Le Jeudi 17 Octobre 2002 09:02, Frédéric Giquel a écrit :
> Le 17 octobre 2002 à 12:34 (+0200), Patrice Karatchentzeff a tapoté
> sur
>
> son clavier :
> > Le Thu, 17 Oct 2002 08:58:20 +0100
> > [EMAIL PROTECTED] écrivait :
>
> [...]
>
> >> Par contre, voilà une initiative dont l'utilité ne me
> >> convainc toujours pas. S'il est évidemment mieux d'utiliser
> >> les termes français "évident" (multi-tache par exemple), il
> >> y a des termes qui sont pour le moins bizarres. Si je lis un
> >> texte qui parle de "fils", je vais me poser des questions,
> >> alors qu'un texte qui parle de "threads" sera clair de
> >> suite. Voilà une chose que les anglophones savent faire,
> >> mais à quoi les français rechignent vraiment: emprunter des
> >> mots à d'autres langues; quand on a pas d'équivalent,
> >> pourquoi pas? Un bon tiers des mots anglais viennent du
> >> français...
> >
> > Réthorique archi-connue qui permet sous des prétextes bidons d'être
> > le plus laxiste possible. Ensuite, on passe à l'orthographe (après
> > tout, pourquois se fatiguer...). Après, c'est la vidéo...
> >
> > Premièrement, ton exemple est bidon, étant entendu que ce n'est pas
> > la bonne traduction (arghhh, pas de bol, pris la main dans la sac).
>
> Il existe quand même des cas où la traduction en français est
> difficilement compréhensible. Par exemple, je ne pense pas que
> beaucoup d'informaticiens savent ce qu'est un ordinateur
> petit-boutiste (traduction apprise dans LMF, comme quoi ils
> n'utilisent pas que des anglicismes).
>
>
> [...]
>
> > PK
>
> Fred

Oui, c'est vrai, moi même ait découvert l'expression petit boutiste 
trés récemment. (pour info petit boutiste=little endian, si je ne 
m'abuse).


-- 
Matthieu BONAVITA
Institut National de la Recherche Agronomique
Laboratoire d'Analyses Scientifiques et de Biométrie
34060 Montpellier

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