Bonjour à tous, C'est à partir de l'affirmation contenue dans le titre du message qu'une grosse discussion s'est lancée ce matin autour du café traditionnel...
Evidemment, il s'agit de déterminer si "mauvaise" est le mot qui convient Voici le contexte : La personne décrète la gestion mémoire comme "mauvaise" car : (je simplifie...) a) une personne développe un logiciel de recherche opérationnelle manipulant de _très grosses_ matrices... b) lors de la déclaration de ces matrices (et donc de leur taille), linux lui "accorde" la mémoire (ou alors, ne vérifie pas qu'elle est/sera disponible...?????) c) ensuite, lors de l'acquisition des données, il se produit un "segmentation fault" (à cause d'une saturation mémoire ??)... d) développant en ADA (gnat), la personne se plaint que si un contrôle fin été fait lors de/juste après la _déclaration_, une exception ADA serait levée, capturée et traitée par l'utilisateur qui pourrait donc ainsi déterminer la suite de l'exécution. Le contrôle n'étant pas fait, l'utilisateur n'a pas les moyens de reprendre le contrôle et boum plantage... Cette vision de la gestion mémoire Linux n'est qu'une intuition de la chose, on n'a pas d'expert sur ce sujet ici... Personnellement, je trouve ça "gros". Est-ce un "problème" (un choix techno) de compilo, de linux, de ... ??? Si quelqu'un pouvait nous en dire plus, ce serait sympa... En privé, si vraiment c'est trop hors-sujet. A+ -- # Georges MARIANO # INRETS, 20 rue Élisée Reclus # 59650 Villeneuve d'Ascq mailto:[EMAIL PROTECTED] # FRANCE. fax: (33) 03 20 43 83 59 # http://www3.inrets.fr/[EMAIL PROTECTED]