Quoting Jean-Baka Domelevo-Entfellner (domel...@gmail.com): > Salut, > > Voici ce que je viens de recevoir du mainteneur d'un des paquets que > j'ai récemment traduits. Il n'est pas d'accord avec nos en-têtes, on > en est où de notre introspection collective sur le sujet des en-têtes > et de la ligne avec le copyright ?
Je pense que nous avons un certain consensus. Je n'ai pas vu d'opposition amrquée à cett epratique adoptée voici environ 2 ans. > > # Translation of pam to French > > # Copyright (C) 2009 Debian French l10n team > > <debian-l10n-french@lists.debian.org> > > Please don't do this. There is no such entity as the "Debian French l10n > team" which holds copyright. The copyright on the translation is held by > the translators. Steve, que je remets en copie (il comprend très bien le français), n'a pas nécessairement tort sur le plan totalement formel. Cela étant, le travail sur les traductions *est* collectif, il n'est pas que le travail des traducteurs. Il comporte aussi le travail des relecteurs, notamment, qu'on ne peut raisonnablement citer. Au bout du compte, c'est l'équipe de traduction qui produit et porte le travail concerné. Ce que nous avons adopté est un compromis, que je pense acceptable. La "Debian French l10n team" existe: c'est cette mailing list dont la pérennité est, je pense, suffisante pour qu'il apparaisse raisonnable de lui attribuer le copyright des traductions. Cette entité a, de toute manière, à mon avis, au moins autant de légitimité et d'existence réelle qu'un traducteur, pour lequel il est en fait impossible de vérifier l'"existence"....et qui peut infiniment plus facilement disparaître que la "Debian French l10n team". Il y a également un consensus (au moins silencieux) pour accepter ce type de copyright et je ne vois pas vraiment les difficultés que cela pourrait induire. Encore une fois, mettre ce copyright est une action à chaque fois volontaire du traducteur. Si un traducteur n'est pas d'accord avec cette façon de faire, nous lui laissons bien sûr la possibilité de mettre son propre copyright (en lui expliquant toutefois les difficultés que cela risque de nous créer dans le futur). De toute façon, ce n'est pas pire que de mettre un Copyright "Canonical" sur des traductions apparaissant dans Rosetta, si je puis me permettre..:) Je ne sais pas, dans le cas de pam, quel était le Copyright initial? Si c'était un traducteur individuel, je suggère de lui demander de confirmer qu'il est d'accord avec le transfert vers l'équipe de traduction...mais, j'insiste, celle-ci a une existence légitimement prouvable...bien plus solide que celle d'une simple adresse e-mail.
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