour ces sous-architectures peuevent être trouvées dans leur répertoire respectif dans le fichier nommé<file>kernel-config</file> ]]> <![ %hppa [ <taglist> <tag>« 32 » <item> C'est le noyau à utiliser pour les microprocesseurs 32 bits. C'est probablement le meilleur noyau à utiliser pour une installation sur les microprocesseurs utilisant les modes 32 bits et 64 bits. <tag>« 64 » <item> C'est le noyau à utiliser pour les microprocesseurs 64 bits. Il vaut probablement mieux utiliser le noyau 32 bits lors d'une installation sur les microprocesseurs utilisant les modes 32 bits et 64 bits. </taglist> <p> Ces noyaux comprennent presque tous les pilotes supportés par Linux fournis sous forme de modules comme les périphériques réseau, SCSI, <em>etc</em>. Le support pour le matériel standard est compilé en statique dans le noyau donc il n'est pas nécessaire de configurer ces modules lors de l'installation. <p> Les fichiers de configuration pour ces saveurs peuvent être trouvés dans leur répertoire respectif dans un fichier appelé <file>config.gz</file>. ]]> <![ %s390 [ <taglist> <tag>« tape » <item> Ceci inclut une image du noyau qui supporte l'amorçage (IPL) à partir d'une bande (émulée ou réelle) et un DASD (« Direct Access Storage Device », un Accès Direct à un Périphérique de Stockage, NdT). Vous avez besoin de ces fichiers si vous voulez installer &debian: normalement ou bien sur une LPAR (partition logique) mais ils peuvent aussi être utilisés pour l'installation sous VM avec une bande (réelle ou émulée). <![ %FIXME [ <p><em>FIXME: what about the nolabel kernel?</em> ]]> <tag>« vmrdr » <item> Ceci inclut une image du noyau qui supporte d'amorcer (IPL) à partir d'un lecteur VM et un DASD. Ces fichiers ne sont à utiliser que si vous désirez installer &debian; dans une invite VM. </taglist> <p> Ces noyaux comprennent presque tous les pilotes supportés par Linux fournis sous forme de modules. Le support pour le matériel standard est compilé en statique dans le noyau donc il n'est pas nécessaire de configurer ces modules lors de l'installation <p> La plupart de ces noyaux sont aussi construits pour supporter directement les modules OCO d'IBM. Vous pouvez les télécharger directement depuis le site d'IBM <url id="&url-s390-developerworks;" name="devloperWorks"> et les charger dans le noyau qui fonctionne. Assurez-vous de choisir les modules pour le noyau standard, <em>i.e.</em> pas ceux pour un noyau avec une rustine « sur mesure » du <em>timer</em>. ]]> <![ %powerpc [ <taglist> <tag>« powermac » <item> C'est le noyau à utiliser pour la plupart des ordinateurs Macintosh Power ; c'est une version 2.2 du noyau Linux. <tag>« new-powermac » <item> Utilisez ces noyaux pour les ordinateurs Macintosh les plus récents ; ils sont basés sur la série des noyaux Linux 2.4. <tag>« apus&nbps;» <item> Utilisez ces noyaux pour les systèmes basés sur Amiga « Amiga Power-UP Systems ») ; c'est une version 2.2 du noyau Linux. <tag>« chrp&nbps;» <item> Utilisez ces noyaux pour les ordinateurs embarqués CHRP c'est une version 2.2 du noyau Linux. <tag>« prep » <item> Utilisez ces noyaux pour les ordinateurs Motorola et IBM RS/6000 PreP ; c'est une version 2.2 du noyau Linux. <p> Les fichiers de configuration pour ces saveurs peuvent être trouvés dans leur répertoire respectif dans un fichier appelé <file>config.gz</file>. ]]> <![ %arm [ Il n'y a qu'une seule installation de noyau disponible pour chaque famille de machine ARM supportée. ]]> <![ %m68k %ia64 [ Il y a qu'un seul noyau d'installation de disponible pour &arch-title qui devrait comprendre suffisamment de fonctionnalités pour installer tous les systèmes. Il n'est malheureusement pas optimisé pour votre matériel en particulier et vous devrez considérer de le remplacer une fois l'installation achevée. En particulier, ce noyau ne supporte pas le SMP. <p> Les fichiers de configuration pour ces saveurs peuvent être trouvés dans leur répertoire respectif dans un fichier appelé <file>config.gz</file>. ]]> <sect1 id="where-files">Où trouver les fichiers d'installation <![ %m68k [ <p> Pour les Amiga, Atari et Mac à base de 68k, le système d'installation a été assemblé en une seule archive tar. Vous devrez télécharger l'archive appropriée dans la liste suivante : <ref id="amiga-install-files">, <ref id="atari-install-files"> et <ref id="mac-install-files">. Seules les machines VME devront utiliser les fichiers séparés de sauvegarde, de root et de noyau et pilotes. ]]> <p> Le lieu où vous pouvez télécharger les fichiers d'installation est écrit dans l'annexe. Ceci inclut : <taglist> <tag>&rescue-images; <item>rescue image <![ %rescue-needs-root-disk [ <tag>&root-images; <item>Image(s) root ou archive tar <tag><ref id="kernel-images"> <item> noyau binaire <tag><ref id="driver-images"> <item>images des pilotes ou archive tar <tag><ref id="base-images"> <item>Image du système de base ou archive tar </taglist> <p> <![ %not-powerpc [ L'image de la sauvegarde contient un noyau Linux d'amorçage compressé. Il est utilisé <![ %not-s390 [ à la fois par la disquette d'amorçage (lorsqu'il est mis sur une disquette) et comme une source]]> par le noyau Linux lorsque le noyau est en train d'être installé sur votre machine. Le noyau binaire <file>linux.bin</file> est un noyau binaire non compressé. Il est utilisé lorsque vous amorcez depuis l'installateur à partir <![ %not-s390 [ du disque dur ou bien du cédérom et il n'est pas nécessaire lorsque vous amorcez depuis une disquette.]]> <![ %s390 [d'une bande, d'une bande émulée ou bien d'un lecteur VM. ]]> ]]> <![ %mipsel [ De la même façon que le fichier <file>linux.bin</file> est un fichier au format ELF, le fichier <file>linux.ecoff</file> contient le même noyau au format ECOFF qui est nécessaire à l'amorçage par réseau des DECstation. <![ %powerpc[ Les deux images de disquette <file/boot-floppy-hfs/ et <file/rescue.bin/ contiennent un noyau Linux d'amorçage compressé. La disquette <file/boot-floppy-hfs/ est utilisé pour amorcer le système d'installation tandis que celle de <file/rescue.bin sert comme source lors du processus d'installation du noyau sur votre machine. La disquette <file/rescue.bin/ n'est pas amorçable sur &arch-title;. Une troisième image non compressée appelée simplement <file/linux.bin/ est utilisée lors de l'amorçage depuis un disque dur ou bien un cédérom. Elle n'est pas nécessaire lors de l'amorçage depuis l'installation par disquettes. ]]> <![ %not-s390 [ <p> Référez-vous à <ref id="create-floppy"> pour obtenir des informations importantes sur la création correcte de disquettes d'amorçage à partir des images de disquettes. <p> <![ %rescue-needs-root-disk [ L'image de la disquette root contient un système de fichiers compressé en RAMDISK qui se charge en mémoire après le démarrage de l'installateur. ]]> ]]> <p> Les pilotes de périphériques peuvent être téléchargé en tant qu'images de disquettes ou bien sous forme d'archive tar (<file>drivers.tgz</file>). Le système d'installation aura besoin d'accéder à ces pilotes durant l'installation. Si vous avez une partition de disque dur ou bien un ordinateur connecté qui pourrait être accessible depuis l'installateur (voir plus bas), l'archive tar sera plus facile à manipuler. Les fichiers d'image de disquettes ne seront nécessaire que si vous deviez installer les pilotes à partir de disquettes. <p> Lorsque vous téléchargez les fichiers, vous devez prendre garde <em>sur</em> quel type de système de fichiers vous téléchargez le noyau et les pilotes. L'installateur peut lire des fichiers depuis un très grand nombre de système de fichiers, incluant notamment FAT, HFS, ext2fs et Minix. Lorsque vous téléchargez les fichiers depuis un système de fichier *nix, choisissez les fichiers les plus gros de l'archive. <![ %i386 [ <p> L'installateur <em>ne peut pas</em> accéder aux fichiers placés sur un système de fichiers NTFS — vous devez charger le pilote approprié). <p> En plus des fichiers cités au-dessus, vous aurez besoin de &loadlin.exe; (<em>cf.</em> <ref id="rescue-images">). ]]> <![ %powerpc [ <p> L'installateur <em>ne peut pas</em> accéder aux fichiers placés sur un système de fichiers HFS+ ; Les PowerMac NewWorld utilisent tous HFS+ par défaut. Pour savoir si votre système de fichier en cours est HFS+, sélectionnez <tt>Lire les informations</tt> sur le volume en question. Le système de fichier HFS apparaît comme <tt>Mac OS Standard</tt> alors que HFS+ renvoie <tt>Mac OS Étendu</tt>.]]> <![ %alpha [ <p> Si vous décidez d'amorcer depuis une console firmware ARC en utilisant <prgn>MILO</prgn>, il vous sera nécessaire de préparer une disquette contenant <prgn>MILO</prgn> et <prgn>LINLOAD.EXE</prgn> à partir des images de disquettes adéquates. Référez-vous à <ref id="alpha-firmware"> sur les <em>firmwares</em> Alpha et les chargeurs d'amorçage. Les images de disquettes peuvent être trouvées dans le répertoire <file>MILO</file> sous le nom de <file>milo_<var>subarch</var>.bin</file>. <p> Malheureusement, ces images <prgn>MILO</prgn> n'ont pu être testées et peuvent ne pas fonctionnées sur quelques sous-architectures. Si c'est le cas pour vous, essayez de copier le fichier binaire <prgn>MILO</prgn> sur une disquette (<url id="&disturlftp;main/disks-alpha/current/MILO/">). Remarquez que ces programmes <prgn>MILO</prgn> ne supportent pas la version de ext2 avec les « sparse superblock; ». Vous ne pouvez donc pas les utiliser pour charger une version de noyau avec un système de fichiers très récents. Comme moyen de contournement, vous pouvez déposer votre noyau sur une partition FAT juste après le programme <prgn>MILO</prgn>. <p> Les binaires <prgn>MILO</prgn> sont spécifiques à chaque plateforme. Voyez <ref id="supported-cpus"> pour déterminer l'image appropriée de <prgn>MILO</prgn> pour votre plateforme Alpha. ]]> <p> Pendant l'installation, vous écraserez le(s) partition(s) sur la(es)quelle(s) vous installerez Debian juste avant de commencer l'installation. Tous les fichiers téléchargées doivent se trouver sur une <em>autre</em> partition que celle sur laquelle vous avez décidé d'installer le système. <![ %m68k [ <sect2 id="amiga-install-files">Fichiers d'installation pour AmigaOS <p> <enumlist> <item> À la place des fichiers de sauvegarde, du noyau et des pilotes ci-dessus, téléchargez simplement &amiga-install-tarball;. <item> Dépaquetez &amiga-install-tarball;. dans une partition ayant au moins 25 Mo de libre.Nous vous recommandons de le faire dans un répertoire appelé <file>debian</file>. L'archive &amiga-install-tarball; créera un sous-répertoire <file>amiga</file>. <item> Repérez le nom de la partition Linux où se trouve le répertoire <file>debian</file>. Voyez <ref id="disk-naming"> pour plus d'information sur la dénomination d'une partition Linux. </enumlist> <sect2 id="atari-install-files">Fichiers d'installation pour Atari TOS <p> <enumlist> <item> À la place des fichiers de sauvegarde, du noyau et des pilotes ci-dessus, téléchargez simplement &atari-install-tarball;. <item> Dépaquetez &atara-install-tarball;. dans une partition ayant au moins 25 Mo de libre.Nous vous recommandons de le faire dans un répertoire appelé <file>debian</file>. <item> Après dépaquetage, l'archive &atari-install-tarball; créera un sous-répertoire <file>atari</file>. Ne renommez aucun fichier dans ce répertoire. <item> Repérez le nom de la partition Linux où se trouve le répertoire <file>debian</file>. Voyez <ref id="disk-naming"> pour plus d'information sur la dénomination d'une partition Linux. </enumlist> <sect2 id="mac-install-files">Fichiers d'installation pour MacOS 68k <p> <enumlist> <item> À la place des fichiers de sauvegarde, du noyau et des pilotes ci-dessus, téléchargez simplement &mac-install-tarball;. <item> Après dépaquetage, l'archive &atari-install-tarball; créera un sous-répertoire <file>mac</file>. Ne renommez aucun fichier dans ce répertoire. <item> Repérez le nom de la partition Linux où se trouve le répertoire <file>debian</file>. Voyez <ref id="disk-naming"> pour plus d'information sur la dénomination d'une partition Linux. </enumlist> <!-- end of m68k --> ]]> <![ %powerpc [ <sect2 id="newworld-install-files">Fichiers d'installation pour MacOS NewWorld <p> Pour l'installation sans disquette sur les Mac NewWorld, il est peut-être plus simple d'obtenir tous les fichiers nécessaires empaquetés dans une archive Stuffit à partir de <url id="&url-powerpc-of;"> (les instructions séparées sont jointes dans l'archive). Sinon, rapatriez les fichiers normaux d'installation présentés précédemment. Déposez-les sur une partition HFS (et pas HFS+) de votre système. Vous aurez aussi besoin de <file>yaboot</file> et du fichier <file>yaboot.conf</file> placés dans le dossier archive <url id="&downloadable-file;new-powermac/" name="new-powermac"> ou <url id="&downloadable-file;powermac/" name="powermac">.]]> <![ %arm [ <sect2 id="riscpc-install-files">Fichiers d'installation pour RiscPC <p> L'installateur RiscPC est amorcé initialement depuis RISC OS. Tous les fichiers nécessaires sont fournis sur une archive Zip. <sect2 id="netwinder-install-files">Fichiers d'installation pour NetWinder <p> <sect2 id="cats-install-files">Fichiers d'installation pour CATS <p> ]]> <![ %not-s390 [ <sect id="create-floppy">Créer des disquettes depuis des images disque <p> Les disquettes d'amorçage sont la plupart du temps utilisées pour amorcer le système d'installation des machines depuis un lecteur de disquettes. On peut aussi les utiliser pour installer le noyau et les pilotes sur la plupart des systèmes. <![ %powerpc [ On note que l'amorçage par disquette sur Mac échoue sur les lecteurs de disquettes USB. ]]> <![ %m68k [ L'amorçage par disquette n'est pas supporté pour les Amiga et les Mac 68k. ]]> <![ %hppa [ L'amorçage par disquette n'est pas supporté pour les architectures PA/RISC. ]]> <![ %s390 [ L'amorçage par disquette n'est pas supporté pour les architectures S/390. ]]> <![ %arm [ L'amorçage par disquette n'est pas supporté pour les ARM.]]> <p> Les images disque sont des fichiers contenant l'ensemble du contenuu d'une disquette sous forme <em>brute</em>. Les images disques, comme <file>rescue.bin</file>, ne peuvent être copié de façon simple sur une disquette. Un programme spécial est utilisé pour copier les fichiers images sur des disquettes <em>tels quels</em>. Ceci est obligatoire car ces images sont l'exacte représentation du disque ; il faut donc recopier les données par <em>copie de secteurs</em> du fichier vers la disquette. <p> Il y a différentes méthodes pour créer des disquettes à partir d'images disque elles dépendent de votre plateforme. Cette partie décrit comment le faire sur les différentes plateformes <p> Quelque soit la manière dont vous les obtiendrez, n'oubliez pas d'apposer une étiquette sur chaque disquette créée de façon à vous assurer qu'elles ne seront pas endommagées non intentionnellement. <sect1>Écrire des images disques depuis Linux ou un système Unix <p> Pour écrire une image disque vers une disquette, vous aurez certainement besoin d'un accès super-utilisateur (root) sur votre système. Placez une bonne disquette vierge dans le lecteur. Ensuite, tapez la commande suivante : <example> dd if=<var>fichier</var> of=/dev/fd0 bs=1024 conv=sync ; sync </example> où <var>fichier</var> est un des fichiers images disques de disquette. <file>/dev/fd0</file> est généralement le nom utilisé pour le lecteur de disquette. Cela peut être différent sur une station de travail (sur Solaris, c'est <file>/dev/fd/0</file>). Il se peut que vous récupériez la main avant que votre système Unix n'ait fini d'écrire la disquette, aussi, assurez-vous que le signal lumineux activé lors du fonctionnement du lecteur soit bien éteint et que la disquette ne tourne plus avant de la sortir. Sur certains système, vous devez utiliser une commande pour éjecter la disquette du lecteur (sur Solaris, utilisez <prgn>eject</prgn> et lisez la page de manuel associée). <p> Certains systèmes tentent de monter automatiquement la disquette lorsque vous la placer dans le lecteur. Vous devrez désactiver cette option sinon la station de travail ne vous permettra pas d'écrire des données <em>brutes</em> (« raw mode ») sur la disquette. Malheureusement, la façon de le faire varie considérablement suivant le système d'exploitation. Sur Solaris, vous pouvez configurer le gestionnaire de volumes pour autoriser les accès directs sur les disquettes (utilisez <prgn>volcheck</prgn> ou une commande équivalente dans le gestionnaire de fichiers). Ensuite, utilisez la commande <prgn>dd</prgn> avec la forme donnée un peu au-dessus en remplaçant simplement <file>/dev/fd0</file> par <file>/vol/rdsk/<var>floppy_name</var></file>, où <var>floppy_name</var> est le nom donné au lecteur de disquettes lors de sa création (les lecteurs non nommés ont un nom générique <file>unnamed_floppy</file>). Sur les autres systèmes, voyez avec votre administrateur système. <sect1>Écrire des images disques depuis DOS, Windows ou OS/2 <![ %workaround-bug-99926 [ <p> <!-- &rawrite2.exe; this file is currently broken --> Si vous avez accès à une machine i386, vous pouvez utiliser un des programmes suivants pour copier les images sur les disquettes. <!-- links from 99926 info --> <p> Les programmes FDVOL, WrtDsk ou RaWrite3 peuvent être utilisés sous MS-DOS. <p> <url id="http://www.minix-vmd.org/pub/Minix-vmd/dosutil/"> <p> Pour utiliser ces programmes, assurez-vous d'abord d'amorcer votre système sous DOS. Essayez de les utiliser depuis une fenêtre DOS sous Windows ou bien double-cliquer dessus depuis l'explorateur de Windows ne devrait <em>pas</em> les faire fonctionner. Si vous ne savez pas amorcer DOS, tapez simplement sur F8 lors de l'amorçage du système. <!-- snip le commentaire sur rawrite2 en attendant une MAJ PK --> <p> NTRawrite est un essai pour créer une version moderne de Rawrite/Rawrite3 qui serait compatible à la fois sous WinNT, Win2K et Win95/98. C'est une application graphique auto-documentée ; vous sélectionnez le lecteur de disquettes sur lequel écrire, puis sélectionnez l'image disque que vous désirez placer à cet endroit et appuyez sur le bouton d'écriture. <p> <url id="http://sourceforge.net/projects/ntrawrite/"> <sect1 id="set-lang"> <heading> Modifier la disquette de sauvegarde pour supporter les langages nationaux </heading> <p> Les messages montrées par la disquettes de sauvegarde (avant de charger le noyau Linux) peuvent être écrits dans votre langue maternelle. Pour ce faire si vous n'êtes pas anglophone, après avoir écrit le fichier image, vous devez copier les fichiers de messages et une fonte sur la disquette. Pour les utilisateurs de MS-DOS et Windows, il y a un fichier batch <file>setlang.bat</file> dans le répertoire <file>dosutils</file> pour copier les bons fichiers. Entrez simplement dans le bon répertoire (<em>i.e.</em> <tt>cd c:\debian\dosutils</tt> et exécutez tout simplement après l'invite de commandes Windows <tt>setlang <var>lang</var></tt> , où <var>lang</var> est un code à deux lettres de votre langue en minuscule. Par exemple, <tt>setlang pl</tt> sert à configurer le polonais. Le code langage est disponible à : <example> &setlang-language-code-list; </example> Remarquez que les indications de ce manuel sont basées sur une installation en français ; sinon, les noms des menus et boutons différeront de ce que vous verrez sur votre écran. <![ %m68k [ <sect1>Écrire des images disque depuis les systèmes Atari <p> Vous trouverez le programme &rawwrite.ttp; dans le même répertoire que celui des images disques des disquettes. Lancez le programme en double-cliquant sur son icône&nbps; entrez alors le nom du fichier image disque que vous voulez écrire sur la disquette lors de l'invite de commande du programme TOS dans la boîte de dialogue. <sect1>Écrire des images disque depuis les systèmes Macintosh <p> Veuillez lire le document &mac-install-docs; pour obtenir de plus amples informations. <![ %FIXME [ le fichier mac/debian-mac.txt a besoin d'être intégré dans ce document ]]> <!-- snip le commentaire --> <p> Il n'existe d'applications MacOS pour écrire les images <file>mac/images-1.44/rescue.bin</file> et <file>mac/images-1.44/driver.bin</file> sur les disquettes (et cela tant que l'on ne pourra pas les utiliser pour amorcer le système d'installation ou les installer le noyau et ses pilotes sur un Macintosh). Dans tous les, ces fichiers sont nécessaires pour l'installation du système d'exploitation et de ses modules plus loin dans le processus d'installation. ]]> <![ %powerpc [ <sect1>Écrire des images disque depuis MacOS <p> Un script Apple (« AppleScript »), <prgn/Make Debian Floppy/, est disponible pour écrire les disquettes à partir des fichiers images disques disponibles. Vous pouvez le télécharger à partir de <url id="ftp://ftp2.sourceforge.net/pub/sourceforge/debian-imac/MakeDebianFloppy.sit">. Pour l'utiliser, décompressez-le sur votre bureau et glissez n'importe quelle image dessus. Vous devez avoir AppleScript d'installé et configuré dans votre gestionnaire d'extensions. La copie de disque vous demandera une confirmation si vous désirez écraser le contenu de la disquette et effectuez l'écriture du fichier image dessus. <p> Vous pouvez aussi utiliser l'utilitaire MacOS <prgn>Copie disque</prgn> directement ou bien le graticiel <prgn>suntar</prgn>. Le fichier <file>root.bin</file> est un exemple d'image de disquette. Utilisez une des méthodes suivantes pour créer une disquette à partir des images de disquettes avec l'un de ces utilitaires. <sect2>Écrire des images disque avec <prgn>Copie disque</prgn> <p> <enumlist> <item> Téléchargez <url id="&url-powerpc-creator-changer;" name="Creator-Changer"> et utilisez-le pour ouvrir le fichier <file>root.bin</file>. <item> Changer le « Creator » en <tt>ddsk</tt> (<em>Disk copy</em>) et le « Type » en <tt>DDim</tt> (image de disquette binaire). Ces champs sont sensibles à la casse. <item> <em>Important :</em> Dans le Finder, utilisez <tt>Obtenir des informations</tt> pour afficher les informations du Finder au sujet des images de disquettes et utilisez « X » dans la boîte de dialogue <tt>Fichiers bloqués</tt> sinon MacOS ne sera pas capable de retirer les secteurs d'amorçage si l'image est montée par accident. <enumlist> <item> Téléchargez <prgn>Copie disque</prgn> si vous avez un système MAcOS ou un cédérom, il devrait déjà être présent, sinon essayez <url id="&url-powerpc-diskcopy;">. <item> Lancez <prgn>Copie disque</prgn> puis sélectionnez « Fabriquer une disquette » dans le menu <tt>Utilités</tt>. Sélectionnez ensuite le fichier images <em>bloqué</em> à partir de la fenêtre résultante. Il vous sera demandé ensuite d'insérer une disquette puis si vous voulez l'effacer. Lorsque l'opération est terminée, la disquette sera éjectée. </enumlist> <sect2>Écrire des images disque avec <prgn>suntar</prgn> <p> <enumlist> <item> Téléchargez <prgn>suntar</prgn> à partir de <url id="&url-powerpc-suntar;">. Lancez ensuite le programme <prgn>suntar</prgn> et sélectionnez « Réécrire sur les secteurs...&nbps;» à partir du menu <tt>Spécial</tt>. <item> Insérez ensuite la disquette comme demandée puis tapez sur la touche Entrée (cela commence au secteur 0). <item> Sélectionnez le fichier <file>root.bin</file> dans la boîte de dialogue de sélection des fichiers. <item> Après que les disquettes aient été créées avec succès, cliquez sur « éjection » dans le menu <tt>Fichier</tt>. S'il y a des erreurs lors de la copie de la disquette, débarrassez-vous en tout simplement et essayez avec une autre. </enumlist> Avant d'utiliser la disquette que vous venez de créer, assurez-vous de <em>bien la protéger en écriture</em> ! Sinon, si vous la montez accidentellement sous MacOS, ce dernier l'abîmera irrémédiablement. ]]> <![ %bootable-disk [ <sect id="boot-drive-files">Préparer les fichiers pour amorcer depuis un disque dur <p> L'installateur peut être amorcé depuis les fichiers d'amorçage placés sur une partition existante de votre disque dur ou bien lancé depuis un autre système d'exploitation ou en invoquant un chargeur d'amorçage depuis le BIOS. <![ %i386 [ <p> L'installateur ne peut amorcer depuis ces fichiers à partir d'un système de fichiers NTFS. ]]> <![ %powerpc [ <p> L'installateur ne peut amorcer depuis ces fichiers à partir d'un système de fichiers HFS+. Ce système de fichiers peut être utilisé par le système MacOS 8.1 et suivants ; les PowerMac NewWolrd utilisent tous HFS+. Pour savoir quel type de système de fichiers est présent sur votre système, sélectionnez <tt>Lire les informations</tt> sur le volume en question. Les systèmes de fichiers HFS apparaissent alors comme <tt>Mac OS Standard</tt> tandis que ceux en HFS+ renvoient <tt>Mac OS Étendu</tt>. Vous devez avoir une partition HFS pour échanger des fichiers entre MacOS et Linux, en particulier les fichiers d'installation que vous avez téléchargé. <p> On utilise différents programmes pour l'installation sur disque dur suivant si votre système est modèle « NewWorld » ou un modèle « OldWorld ». <sect1 id="files-oldworld">Amorçage de l'installateur sur disque dur pour les Mac OldWorld. <p> la disquette <file/boot-floppy-hfs/ utilise le programme <prgn>miBoot</prgn> pour lancer l'installation de Linux mais on ne peut pas l'utiliser facilement pour amorcer depuis le disque dur. Le programme <prgn>BootX</prgn> (<url id="&url-powerpc-bootx;">) lancé depuis MacOS supporte l'amorçage depuis des fichiers situés sur un disque dur. On peut aussi utiliser <prgn>BootX</prgn> pour chargement au choix MacOS et Linux après que votre installation de Debian ait été achevée. <p> Téléchargez et décompactez la distribution <prgn/BootX/ que vous pouvez obtenir à partir de <url id="http://ppclinux.apple.com/~benh"> ou bien dans le répertoire <file>dists/woody/main/disks-powerpc/current/powermac</file> sur un des miroirs http/ftp ou sur les cédéroms officiels de Debian. Utilisez <prgn/Stuffit Expander/ pour l'extraire de son archive. À l'intérieur de ce paquet, vous trouverez un dossier vide appelé <file/Linux Kernels/. Téléchargez <file/linux.bin/ et <file/ramdisk.image.gz/ depuis le dossier <file>disks-powerpc/current/powermac</file> et placez-les dans le dossier <file/Linux Kernels/. Placez ensuite le dossier <file/Linux Kernels/ dans le dossier système actif. <sect1 id="files-newworld">Amorçage de l'installateur sur disque dur pour les Mac NewWorld. <p> Les PowerMac NewWolrd supportent l'amorçage depuis le réseau ou bien un cédérom ISO9660 aussi bien que depuis le chargement de binaires au format ELF depuis le disque dur. Ces machines amorceront Linux directement depuis <prgn>yaboot</prgn> qui supporte le chargement du noyau et du ramsdik directement depuis une partition ext2 aussi bien qu'un amorçage multiple avec MacOS. La possibilité de démarrer l'installateur depuis un disque dur est particulièrement approprié pour les nouvelles machines dépourvues de lecteur de disquettes.<prgn>BootX</prgn> n'est pas supporté et ne doit pas être utilisé pour les PowerMac NewWorld. <p> <em>Copiez</em> (et non pas déplacez) les quatre fichiers suivants que vous avez téléchargés depuis les archives Debian à la racine de votre disque dur (ceci peut se faire par glisser de chaque fichier sur l'icône du disque dur) : <list> <item><file/linux.bin/ <item><file/root.bin/ (depuis le dossier images-1.44 folder) <item><file/yaboot/ <item><file/yaboot.conf/ </list> <p> Notez quelque part le numéro de partition MacOS sur laquelle vous avez placé ces fichiers. Si vous possédez le programme MAcOS <prgn>pdisk</prgn>, vous pouvez utiliser la commande L pour vérifier le numéro de partition. Vous aurez besoin de taper ce numéro à l'invite de Open Firmware lorsque vous amorcerez l'installateur. <p> Pour amorcer l'installateur, procédez comme suit <ref id="boot-newworld">. <!-- end %powerpc --> ]]> <!-- end %bootable-disk --> ]]> <![ %supports-tftp [ <sect id="install-tftp">Préparer les fichiers pour amorcer depuis le réseau en TFTP. <p> Si votre machine est connecté à un réseau local, vous pouvez l'amorcer directement à travers le réseau à partir d'une autre machine en utilisant TFTP. Si vous décidez de le faire, les fichiers d'amorçage doivent être placés à un endroit spécifique sur cette machine et elle doit être configurée pour supporter l'amorçage de votre propre machine. <p> Vous devez configurer un serveur TFTP et pour les machines CATS, un serveur BOOTP <![ %supports-rarp [ ou un serveur RARP]]><![ %supports-dhcp [ ou un serveur DHCP]]>. <p> <![ %supports-rarp [ Le Protocole de Résolution Inverse d'Adresse (« Reverse address Resolution Protocol » ou RARP, NdT) est une solution pour dire à votre client quelle adresse IP utilisée pour lui-même. Une autre solution est d'utiliser le protocole BOOTP.]]><![ %supports-bootp [ BOOTP est un protocole IP qui informe un ordinateur de ses adresses IP et où obtenir sur le réseau une image d'amorçage. <![ %m68k [ Il existe désormais une autre solution pour les systèmes VMEbus : l'adresse IP peut être configurée manuellement dans la ROM d'amorçage.]]> ]]> <![ %supports-dhcp [ Le protocole DHCP (« Dynamic Host Configuration Protocole » ou Protocole de configuration dynamique des hôtes, NdT) est bien plus flexible, avec une extension compatible ascendante avec BOOTP. Certains système ne peuvent être configurés que via DHCP. <![ %powerpc [ <p> Pour les PowerPC, si vous avez une machine Macintosh Power NewWorld, il vaut mieux utiliser DHCP à la place de BOOTP. Certaines de ces dernières sont incapables d'amorcer en utilisant BOOTP. </p> ]]> ]]> <![ %alpha [ <p> Quelques vieilles machines HPPA (<em>i.e.</em> 715/75) utilise RBOOTD plutôt que BOOTP. Un paquet RBOOTD est disponible sur le site web de parisc-linux. ]]> <p> Le protocole de transfert de fichiers trivial (« Trivial Transfert File Protocol » ou TFTP, NdT) est utilisé pour transférer l'image d'amorçage au client. Théoriquement, n'importe quel serveur ou n'importe quelle plateforme qui implémentent ces protocoles peut être utilisés. Dans les exemples qui vont suivre dans cette partie, on donnera les commandes pour SunOS 4.x, SunOS 5.x (mieux connu sous le nom de Solaris) et GNU/Linux. <![ %supports-rarp [ <sect1 id="tftp-rarp">Configurer un serveur RARP <p> Pour configurer RARP, il vous faudra connaître l'adresse Ethernet du client (aussi nommée « adresse MAC »). Si vous n'avez pas cette donnée, vous pouvez <![ %sparc [ l'extraire des messages d'amorçage initiaux de l'OpenPROM, utilisez la commande OpenBoot <tt>.enet-addr</tt> ou ]]> amorcer en mode « sauvegarde » (<em>i.e</em> à partir de la disquette de sauvegarde) et utiliser la commande <tt>/sbin/ifconfig eth0</tt>. <p> Pour GNU/Linux, vous devez renseigner la table RARP du noyau. Pour ce faire, exécutez <example> /sbin/rarp -s <var>client-hostname</var> <var>client-enet-addr</var> /usr/sbin/arp -s <var>client-ip</var> <var>client-enet-addr</var> </example> <p> Si en retour vous obtenez <tt>SIOCSRARP: Invalid argument</tt>, vous devrez probablement charger le module rarp du noyau ou bien recompiler le noyau pour supporter RARP. Essayez <tt>modprobe rarp</tt> puis essayez à nouveau la commande rarp. <p> Sous SunOS, vous devez vous assurer que les adresses matériels Ethernet pour les clients soient listées dans la base de données « ether&nbps;» (soit dans le fichier <file>/etc/ethers</file> soit via NIS/NIS+) et dans la base de données « hosts ». Ensuite, vous devez lancer le démon RARP. Pour SunOS 4, essayez la commande (en tant que root) : <tt>/usr/etc/rarpd -a</tt> ; pour SunOS 5, utilisez <tt>/usr/sbin/rarpd -a</tt>. <!-- end supports-rarp --> ]]> <![ %supports-bootp [ <sect1 id="tftp-bootp">Configurer un serveur BOOTP <p> Il y a deux serveurs BOOTP disponibles pour GNU/Linux, bootdp CMU et l'autre est vraiment un serveur DHCP, dhcpd ISC, que l'on peut trouver dans les paquets <package>bootp</package> et <package>dhcp</package> dans &debian;. <p> Pour utiliser bootpd CMU, vous devez commencer par décommenter (ou ajouter) la ligne adéquate dans <file>/etc/inetd.conf</file>. Dans &debian;, vous pouvez tout simplement lancer <tt>update-inetd --enable bootps</tt> suivi de <tt>/etc/init.d/inetd reload</tt> pour le faire. Sinon, la ligne en question devrait ressembler à <example> bootps dgram udp wait root /usr/sbin/bootpd bootpd -i -t 120 </example> <p> Maintenant, vous devez créer le fichier <file>/etc/bootptab</file>. C'est le même genre de format familier et cryptique que ceux des bons vieux fichiers BSD <manref name="printcap" section="5">, <manref name="termcap" section="5"> et <manref name="disktab" section="5">. Allez voir la page de manuel <manref name="bootptab" section="5"> pour avoir plus d'informations. Pour bootpd CMU, il vous sera nécessaire d'obtenir l'adresse matériel (MAC) du client. Voici un exemple : <example> client:\ hd=/tftpboot:\ bf=tftpboot.img:\ ip=192.168.1.90:\ sm=255.255.255.0:\ sa=192.168.1.1:\ ha=0123456789AB: </example> Vous devrez changer au moins l'option « ha » qui spécifie l'adresse matériel du client. L'option « bf » spécifie le fichier que le client devra rapatrier via TFTP ; cf. <ref id="tftp-images"> pour plus de détails. <![ %mips [ Pour les SGI Indys, il vous suffit d'entrer la commande de contrôle et de taper <tt>printenv</tt>. La valeur de la variable <tt>eaddr</tt> est celle de l'adresse MAC de la machine.]]> <p> À l'opposé, configurer BOOTP avec<prgn>dhcpd</prgn> ISC est très facile parce qu'il traite les client BOOTP comme des cas spéciaux moyens de clients DHCP. Quelques architectures requierent une configuration complexe pour amorcer des clients via BOOTP. Si la vôtre ne fait partie, lisez la partie <ref id="dhcpd">. Sinon, vous devriez être capable de vous en sortir en ajoutant simplement la directive <tt>allow bootp</tt> au bloc de configuration pour le sous-réseau contenant le client puis de redémarrer <prgn>dhcpd</prgn> avec <tt>/etc/init.d/dhcpd restart</tt>. ]]> <![ %supports-dhcp [ <sect1 id="dhcpd">Configurer un serveur DHCP <p> À l'heure où ces lignes sont écrites, il n'existe qu'un seul serveur DHCP libre appelé <prgn>dhcpd</prgn> ISC. Dans &debian;, il est disponible dans le paquet <package>dhcp</package>. Voici un extrait de fichier de configuration(habituellement, <file>/etc/dhcpd.conf</file>) : <example> option domain-name "example.com"; option domain-name-servers ns1.example.com; option subnet-mask 255.255.255.0; default-lease-time 600; max-lease-time 7200; server-name "servername"; subnet 192.168.1.0 netmask 255.255.255.0 { range 192.168.1.200 192.168.1.253; option routers 192.168.1.1; } host clientname { filename "/tftpboot/tftpboot.img"; server-name "servername"; next-server servername; hardware ethernet 01:23:45:67:89:AB; fixed-address 192.168.1.90; } </example> Dans cet exemple, il y a un serveur « servername » qui joue le rôle de serveur, serveur DHCP, serveur TFTP et passerelle réseau. Vous devrez certainement changer les options de domina-name ainsi que le nom du serveur et les adresses matérielles du client. L'option « filename » devrait être le nom du fichier extrait via TFTP. <p> Après que vous ayez édité le fichier de configuration de dhpd, relancez dhcpd avec with <tt>/etc/init.d/dhcpd restart</tt>. ]]> <sect1 id="tftpd">Activer le serveur TFTP. <p> Pour s'assurer du bon fonctionnement du serveur TFTP, vous devez vous assurer au préalable que <prgn>tftpd</prgn> est activé. Ce dernier est généralement activé grâce à la ligne suivante dans <file>/etc/inetd.conf</file> : <example> tftp dgram udp wait root /usr/etc/in.tftpd in.tftpd /tftpboot </example> Jetez un oeil dans ce fichier et rappelez-vous le répertoire passé en argument de <prgn>in.tftpd</prgn> ; vous en aurez besoin ultérieurement. L'option <tt>-l</tt> autorise certaines versions de <prgn>in.tftpd</prgn> à journaliser toutes les requêtes vers le journal du système ; ceci est extrêmement pratique en cas d'erreur d'amorçage. SI vous devez changer <file>/etc/inetd.conf</file>, vous devrez le signaler au processus <prgn>inetd</prgn>. Sur une machine Debian, lancez <tt>/etc/init.d/netbase reload</tt> (pour une Potato 2.2 et système plus récent, utilisez <tt>/etc/init.d/inetd reload</tt>) ; sur les autres machines, retrouver le numéro de processus de <prgn>inetd</prgn> et tuez-le avec la commande <tt>kill -HUP <var>inetd-pid</var></tt>. <![ %mips [ <p> Si votre serveur TFTP est une boîte Linux 2.4.x, il vous faudra effectuer la manoeuvre suivante sur votre serveur : <example> echo 1 > /proc/sys/net/ipv4/ip_no_pmtu_disc </example> de façon à détourner la détection du MTU sinon la PROM de l'Indy ne pourra pas télécharger le nouveau noyau. En outre, assurez-vous que les paquets TFTP transitent par un port source inférieur à 32767 ou bien le téléchargement s'arrêtera après le premier paquet. Vous pouvez toujours contourner ce bogue de la PROM grâce au noyau 2.4.x en ajustant <example> echo "2048 32767" > /proc/sys/net/ipv4/ip_local_port_range </example> pour fixer l'intervalle des ports source que le serveur Linux TFTP peut utiliser.]]> <sect1 id="tftp-images">Mettre les images TFTP en place <p> Ensuite, placez les images TFTP dont vous avez besoin et que vous avez trouvé à <ref id="file-descs"> dans le répertoire des images pour amorcer de <prgn>tftpd</prgn>. Généralement, ce répertoire s'appelle <file>/tftpboot</file>. Vous aurez à faire un lien depuis ce fichier vers le fichier que <prgn>tftpd</prgn> utilisera pour amorcer un client particulier. Malheureusement, le nom du fichier est déterminé par le client TFTP et il n'y a pas vraiment de standard. <![ %powerpc [ <p> Sur les machines Macintosh Power NewWorld, vous devrez configurer le chargeur d'amorçage « yaboot » comme une image d'amorçage TFTP. Yaboot chargera les images du noyau et de la ramdisk à travers TFTP. Pour amorcer à travers le réseau, utilisez <file>yaboot-netboot.conf</file>. Renommez-le simplement en <file>yaboot.conf</file> dans le répertoire tftp. ]]> <![ %not-powerpc [ <p> Souvent, le fichier que le client TFTP recherchera est <var>client-ip-in-hexclient-architecture</var>. Pour calculer <var>client-ip-in-hex</var>, prenez chaque octet de l'adresse IP du client et convertissez-la en hexadécimal. Si vous avez une machine à portée de main avec le programme <prgn>bc</prgn>, vous pouvez l'utiliser. En premier, utilisez la commande <tt>obase=16</tt> pour configurer la sortie en hexadécimal, puis entrez les composants individuels du client IP un par un. Comme pour <var>client-architecture</var>, essayez quelques valeurs. ]]> <![ %mipsel [ <p> Pour les DECstation, il y a des fichiers tftpimage pour chaque sous-architecture ; ils contiennent à la fois un noyau et un installateur en un seul fichier. La convention d'appellation est tftpimage-<var>subarch</var> ou tftpimage-<var>subarch</var>.gz. Si l'image tftp est gzippée (si le nom se terminent par .gz), vous devrez la décompresser d'abord avec la commande « gunzip tftpimage-<var>subarch</var>.gz » car les DECstation ne peuvent s'amorcer depuis un fichier compressé via TFTP. Copiez l'image tftp que vous allez utiliser dans <tt>/tftpboot/tftpboot.img</tt> si vous travaillez avec l'exemple de configuration de BOOTP/DHCP décrit plus haut. <p> Le firmware des DECstation autorise l'amorçage via TFTP par la commande <tt>boot #/tftp</tt> où # est le numéro de périphérique « TurboChannel » sur lequel amorcer. Sur la plupart des DECstation, c'est le numéro « 3 ». Si le serveur BOOTP/DHCP ne fournit pas le nom du fichier ou bien que vous ayez besoin de passer des paramètres supplémentaires, cela peut se faire avec la syntaxe suivante : <p> <tt>boot #/tftp/filename param1=value1 param2=value2 ...</tt> <p> Plusieurs révisions de firmware de DECstation ont un problème avec l'amorçage depuis le réseau : le transfert débute mais après un certain temps, il s'arrête avec « a.out.err ». Ceci peut avoir plusieurs causes : <enumlist> <item> Le firmware ne répond pas à une requête ARP durant un transfert TFTP. Cela conduit à une suspension ARP et le transfert s'arrête. La solution est d'ajouter l'adresse MAC de la carte Ethernet de la DECstation statiquement dans la table ARP du serveur TFTP. On peut le faire avec <tt>arp -s IP-adress MAC-address</tt> en tant que root sur la machine servant de serveur TFTP. On peut lire l'adresse MAC de la DECstation en entrant « cnfg » à l'invite du firmware de la DECstation. <item> Le firmware a une taille limite sur les fichiers et ne pas s'amorcer par TFTP. </enumlist> Il y aussi des révisions de firmware qui ne peuvent pas s'amorcer du tout par TFTP. Une liste des différentes révisions de firmware se trouve dans les pages web de NetBSD : <tt>http://www.netbsd.org/Ports/pmax/board-list.html#proms</tt>. ]]> <![ %alpha [ <p> Sur Alpha, vous devez spécifier le nom de fichier (comme un chemin relatif vers le répertoire image d'amorçage) en utilisant l'argument <tt>-file</tt> de la commande <tt>boot</tt> SRM ou en configurant la variable d'environnement <tt>BOOT_FILE</tt>. Vous pouvez aussi passer le nom de fichier via BOOTP (pour dhcpd ISC, utilisez la directive <tt>filename</tt>). À la différence de Open Firmware, il n'y a pas de <em>nom de fichier par défaut</em> sur SRM donc vous <em>devez</em> spécifier un nom de fichier par une des méthodes suivantes : <![ %sparc [ <p> Les architectures SPARC par exemple utilisent les noms de sous-architecture, comme « SUN4M » ou « SUN4C » ; dans certains cas, l'architecture est laissée en blanc et le fichier que le client recherche est simplement <file>client-ip-in-hex</file>. Ainsi, si votre sous-architecture système est SUN4C et que son adresse IP est 192.168.1.3, le nom de fichier sera <file>C0A80103.SUN4C</file>. <p> Vous pouvez aussi forcer certains systèmes SPARC à rechercher un nom de fichier spécifique en l'ajoutant à la fin de la commande d'amorçage de OpenPROM comme <tt>boot net my-sparc.image</tt>. Ce fichier doit bien sûr être présent dans le répertoire que le serveur TFTP parcourt. ]]> <![ %m68k [ <p> Pour BVM et les systèmes VMEbus Motorola, recopiez les fichiers &bvme6000-tftp-files; dans <file>/tftpboot/</file>. <p> Ensuite, configurez votre ROM d'amorçage et votre serveur BOOTP pour charger en premier les fichiers <file>tftplilo.bvme</file> ou <file>tftplilo.mvme</file> du serveur TFTP. Référez-vous au fichier <file>tftplilo.txt</file> de votre sous-architecture pour obtenir des informations supplémentaires de configuration spécifique à votre système. ]]> <![ %mips [ <p> Sur les Indy de SGI, vous pouvez relier lors de l'amorçage de bootpd la fourniture du nom du fichier TFTP. Il est donné soit par <tt>bf=</tt> dans /etc/bootptab ou bien par l'option de <tt> filename=</tt> dans /etc/dhcpd.conf. <p> ]]> <![ %sparc [ <sect1>Installation de TFTP pour système avec peu de mémoire <p> Sur certains systèmes, la RAMDISK d'installation standard, combinée avec les exigences en mémoire de l'image d'amorçage TFTP, ne peuvent tenir en mémoire. Dans ce cas, vous pouvez quand même utiliser TFTP mais vous aurez à passer par une étape supplémentaire pour monter votre répertoire racine à travers le réseau. Ce type de configuration est aussi appropriée pour les clients sans disque (« diskless ») et sans donnée (« dataless »). <p> Premièrement, suivez toutes les étapes ci-dessus dans <ref id="install-tftp">. <enumlist> <item> Copiez l'image du noyau Linux sur votre serveur TFTP en utilisant l'image <tt>a.out</tt> de l'architecture sur laquelle vous êtes en train d'amorcer. <item> « Détarez » l'archive de root sur votre serveur NFS (qui peut être le même que votre serveur TFTP) : <example> # cd /tftpboot # tar xvzf root.tar.gz </example> Assurez-vous d'utiliser le <prgn>tar</prgn> de GNU (les autres programmes, comme celui de SunOS, manipule incorrectement certains périphériques comme les fichiers ordinaires). <item> Exportez votre répertoire <file>/tftpboot/debian-sparc-root</file> avec les accès root pour votre client. Vous devez ajouter la ligne suivante à <file>/etc/exports</file> (syntaxe GNU/Linux, cela devrait être similaire pour SunOS) : <example> /tftpboot/debian-sparc-root client(rw,no_root_squash) </example> NOTE : « client » est le nom d'hôte ou bien l'adresse IP reconnu par le serveur pour le système qui vous allez amorcer. <item> Créez un lien symbolique depuis votre adresse IP cliente sous forme de nombre séparé par des points dans le fichier <file>debian-sparc-root</file> du répertoire <file>/tftpboot</file>. Par exemple, si l'adresse IP client esr 192.168.1.3, faîtes : <example> # ln -s debian-sparc-root 192.168.1.3 </example> </enumlist> ]]> <![ %FIXME [ <p><em>NOT YET WRITTEN</em> <sect1>Installation avec une racine TFTP et NFS <p> C'est très proche de l'installation pour système avec peu de mémoire parce que vous ne voulez pas charger le ramdisk mais amorcer depuis le système de fichier nfs-root créé il y a peu. Vous n'avez qu'à remplacer le lien vers l'image tftpboot par un lien vers l'image du noyau (<em>i.e</em> linux-a.out). <p> Mon expérience de l'amorçage à travers le réseau était basée exclusivement sur RARP/TFTP qui requièrent que tous les démons tournent sur le même serveur (le station de travail SPARC envoie une requête TFTP en retour du serveur qui répondait à sa précédente requête RARP). Dans tous les cas, Linux supporte aussi le protocole BOOTP mais je ne sais pas comment le configurer :-(( Est-ce que cela doit être documenté dans ce manuel ? ]]> <p> Pour amorcer la machine cliente, allez à <ref id="boot-tftp">. <!-- end of supports-tftp --> ]]> <!-- end of not-s390 --> ]]> <sect id='FAI'> Installation automatisée <p> Pour installer sur de nombreux orindateurs, il est possible de d'utiliser l'installation complètement automatisée appelée <prgn/FAI/ (pour « Fully Automatic Installlation », NdT). Le paquet Debian <file/fai/ doit être installé sur un ordinateur appelé le serveur d'installation. Ensuite, tous les clients à installer s'amorcent depuis leur carte réseau ou une disquette et installent Debian sur leur disque local. <!-- Keep this comment at the end of the file Local variables: mode: sgml sgml-omittag:t sgml-shorttag:t sgml-namecase-general:t sgml-general-insert-case:lower sgml-minimize-attributes:max sgml-always-quote-attributes:t sgml-indent-step:2 sgml-indent-data:nil sgml-parent-document:("../install.sgml" "book" "chapt") sgml-declaration:nil sgml-exposed-tags:nil sgml-local-catalogs:nil sgml-local-ecat-files:nil End: -->