"Un mouvement comme OpenStreetMap bénéficie ainsi en France de l’engagement d’ingénieurs ou de techniciens du ministère de l’Equipement ou de l’Institut Géographique National (IGN) qui s’investissent, en dehors de leurs horaires de travail, dans ce projet collaboratif pour rivaliser avec Google dans la cartographie et le surpasser, sur certains critères, ce que les organismes publics n’ont pas su faire"
Aaah les saligauds ils ont oubliés de citer les ingénieurs et techniciens de Michelin et de l'IRSTEA ! ;-)

Nicolas


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