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OpenStreetMap rebat les cartes


Géolocalisation . Comme Foursquare et Apple, de plus en plus de sociétés quittent Google Maps pour le projet libre.
Par Camille Gévaudan

Qype, TripAdvisor, Dismoioù, ABonEntendeur… Tous ces services très populaires basés sur la géolocalisation utilisent Google Maps pour afficher leurs cartes et plans de quartier. Jusqu’à la semaine dernière, c’était également le cas de Foursquare, ce célèbre géo-réseau social où l’on fait des «check-ins» dans les lieux qu’on fréquente. Mais une annonce de la société américaine a fait trembler le petit monde de la géographie en ligne : «Foursquare rejoint le mouvement OpenStreetMap ! Dites bonjour à nos jolies nouvelles cartes !»

Les habitués du site remarqueront, outre le changement esthétique (le look Google Maps, avec ses grosses routes orange, va laisser place à des cartes aux tons plus pastel), une amélioration flagrante du niveau de détail dans leurs quartiers de prédilection : tracé des bâtiments, sentiers dans les espaces verts… sans compter les rues condamnées provisoirement pour cause de travaux !

OpenStreetMap doit cette qualité et cette «fraîcheur» des cartes à sa nature communautaire : comme Wikipédia, il s’agit d’un projet collaboratif reposant sur le travail bénévole d’internautes passionnés, qui redessinent leur quartier et mettent à jour leurs plans avec une réactivité bien supérieure à celle du mastodonte Google. Les cartes sont publiées sous une licence libre qui autorise toute réutilisation, modification ou redistribution à condition que la source soit citée.

Le succès d’OpenStreetMap va croissant et, ces derniers temps, de nombreuses entreprises travaillant avec des supports cartographiques ont choisi de délaisser Google pour son alternative libre : l’institut météorologique du Danemark, des sites immobiliers… Certains invoquent des raisons financières, car Google Maps fait depuis peu payer les utilisations commerciales les plus intensives de ses cartes - 150 000 à 2 250 000 euros par an pour StreetEasy, par exemple. D’autres ne s’en disent pas gênés, mais cherchent des cartes plus précises et plus récentes, avec plus de souplesse et de contrôle, plus d’outils pour travailler eux-mêmes leur matière première. C’est le cas d’Apple, qui semble prendre son indépendance vis-à-vis de Google. Dans son logiciel iPhoto, les cartes permettant de géolocaliser les clichés ont elles aussi basculé de Google Maps vers OpenStreetMap pour tous les pays, excepté les Etats-Unis.

La migration de ces deux acteurs de poids offre une légitimité et une publicité plus que bienvenues au projet libre, dont beaucoup de contributeurs considèrent la cartographie comme une mission de service public.

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