Je vois dans tes commentaires bas de gamme, un vieux burn out qui circule
encore avec les oeillères du RETAQ. 

 

Bonne journée 

 

Normand

P Avant d'imprimer, pensez à l'environnement!

 

-----Message d'origine-----
De : smu-l@urgences.ca [mailto:[EMAIL PROTECTED] De la part de Affaires
Envoyé : 7 février 2008 12:36
À : [EMAIL PROTECTED]
Objet : SMU-L: Re: SMU-L: Nouvelle menace de grève à Urgences-santé

 

Quelle menace de grève ???

 

Ça m'a pris du temps pour arrêter de rire...  L'entente de principe ne tient
plus ?  Vous êtes surpris ?  Vraiment ?   Pas moi !

 

Leclerc patauge dans l'incertitude,  c'est clair,  et le gouvernement l'a
bien compris,  je cite:  "... On se demande à quoi joue l'employeur, dit M.
Leclerc."  Ah bon.  M. Leclerc en est encore à se poser des questions,  en
pleine négo !  Vraiment impressionnant !

 

On continue:  "... -- l'employeur --  semble être de mauvaise foi."  Wow !
Vite,  ça prend une intervention de l'ONU !  L'employeur de mauvaise foi !
Veux-tu des Tylenol,  Réjean ? Ça doit te causer des sérieux maux de tête,
une immense révélation comme celle-là !

 

"Notre mandat de grève est encore bon, laisse entendre M. Leclerc."  Ben
non,  Réjean !  Arrête de japper !  Tu n'a jamais eu l'intention de faire la
grève,  même légale !  Et c'est pour ça que le gouvernement ne respecte pas
l'entente de principe,  c'est tout !  Car le gouvernement a vu à travers ton
jeu.  Il a vu que tu n'avais pas de couilles...  Tu as eu beau avoir les
larmes au yeux quand tu as demandé un mandat fort à l'assemblée générale,
un mandat de 100% de votre de grève,  mais tu ne t'en es pas servi.  Et tu
as niaisé les membres du SPH,  surtout les plus anciens,  en présentant une
entente de principe VOCALEMENT en assemblée,  sans aucun document en mains,
entente qui a été rejetée.

 

Et une semaine plus tard,  en bafouant allègrement tout soupçon de
démocratie,  tu as présenté une prioposition "amendée",  SOIT EXACTEMENT LA
MÊME CHOSE,  avec une ou deux virgules en plus.  Et tu as obtenu ton petit
76%...

 

Et aujourd'hui,  ça te chie entre les mains...  Alors,  vas-y mon Réjean,
va faire la grève.  Tu-seul,  comme un grand.  Moi,  je n'y serai pas.  Tu
as manqué le rendez-vous avec l'histoire que tu aurais pu susciter,  alors
coule le bateau tu-seul.  Et amène avec toi tout le reste de l'exécutif,  et
même Michel Forget le négociateur-expert,  et la CSN au grand complet si tu
veux.

 

Braaaavo....

 

 

André Beaulieu

paramédic Montréal-Laval
membre APPQ et SPH

futur membre d'une véritable Fraternité des paramédics,  un jour...

 

 


 

 

 

 

 

----- Original Message ----- 

From: Alexandre <mailto:[EMAIL PROTECTED]>  Lacombe 

To: [EMAIL PROTECTED] 

Sent: Thursday, February 07, 2008 9:25 AM

Subject: SMU-L: Nouvelle menace de grève à Urgences-santé

 

http://www.cyberpresse.ca/article/20080207/CPACTUALITES/802070438/5025/CPDMI
NUTE

 

Le jeudi 07 février 2008

 

Nouvelle menace de grève à Urgences-santé

Ariane Lacoursière

La Presse

 

Les ambulanciers paramédicaux d'Urgences-santé et leur employeur sont de
nouveau à couteaux tirés. L'entente de principe que les deux parties avaient
conclue avant Noël pourrait tomber à l'eau. Conséquence: une nouvelle menace
de grève pointe à l'horizon.

 

Le 7 décembre, le Syndicat du préhospitalier, qui représente 824
techniciens-ambulanciers paramédicaux du Québec, et Urgences-santé avait
conclu une entente de principe après de longues semaines de négociations.
Les paramédicaux, qui sont sans convention collective depuis juin 2005, y
obtenaient plusieurs gains, dont des augmentations de salaire. Dès 2009,
leur salaire horaire maximal devait passer de 22,44$ à 30,40$.

«Mais à la mi-janvier, l'employeur nous a transmis sa version écrite de
l'entente de principe. On est tombé à terre. Il recule sur tout!» déplore le
président du Syndicat du préhospitalier-CSN, Réjean Leclerc. Par exemple,
l'échéance disant que les augmentations de salaire entreront en vigueur dès
2009 a été enlevée, selon M. Leclerc. «Plusieurs éléments essentiels de ce
genre ont disparu. On se demande à quoi joue l'employeur, dit M. Leclerc. Il
semble être de mauvaise foi.»

La partie patronale se défend de vouloir «revenir à zéro». «Sur les 20
points de l'entente, on en a accepté 12. On veut poursuivre les
discussions», affirme le porte-parole d'Urgences-santé, Éric Berri. Selon
lui, les divergences entre le Syndicat et Urgences-santé ne touchent que
quelques «points mineurs» dans le texte de l'entente de principe.

 

Reculs majeurs

 

Mais le Syndicat du préhospitalier ne voit pas les choses de la même façon,
estimant que «les reculs proposés par l'employeur sont trop majeurs». «Le 2
décembre dernier, nos membres ont adopté un mandat de grève que nous n'avons
pas encore mis à exécution. On n'a pas encore signé de convention
collective. Notre mandat de grève est encore bon», laisse entendre M.
Leclerc.

Depuis plusieurs mois, les paramédicaux du Québec déplorent leurs mauvaises
conditions de travail. Le manque d'effectifs et les nombreuses heures
supplémentaires font que plusieurs travailleurs sont au bout du rouleau.
«L'entente aurait permis de régler certains de ces problèmes. Mais là, elle
ne tient plus», critique M. Leclerc.

 


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