> -----Message d'origine-----
> De : sophie [mailto:[EMAIL PROTECTED]
> Envoyé : dimanche 28 janvier 2007 13:41
> À : doc@fr.openoffice.org
> Objet : [doc-fr] [TER] Enfin des nouvelles
> 
> 
> Tout d'abord : la réunion
> Les deux profs qui vont réaliser les cas d'études étaient présents. Ils 
> avaient déjà avancé sur un exemple et une table des matières. Ils 
> veulent se charger de la plus grande partie de la rédaction, celle-ci 
> devant vraiment être orienté pour rendre servie aux profs plus qu'aux 
> élèves. Je n'étais pas d'accord avec ce postulat, mais c'est aussi celui 
> de l'éditeur, donc pas vraiment moyen de faire autrement que d'accepter.

> Je ne veux pas ouvrir de polémique, je relate simplement.

Nous comprenons !

> Les deux profs vont donc écrire les cas et nous ajouterons des astuces 
> que nous pensons essentielles à la bon utilisation de OOo.
> Le process est donc organisé de la façon suivante :
> - ils écrivent un cas,
> - nous le relisons et l'annotons des astuces
> - je le renvoie aux profs
> - les profs l'envoient à l'éditeur.

J'ai commencé à jeter un coup d'oeil, à lettre.odt et cas1.odt. Il est très 
difficile de réagir sans connaître le contexte. 

Par exemple, la lettre est directement héritée de la dactylographie, 
pratiquement sans aucune trace de ce qu'apporte le traitement de texte. 
Pourquoi pas pour un premier exercice d'élèves qui débutent ? Si c'est un 
exercice de fin de cursus, c'est autre chose... Si c'est un corrigé pour 
l'enseignant, il faudrait non seulement traiter les problèmes de traitement de 
texte mais aussi de normalisation : présentation de l'adresse et des numéros de 
téléphone, par exemple. Je crains qu'avant d'avoir une vue plus globale du 
projet nous soyons amenés à corriger les fautes d'orthographe qui subsistent 
dans le document des enseignants...

Idem dans le cas 1. Je comprends les consignes détaillées pour un élève qui 
débute et s'entraîne. Mais y a-t-il jamais eu un "supérieur hiérarchique" (çà 
existe encore ? :-)) qui "vous demande de corriger puis de le mettre au propre" 
? Il demanderait un travail fini tout simplement. Il y a trente ans que j'ai 
obtenu sans difficulté que "l'assistant-e" (on disait encore secrétaire, voire 
dactylo) corrige les fautes en réalisant la transcription. L'exercice est 
encore une réminiscence de la machine à écrire, où il était nécessaire de bien 
préparer son travail car la correction était impossible. Qui aujourd'hui, 
rédige encore avec un crayon ? La-e secrétaire doit encore avoir un important 
"rôle d'éditeur" mais la plupart du temps, il s'exerce avec une autre méthode.

Qui est Alain Dehors, l'auteur des deux documents publiés ?

> Voilà pour les nouvelles concernant ce projet, il ne prend pas tout à 
> fait la tournure qu'il devait avoir au début, mais je pense que 
> l'essentiel reste que ce manuel soit présent dans le catalogue dès la 
> rentrée.

Je compatis... La question que je me pose : faut-il faire comme Microsoft et 
laisser les utilisateurs bricoler, voire former les jeunes à bricoler ? Plus 
ils bricolent et plus Microsoft vend de boîtes... Comment des citoyens et de 
futurs recruteurs peuvent-ils réagir pour que les jeunes soient formés à 
"l'état de l'art" avec les techniques d'aujourd'hui tout en les préparant à 
celles de demain ? Que l'on garde la dextérité et la précision de frappe 
nécessaires avec la machine à écrire, je n'y vois que des avantages. Le fait-on 
? Quand la transcription vocale sera parfaite, cela deviendra moins nécessaire. 
Que l'on conserve les contraintes et les faiblesses de la machine à écrire avec 
les équipements d'aujourd'hui et OpenOffice.org, c'est une autre affaire !

> A bientôt
> Sophie

A bientôt, je passerai sur le stand OOo à SL2007.

Jean-Yves ROYER
http://royerjy.perso.cegetel.net/

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