Bonsoir,
Pour Philippe R.
Les élève s'inscrivent-ils toujours pour passer aux
ateliers ? Y a-t-il toujours la limite du nombre ? Ou d'autres contraintes
?
Si je pose cette question, c'est qu'à force
d'enlever (trop vite ?) des règles (qui imposent ou le moment, ou l'atelier, ou
le groupe), il me semble que j'ai créé le trouble (celui qui déroute les
élèves).
Si je fais le point, depuis la rentrée de janvier,
en me plaçant dans le contexte de la CLIS et de son public "à besoins
particuliers", ,j'ai vu du positif et des points négatifs...
Pour moi, dans un premier temps, la pression s'est
relâchée et le climat de travail a évolué, des élèves se sont engagés dans
des tâches personnelles.
Mais le manque d'autonomie des lèves fait que
je suis en permanence sollicité, pour un prob à l'ordi, gérer les conflits, etc.
Et j'ai du mal à suivre. Le temps de bilan ou de la
réunion n'est pas de trop pour noter ce qui a été fait, qui a besoin d'aide,
....
La difficulté pour certains c'est qu'ils veulent
tout tout de suite, zappent très vite, pour arriver à ne plus savoir quoi
faire.
L'AVS m'a alerté sur le fait que les élèves étaient
perdus (ou plutôt elle ?) avec ce dispositif.
J'ai décidé de remettre en place des temps
repérés (comme dans le tableau ci-dessous), mais je rigidifie le système au
point de ne plus être satisfait : la vie de classe perd de sa spontanéité, de
son inventivité...
Les pagettes ne se font plus !
C'est toujours la crainte de perdre du temps (de
leur faire perdre du temps, alors que la pression des parents est
grande).
Je compte sur les réunions pour trouver des
solutions et organiser le planning des ateliers et des
rendez-vous...
Et chez vous ?
Quels sont les points positifs et ceux qui posent
problèmes ?
Roland
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- [3type] Lâcher du mou dans les ateliers ? Roland LIOGER
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