Bravo
il est temps que le gouvernement soit remis à sa place.
Sauf que nous notre syndicat à signé une entente donc il n'y a pas eu de
moratoire dans notre dossier.
La preuve qu'il est toujours important de se battre pour nos conviction
malgré les menaces et les faibles chance de réussite.
le syndicat a plier les genou trop rapidement comme il a été dit si souvent
sur se forum.
Denis Durand
paramédic
----- Original Message -----
From: "Patrick Dufresne" <[EMAIL PROTECTED]>
To: <smu-l@urgences.ca>
Sent: Wednesday, April 04, 2007 4:34 PM
Subject: SMU-L: LE DÉCRET: jugé illégal par le Bureau international du
travail
Passé le mot dans vos secteurs!!! Le gouvernement n'osera sûrement plus
nous menacer d'un décret suite à cette décision, surtout avec le
gouvernement minoritaire qu'on a actuellement, il n'aura pas autant de
couille puisqu'il pourrait risquer de se faire destituer par les partis
d'oppositions!!!
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Décret dans le secteur public
Le BIT donne raison aux organisations syndicales
Canoë
04/04/2007 15h18
http://207.253.106.35/infos/quebeccanada/archives/2007/04/20070404-151831.html
Le Bureau international du travail condamne le décret gouvernemental qui a
imposé les conditions de travail à 500 000 travailleurs du secteur public
québécois.
«Le BIT nous donne raison sur toute la ligne», clament, dans un
communiqué, les leaders des trois plus grandes organisations syndicales
québécoises. Pour Henri Massé de la FTQ, Claudette Carbonneau de la CSN et
Réjean Parent de la CSQ, «il s'agit d'une importante victoire qui pèse de
tout son poids sur le nouveau gouvernement minoritaire de Jean Charest.
L'occasion lui est offerte de rétablir une injustice et de poser un geste
d'écoute, d'ouverture et de bonne foi.»
Selon le BIT, le projet de loi 142 (devenu loi 43), adopté sous le bâillon
en décembre 2005, va à l'encontre des conventions internationales du
travail dont le Canada et, par conséquent, le Québec sont signataires.
Les plaignants, soit la CSN, la CSQ, la FTQ, la CSD, la FIQ, le SFPQ, le
SPGQ, le SPEQ et l'APEQ, alléguaient que cette loi viole le droit
international en portant atteinte à la liberté d'association syndicale
parce qu'elle a mis fin de façon abrupte et sans raison valable à la
négociation collective et parce qu'elle prive les salarié-es d'un moyen
essentiel dont ils disposent pour promouvoir et défendre leurs intérêts
économiques et sociaux, à savoir le droit de grève. Or, il est reconnu par
l'Organisation internationale du travail (OIT) que le droit à la
négociation collective et le droit de grève constituent des éléments
fondamentaux de la liberté d'association protégée par les conventions
internationales.
Dans sa décision, le BIT sanctionne sévèrement le gouvernement libéral de
Jean Charest. Il le prie instamment d'amender la loi 43 pour la rendre
conforme aux conventions no 87 sur la liberté syndicale et la protection
du droit syndical et no 98 sur le droit d'organisation et de négociation
collective. Le BIT prie également «le gouvernement d'éviter à l'avenir le
recours à des interventions législatives imposant des conditions de
travail, sans qu'il n'y ait eu des consultations franches et approfondies
avec les parties impliquées». En cas de dispute, le gouvernement devrait
considérer la possibilité de soumettre le différend à un arbitrage
impartial et indépendant.
Le BIT espère fermement que les prochaines négociations se dérouleront en
conformité avec ces principes et veut être tenu informé de la situation.
Le BIT réclame, en outre, une révision des «sanctions excessives»
contenues dans la loi 43. Il demande au gouvernement de revoir le régime
de négociation de manière à rétablir la confiance de toutes les parties et
d'y inclure des processus de conciliation, de médiation et d'arbitrage.
Le Bureau international du travail va plus loin et recommande au
gouvernement de ne pas attendre la prochaine négociation en faisant preuve
de souplesse «au cas ou les parties seraient prêtes à apporter des
modifications à l'accord présumé, qui constitue en fait une solution
imposée législativement».
La FTQ, la CSN et la CSQ interpellent le nouveau gouvernement minoritaire
et les partis d'opposition afin qu'ils mettent en oeuvre les
recommandations du BIT. Les trois organisations syndicales attendent que
le gouvernement convoque les parties pour revoir les conditions de travail
des salariés de l'État dans l'esprit de la décision du BIT.
Le BIT a déjà condamné, il y a un an, le gouvernement Charest pour ses
lois 7 et 8 qui, selon lui, nient le droit à la syndicalisation à près de
25 000 travailleuses qui oeuvrent en milieu familial dans les services de
garde et dans les soins aux personnes en perte d'autonomie ou déficientes
intellectuelles. Le BIT demandait au gouvernement Charest d'amender ses
deux lois, demande qui est restée lettre morte.
--- SMU-L
Le Petit Compendium 2007, guide de r f rence sur les m dicaments 2007, est
maintenant disponible.
R servez votre copie sur le site www.lepetitcompendium.com
<http://www.lepetitcompendium.com>
--- SMU-L
Les moderateurs de la liste d'echange du prehospitalier sont Andre
Beaulieu, Jean Blanchette et Stephan Gascon. Vous pouvez les joindre
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