Bonjour à tous Je vous lis toujours même si je parle pas souvent. Pour l'AVC, hier à la facture, deux choses. Premièrement l'atterissage d'urgence d'un avion commerciale peut coûter en frais divers près de 1 millions de dollard, selon une amie d'une autre compagnie aérienne, donc le but c'est de le moins possible de faire d'attérissage d'urgence et cette décision reviens au commandent de bord qui est le seul maître à bord après Dieu (selon amie avant même Dieu), ce commandent n'a aucune formation médical. Deuxièment la compagnie ambulancière est une compagnie privée pour des transport non urgent. Les question à se poser sont: pourquoi donner la décision sur de quoi d'inconnue au commandent? (équipe médical au sol de chaque compagnie aérienne pour prendre une bonne décision) Le service de santé de l'aéroport ne pas vu l'état d'urgence du patient? Pourquoi la compagnie ambulancière n'a pas fait appel aus ervice du samu vu l'urgence de la situation? Comme souvent il faut que des catastrophes arrive , pour prévoir...... Michel Levert premier répondant et instructeurs Ce message contient de l'information destinée au seul usage dudestinataire ou de son représentant autorisé. Toute personne quireçoit ce courriel par erreur doit en aviser immédiatementl"expéditeur et détruire le courriel. Les transmissions decourriels ne peuvent être garanties exemptes d'erreurs puisquel'information peut être interceptée, modifiée ou contenir desvirus. L'expéditeur ne peut donc accepter de responsabilitéquant aux dommages causés par une modification frauduleuse dumessage, y compris, sans s'y limiter, tout dommage occasionné parun virus qu'il aurait transmis.
Date: Tue, 29 Jan 2008 20:19:47 -0500From: [EMAIL PROTECTED]: [EMAIL PROTECTED]: SMU-L: AVC en Avion...Bonsoir à tous,Je viens de voir un reportage très intéressant à La facture. Le sujet, un Québécois de 73 ans victime d'un AVC sur un vol de Air France. Lors du vol l'homme en questioncommence à avoir des signes et symptômes d'AVC. Il y a 2 cardiologues à la retraiteà bord qui sont à son chevet. Mais à 30 000 pieds dans les airs, il n'y a pas beaucoupde solutions. Ils l'étendent au sol et on demande au commandant de se poser le plusvite possible. Il refuse et garde le cap sur la france.Bon, à ce moment, la conjoite dis qu'il est 00h20, les 2 cardiologues 01h00 et air france02h00..qui dis vrai? À 00h20 l'avion survole le nouveau Brunsewick et pourrais facilementse poser à St-johns. L'hôpital le plus près cabable de lui donner la trombolyse...10 min.Si on mets ça au pire...il est rendu 02h00 donc à environ 90 min passé St-John's. C'estlimite, mais la thrombolyse est toujours possible...Si le commandant veux faire demi-tour.Mais voilà, le commandant refuse et pire refuse de faire appel aux SAMU qui ont un servicede consultants médicaux pour guider les commandants dans des cas similaires...Quelques heures plus tard, l'avion se pose, et l'homme est évacué non pas à l'hôpital maisà l'infirmerie. Il attends là 3hrs de plus (changement de quart). Une ambulance privée arriveenfin. Ils exigents le paiment de 233 euros. la dame en a 200. elles implore les paramédicsde se mettre en route régler la note plus tard.... Ils se mettent en route...vers le guichet...puisun 2e guichet.... (4 arrêts au guichet selon la conjointe, 2 selon la compagnie). Bref, 1heure de transport. L'homme de 73 décède quelques jours plus tard.Je trouve cette histoire très troublante. Je trouve un peu ridicule qu'un pilote n'a pas l'obligations'il le peux de se poser pour des urgences médicales. c'est laissé à sa discrétion. Pire, il a aussi le loisir d'informer ou non les autorités de l'aéroport pour évacuer la victime le plus vitepossible. Et que dire de ces 2 paramédics qui refusent de se rendre à l'hôpital et optent pourle guichet. Bon, c'est une compagnie privée et ils ont leurs procédures, particulièrement pourles clients étrangers, mais quand même...les faits remontent à mars 2004. l'enquête n'est pas encore terminé. Il y a toujours la possibilitéque des accusations de négligence ou de non assistance à une personne en danger. C'est justedommage qu'un décès dois survenir avant qu'on décide d'agir. En attandant, les commandantsont toujours le loisir de choisir ce que ça leur dis bien de faire...en souhaitant que c'est appelerà changer très bientôt.Olivier St-PierreParamédic CUS _________________________________________________________________