Re: [OSM-talk-fr] Article OpenStreetMap sur le Framablog

2013-11-30 Par sujet Philippe Verdy
Au fait si la stratégie de Google c'est l'accessibilité prolongée en
mobilité, Google investira dans les technologies permettant de réduire la
consommation (amélioration notamment des écrans, ou utilisation d'un second
écran à e-ink pour les contenus relativement statiques, qui ont
l'avantage d'être mieux lisibles et ne rien consommer de plus au soleil,
contrairement aux écrans dynamiques qui consomment beaucoup, ou
superposition d'un écran e-ink et OLED; amélioration de la consommation des
récepteurs radio et leur puce codec notamment en veille), et augmenter la
charge de la batterie; ou encore développer sur les smartphones et
tablettes les systèmes de recharge sans fil (à induction) et promouvoir les
points de recharge ailleurs que dans les rares aéroports et gares.

Pour que le smartphone puisse rester utilisable même pendant plusieurs
jours, et reste aussi utilisable batterie vide mas connecté à un chargeur
(cela ne marche pas du tout, on doit attendre au moins 20 minutes avant de
songer à rallumer l'appareil qui a ensuite bien du mal à se charger, les
chargeurs n'étant pas efficaces du tout sur les prises micro-USB où le
courant utilisable est trop limité pour supporter l'initialisation de l'OS,
de son interface, des applis et des connexions radio).

Arrêtons cette blague (le site donné n'est fait que de blagues), la carte
papier n'est pas une stratégie Google et ne verra jamais le jour en tant
que produit d'usage universel (en tout cas pas à ce prix là ! Sauf en tant
qu'objet d'art mais pas par Google, même sous forme d'origami sur un papier
ultrafin, infroissable à mémoire de forme, et indéchirable composé de
nanotubes de carbone, et là le prix indiqué est même trop bas pour que ce
soit rentable)


Le 30 novembre 2013 08:13, Ab_fab gamma@gmail.com a écrit :

 Concernant la strategie carto de Google :


 http://www.bilboquet-magazine.fr/revolution-google-lance-une-version-papier-de-google-maps/

 ;-)
 Le 30 nov. 2013 07:30, Philippe Verdy verd...@wanadoo.fr a écrit :

 C'est vrai que les arguments évoqués par cet article d'un bloguiste
 openstrettmappeur utilise des arguments un peu limités pour convaincre. Si
 la bascule vers Google Map API v3 tombe en novembre, Google a prévenu il y
 a déjà plus de 3 ans et prolongé encore 6 mois de plus).

 Dans les faits il faudrait mieux parler de saine concurrence, le fait
 qu'on ne soit plus lié à un seul fournisseur (soit pour héberger un
 serveur, soit un service, soit la bande passante pour les tuiles, ...) et
 que donc les prix demandés par les fournisseurs peuvent être réduits autant
 que possible sur une base saine : celle des coûts réels, et qu'on garde le
 contrôle des données et de la présentation.

 Il suffit de comparer les offres de service pour OSM, elles sont peu
 chères en comparaison de ce que demande Google. Elles sont réactives aussi
 en terme de modifications et d'adaptation, on a plein d'options
 d'intégration.

 Les erreurs trouvées dans la carte sont également vite corrigées dans OSM
 (pas comme dans Google Maps où un signalement prend plusieurs mois avant de
 recevoir une réponse positive, et encore plusieurs semaines pour que la
 correction soit intégrée (Google utilise sa propre communauté pour valider
 les changements, via son appli collaborative cloud extrêmement compliquée à
 utiliser et d'une lenteur à peine croyable; et même quand cete applli cloud
 intègre et accepte une proposition, il faut accord que celle-ci soit
 validée par plusieurs, ce qui prend des semaines là encore. Avant quelle
 soit validée par le système, une Google Car sera repassée et annulera par
 ses données tout le travail collaboratif de la plateforme Google. Bref
 cette communauté Google travaille pour rien, et s'en rend compte, elle ne
 suit pas longtemp le projet (sauf quelques geeks encore passionnés mais qui
 travaillent sur des détails, jamais sur un aspect global du projet de
 Google.

 Je suis convaincu qu'un jour Google arrêtera les frais de sa solutions
 cartographique car ce sera tout bonnement plus facile (et plus rentable
 pour lui) d'utiliser le projet OSM et y contribuer directement. Il se fera
 une raison de la même façon qu'il a intégré aujourd'hui Wikipédia sur ses
 sites (et qu'il y contribue aussi).

 Le business de Google n'est pas sa carte en réalité, c'est le placement
 de sa carte dans des service en ligne en tant que vecteur de publicité et
 d'intégration de son moteur de recherche. Google pourra toujours s'il le
 veut intégrer OSM et ses propres services. Comme par magie alors ses cartes
 seront beaucoup mieux à jour et plus précises qu'actuellement. Meiux que
 ça, il trouvera pour nous plus de données libres à intégrer dans OSM (et il
 nous y aidera techniquement).

 Il supportera aussi la projet en hébergeant des serveur de tuiles très
 performants (en version bitmap ou en version vectorielle). Google a déjà
 construit de très bon alogos de traitement automatique des donénes de ses
 diverses sources (ouvertes ou payantes). Si 

Re: [OSM-talk-fr] Article OpenStreetMap sur le Framablog

2013-11-30 Par sujet Vincent de Château-Thierry

Bonjour,

Le 30/11/2013 08:34, Philippe Verdy a écrit :

New-York, Tokyo, et... Vaulx-en-Velin (à 250 euros la carte?)
Ca ressemble plutôt à une blague...

Le 30 novembre 2013 08:13, Ab_fab gamma@gmail.com
mailto:gamma@gmail.com a écrit :

Concernant la strategie carto de Google :


http://www.bilboquet-magazine.fr/revolution-google-lance-une-version-papier-de-google-maps/

;-)


Google revient aux fondamentaux, donc.
Une vision partagée par d'autres :
http://www.youtube.com/watch?v=ZCp-JSVSNZM
;o) - ceci est un smiley

vincent

___
Talk-fr mailing list
Talk-fr@openstreetmap.org
https://lists.openstreetmap.org/listinfo/talk-fr


Re: [OSM-talk-fr] Article OpenStreetMap sur le Framablog

2013-11-30 Par sujet DH

Le 30/11/2013 11:01, Vincent de Château-Thierry a écrit :

Bonjour,

Google revient aux fondamentaux, donc.
Une vision partagée par d'autres :
http://www.youtube.com/watch?v=ZCp-JSVSNZM
;o) - ceci est un smiley

vincent


La communauté a toujours un temps d'avance !
Sacrée Françoise toujours dans les bons coups.
Excellent...

Merci pour cette pépite.

___
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https://lists.openstreetmap.org/listinfo/talk-fr


Re: [OSM-talk-fr] Article OpenStreetMap sur le Framablog

2013-11-29 Par sujet Philippe Verdy
C'est vrai que les arguments évoqués par cet article d'un bloguiste
openstrettmappeur utilise des arguments un peu limités pour convaincre. Si
la bascule vers Google Map API v3 tombe en novembre, Google a prévenu il y
a déjà plus de 3 ans et prolongé encore 6 mois de plus).

Dans les faits il faudrait mieux parler de saine concurrence, le fait qu'on
ne soit plus lié à un seul fournisseur (soit pour héberger un serveur, soit
un service, soit la bande passante pour les tuiles, ...) et que donc les
prix demandés par les fournisseurs peuvent être réduits autant que possible
sur une base saine : celle des coûts réels, et qu'on garde le contrôle des
données et de la présentation.

Il suffit de comparer les offres de service pour OSM, elles sont peu chères
en comparaison de ce que demande Google. Elles sont réactives aussi en
terme de modifications et d'adaptation, on a plein d'options d'intégration.

Les erreurs trouvées dans la carte sont également vite corrigées dans OSM
(pas comme dans Google Maps où un signalement prend plusieurs mois avant de
recevoir une réponse positive, et encore plusieurs semaines pour que la
correction soit intégrée (Google utilise sa propre communauté pour valider
les changements, via son appli collaborative cloud extrêmement compliquée à
utiliser et d'une lenteur à peine croyable; et même quand cete applli cloud
intègre et accepte une proposition, il faut accord que celle-ci soit
validée par plusieurs, ce qui prend des semaines là encore. Avant quelle
soit validée par le système, une Google Car sera repassée et annulera par
ses données tout le travail collaboratif de la plateforme Google. Bref
cette communauté Google travaille pour rien, et s'en rend compte, elle ne
suit pas longtemp le projet (sauf quelques geeks encore passionnés mais qui
travaillent sur des détails, jamais sur un aspect global du projet de
Google.

Je suis convaincu qu'un jour Google arrêtera les frais de sa solutions
cartographique car ce sera tout bonnement plus facile (et plus rentable
pour lui) d'utiliser le projet OSM et y contribuer directement. Il se fera
une raison de la même façon qu'il a intégré aujourd'hui Wikipédia sur ses
sites (et qu'il y contribue aussi).

Le business de Google n'est pas sa carte en réalité, c'est le placement de
sa carte dans des service en ligne en tant que vecteur de publicité et
d'intégration de son moteur de recherche. Google pourra toujours s'il le
veut intégrer OSM et ses propres services. Comme par magie alors ses cartes
seront beaucoup mieux à jour et plus précises qu'actuellement. Meiux que
ça, il trouvera pour nous plus de données libres à intégrer dans OSM (et il
nous y aidera techniquement).

Il supportera aussi la projet en hébergeant des serveur de tuiles très
performants (en version bitmap ou en version vectorielle). Google a déjà
construit de très bon alogos de traitement automatique des donénes de ses
diverses sources (ouvertes ou payantes). Si pour répondre à ses besoins
commerciaux dans certaines régions, Google décide de continuer à utiliser
ses Google Car, il les déploiera là où c'est le plus utile, ou pour
répondre à des besoins de l'actualité (par exemple en cas de crise
humanitaire urgente où l'actualité se focalise sur une région et amène du
traffic sur ses sites pour s'intéresser à la région).

Seulement voilà Google devra se faire une raison: il ne sera plus le seul
fournisseur de services. S'il veut faire la différence ce sera dans la
qualité de son service pour les intégrateurs et dans les prix demandés.
Mais il devra tenir compte des autres solutions et ne répondra pas à tout,
ce qui laissera la place à de nombreuses niches locales, et toute la
liberté pour tout le monde de développer de telles nouvelles niches en
bénéficiant du travail communautaire et des tas de solutions alternatives
développés.

On aura donc un choix réelle entre le DIY (do-it-yourself) et l'achat à un
fournissseur, avec des différences de coût aussi faible que possible qui
permettront de faire ce choix et m'ême de le changer à tout moment. Faire
le choix du libre c'est prendre un abonnement avec frais d'entrée réduit
(et même nul pour une première utilisation expérimentale limitée), aucun
frais de résiliation, et aucun engagement (pas comme pour le téléphone
mobile !)

Tous les anciens acteurs du logiciel propriétaire se sont mis au libre
d'une façon ou d'une autre en renonçant à leur marché de niche dont le coût
de  maintenance augmentait sans arrêt sans pouvoir dégager de nouveaux
bénéfices. Même Google s'y met avec Android, Android OS et Chromium. Alors
bientôt Google abandonnera sa plateforme collaborative et aura son
Google Mappium, pour utiliser son système actuel pour alimenter ou
utiliser OSM plutôt sue sa base propriétaire. Et toutes les données
ouvertes que Google intègre dans sa base propriétaire iront via son
Mappium dans OSM.

Je suis même convaincu que sans qu'il le dise, Google contribue déjà à OSM
et qu'il prépare sa transition, tout bonnement car cela lui 

Re: [OSM-talk-fr] Article OpenStreetMap sur le Framablog

2013-11-29 Par sujet Ab_fab
Concernant la strategie carto de Google :

http://www.bilboquet-magazine.fr/revolution-google-lance-une-version-papier-de-google-maps/

;-)
Le 30 nov. 2013 07:30, Philippe Verdy verd...@wanadoo.fr a écrit :

 C'est vrai que les arguments évoqués par cet article d'un bloguiste
 openstrettmappeur utilise des arguments un peu limités pour convaincre. Si
 la bascule vers Google Map API v3 tombe en novembre, Google a prévenu il y
 a déjà plus de 3 ans et prolongé encore 6 mois de plus).

 Dans les faits il faudrait mieux parler de saine concurrence, le fait
 qu'on ne soit plus lié à un seul fournisseur (soit pour héberger un
 serveur, soit un service, soit la bande passante pour les tuiles, ...) et
 que donc les prix demandés par les fournisseurs peuvent être réduits autant
 que possible sur une base saine : celle des coûts réels, et qu'on garde le
 contrôle des données et de la présentation.

 Il suffit de comparer les offres de service pour OSM, elles sont peu
 chères en comparaison de ce que demande Google. Elles sont réactives aussi
 en terme de modifications et d'adaptation, on a plein d'options
 d'intégration.

 Les erreurs trouvées dans la carte sont également vite corrigées dans OSM
 (pas comme dans Google Maps où un signalement prend plusieurs mois avant de
 recevoir une réponse positive, et encore plusieurs semaines pour que la
 correction soit intégrée (Google utilise sa propre communauté pour valider
 les changements, via son appli collaborative cloud extrêmement compliquée à
 utiliser et d'une lenteur à peine croyable; et même quand cete applli cloud
 intègre et accepte une proposition, il faut accord que celle-ci soit
 validée par plusieurs, ce qui prend des semaines là encore. Avant quelle
 soit validée par le système, une Google Car sera repassée et annulera par
 ses données tout le travail collaboratif de la plateforme Google. Bref
 cette communauté Google travaille pour rien, et s'en rend compte, elle ne
 suit pas longtemp le projet (sauf quelques geeks encore passionnés mais qui
 travaillent sur des détails, jamais sur un aspect global du projet de
 Google.

 Je suis convaincu qu'un jour Google arrêtera les frais de sa solutions
 cartographique car ce sera tout bonnement plus facile (et plus rentable
 pour lui) d'utiliser le projet OSM et y contribuer directement. Il se fera
 une raison de la même façon qu'il a intégré aujourd'hui Wikipédia sur ses
 sites (et qu'il y contribue aussi).

 Le business de Google n'est pas sa carte en réalité, c'est le placement de
 sa carte dans des service en ligne en tant que vecteur de publicité et
 d'intégration de son moteur de recherche. Google pourra toujours s'il le
 veut intégrer OSM et ses propres services. Comme par magie alors ses cartes
 seront beaucoup mieux à jour et plus précises qu'actuellement. Meiux que
 ça, il trouvera pour nous plus de données libres à intégrer dans OSM (et il
 nous y aidera techniquement).

 Il supportera aussi la projet en hébergeant des serveur de tuiles très
 performants (en version bitmap ou en version vectorielle). Google a déjà
 construit de très bon alogos de traitement automatique des donénes de ses
 diverses sources (ouvertes ou payantes). Si pour répondre à ses besoins
 commerciaux dans certaines régions, Google décide de continuer à utiliser
 ses Google Car, il les déploiera là où c'est le plus utile, ou pour
 répondre à des besoins de l'actualité (par exemple en cas de crise
 humanitaire urgente où l'actualité se focalise sur une région et amène du
 traffic sur ses sites pour s'intéresser à la région).

 Seulement voilà Google devra se faire une raison: il ne sera plus le seul
 fournisseur de services. S'il veut faire la différence ce sera dans la
 qualité de son service pour les intégrateurs et dans les prix demandés.
 Mais il devra tenir compte des autres solutions et ne répondra pas à tout,
 ce qui laissera la place à de nombreuses niches locales, et toute la
 liberté pour tout le monde de développer de telles nouvelles niches en
 bénéficiant du travail communautaire et des tas de solutions alternatives
 développés.

 On aura donc un choix réelle entre le DIY (do-it-yourself) et l'achat à un
 fournissseur, avec des différences de coût aussi faible que possible qui
 permettront de faire ce choix et m'ême de le changer à tout moment. Faire
 le choix du libre c'est prendre un abonnement avec frais d'entrée réduit
 (et même nul pour une première utilisation expérimentale limitée), aucun
 frais de résiliation, et aucun engagement (pas comme pour le téléphone
 mobile !)

 Tous les anciens acteurs du logiciel propriétaire se sont mis au libre
 d'une façon ou d'une autre en renonçant à leur marché de niche dont le coût
 de  maintenance augmentait sans arrêt sans pouvoir dégager de nouveaux
 bénéfices. Même Google s'y met avec Android, Android OS et Chromium. Alors
 bientôt Google abandonnera sa plateforme collaborative et aura son
 Google Mappium, pour utiliser son système actuel pour alimenter ou
 utiliser OSM 

Re: [OSM-talk-fr] Article OpenStreetMap sur le Framablog

2013-11-29 Par sujet Philippe Verdy
New-York, Tokyo, et... Vaulx-en-Velin (à 250 euros la carte?)
Ca ressemble plutôt à une blague...



Le 30 novembre 2013 08:13, Ab_fab gamma@gmail.com a écrit :

 Concernant la strategie carto de Google :


 http://www.bilboquet-magazine.fr/revolution-google-lance-une-version-papier-de-google-maps/

 ;-)
 Le 30 nov. 2013 07:30, Philippe Verdy verd...@wanadoo.fr a écrit :

 C'est vrai que les arguments évoqués par cet article d'un bloguiste
 openstrettmappeur utilise des arguments un peu limités pour convaincre. Si
 la bascule vers Google Map API v3 tombe en novembre, Google a prévenu il y
 a déjà plus de 3 ans et prolongé encore 6 mois de plus).

 Dans les faits il faudrait mieux parler de saine concurrence, le fait
 qu'on ne soit plus lié à un seul fournisseur (soit pour héberger un
 serveur, soit un service, soit la bande passante pour les tuiles, ...) et
 que donc les prix demandés par les fournisseurs peuvent être réduits autant
 que possible sur une base saine : celle des coûts réels, et qu'on garde le
 contrôle des données et de la présentation.

 Il suffit de comparer les offres de service pour OSM, elles sont peu
 chères en comparaison de ce que demande Google. Elles sont réactives aussi
 en terme de modifications et d'adaptation, on a plein d'options
 d'intégration.

 Les erreurs trouvées dans la carte sont également vite corrigées dans OSM
 (pas comme dans Google Maps où un signalement prend plusieurs mois avant de
 recevoir une réponse positive, et encore plusieurs semaines pour que la
 correction soit intégrée (Google utilise sa propre communauté pour valider
 les changements, via son appli collaborative cloud extrêmement compliquée à
 utiliser et d'une lenteur à peine croyable; et même quand cete applli cloud
 intègre et accepte une proposition, il faut accord que celle-ci soit
 validée par plusieurs, ce qui prend des semaines là encore. Avant quelle
 soit validée par le système, une Google Car sera repassée et annulera par
 ses données tout le travail collaboratif de la plateforme Google. Bref
 cette communauté Google travaille pour rien, et s'en rend compte, elle ne
 suit pas longtemp le projet (sauf quelques geeks encore passionnés mais qui
 travaillent sur des détails, jamais sur un aspect global du projet de
 Google.

 Je suis convaincu qu'un jour Google arrêtera les frais de sa solutions
 cartographique car ce sera tout bonnement plus facile (et plus rentable
 pour lui) d'utiliser le projet OSM et y contribuer directement. Il se fera
 une raison de la même façon qu'il a intégré aujourd'hui Wikipédia sur ses
 sites (et qu'il y contribue aussi).

 Le business de Google n'est pas sa carte en réalité, c'est le placement
 de sa carte dans des service en ligne en tant que vecteur de publicité et
 d'intégration de son moteur de recherche. Google pourra toujours s'il le
 veut intégrer OSM et ses propres services. Comme par magie alors ses cartes
 seront beaucoup mieux à jour et plus précises qu'actuellement. Meiux que
 ça, il trouvera pour nous plus de données libres à intégrer dans OSM (et il
 nous y aidera techniquement).

 Il supportera aussi la projet en hébergeant des serveur de tuiles très
 performants (en version bitmap ou en version vectorielle). Google a déjà
 construit de très bon alogos de traitement automatique des donénes de ses
 diverses sources (ouvertes ou payantes). Si pour répondre à ses besoins
 commerciaux dans certaines régions, Google décide de continuer à utiliser
 ses Google Car, il les déploiera là où c'est le plus utile, ou pour
 répondre à des besoins de l'actualité (par exemple en cas de crise
 humanitaire urgente où l'actualité se focalise sur une région et amène du
 traffic sur ses sites pour s'intéresser à la région).

 Seulement voilà Google devra se faire une raison: il ne sera plus le seul
 fournisseur de services. S'il veut faire la différence ce sera dans la
 qualité de son service pour les intégrateurs et dans les prix demandés.
 Mais il devra tenir compte des autres solutions et ne répondra pas à tout,
 ce qui laissera la place à de nombreuses niches locales, et toute la
 liberté pour tout le monde de développer de telles nouvelles niches en
 bénéficiant du travail communautaire et des tas de solutions alternatives
 développés.

 On aura donc un choix réelle entre le DIY (do-it-yourself) et l'achat à
 un fournissseur, avec des différences de coût aussi faible que possible qui
 permettront de faire ce choix et m'ême de le changer à tout moment. Faire
 le choix du libre c'est prendre un abonnement avec frais d'entrée réduit
 (et même nul pour une première utilisation expérimentale limitée), aucun
 frais de résiliation, et aucun engagement (pas comme pour le téléphone
 mobile !)

 Tous les anciens acteurs du logiciel propriétaire se sont mis au libre
 d'une façon ou d'une autre en renonçant à leur marché de niche dont le coût
 de  maintenance augmentait sans arrêt sans pouvoir dégager de nouveaux
 bénéfices. Même Google s'y met avec Android, Android OS et 

[OSM-talk-fr] Article OpenStreetMap sur le Framablog

2013-11-28 Par sujet Nicolas Moyroud

Ça date de début novembre, mais j'étais passé à côté.
http://www.framablog.org/index.php/post/2013/11/06/de-google-maps-a-openstreetmap 

Il ne me semble pas avoir vu passer l'info sur cette liste. Désolé si 
c'était déjà le cas.

Je n'ai pas pu m'empêcher d'y laisser un commentaire !

Nicolas

--
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Nicolas Moyroud
Site web libre@vous : http://libreavous.teledetection.fr
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