Bonjour,comme certains ne manqueront pas de me le faire remarquer mon message est un peu hors-sujet sur une liste consacrée à Debian, mais étant donnée que les domaines concernés sont en général bien maitrisés par les debiannistes, je me me permet de lancer mon appel au secours ici...
La situation est assez simple: j'ai un nom de domaine; appellons-le "mondomaine.net".Jusqu'ici il me servait à deux choses: avoir ma propre adresse mail "
[EMAIL PROTECTED]" et rediriger "http://mon-site-perso.free.fr" depuis "www.mondomaine.net
" (de façon assez crade, puisqu'au final, dans la barre d'adresse de firefox, c est "http://mon-site-perso.free.fr" qui apparaissait ).Tout ceci se faisait très simplement gràce aux redirections proposées par Gandi.
Désormais la situation a un peu changé puisque je vais avoir une machine dédiée qui fera office de serveur web, donc au lieu d'une "bête" redirection, je vais devoir user du DNS pour que mon "
domaine.net" pointe désormais sur l'ip de mon serveur plutot que sur mon site free.fr.Le problême qui se pose provient du fait que les dns personnalisés et les redirections Gandi sont incompatibles, ce qui fait qu'a partir du moment ou je ferais pointer "
mondomaine.net" vers mon ip (fixe) plutot que vers mon site free.fr mes redirections mails cesseront de fonctionner, du fait de l'incompatibilitée des services.
J'ai cherché du coté de zoneedit, de dyndns,mais finalement rien ne semble pouvoir me faire échapper au dilemne, soit m'installer un serveur web et abandonner Gmail (qui me convient parfaitement, quoiqu'on puisse en dire) pour pouvoir toujours bénéficier de cette adresse, soit abandonner cette adresse (ce qui me gene *beaucoup*)
Voila, je pensais ne pas etre un cas particulier, avoir un serveur web et un nom de domaine, mais ne pas vouloir s'embeter avec la gestion des mails, mais finalement il semblerait que la résolution de ce problème ne soit pas triviale, étant donnée le nombre de personnes ayant butées sur ce dernier.
Merci par avance.Manu B.-- "Si vous désirez une image de l'avenir, imaginez une botte piétinant un visage humain, éternellement" George Orwell in "1984"