Christian Gennerat a écrit :
> Sinon, une Key-signing party peut être un bon palliatif
>
Ce n'est pas vraiment un palliatif, c'est une étape supplémentaire.
cela permet d'ajouter la notion d'identité de l'émetteur à la
vérification, dans la mesure où l'on n'a contre-signé qu'un lien
d'identité dont on est sûr. Sans quoi PGP ne peut garantir que
l'intégrité (ou la confidentialité, si le message est crypté) du message.
- ben
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