Le Mercredi, 5 Septembre 2001 13.28, fort courroucé, David BAUDENS écrivait : > Non, pas "évidemment". Les options --force et --nodeps ne > devraient être utilisées que dans des cas exceptionnels > et uniquement par des personnes qui savent exactement > (i.e. qui comprennent les tenants et les aboutissants) ce > qu'elles font. En d'autres termes, un utilisateur normal > ne devrait JAMAIS les utiliser. Certes. > Si vous outrepassez ces simples conseils, ne vous étonnez > pas de voir votre système fonctionner de manière > incorrect (si ce n'est plus du tout) et/ou d'avoir des > problèmes pour installer des paquetages. > > Si vous tenez à utilisez des paquetages plus récents que > fourni dans votre distribution, veuillez au moins suivre > les instructions fournies avec lesdits paquetages et > faire en sorte de les installer proprement. Certes encore. Je ne puis qu'abonder. Ces propos, outre qu'ils sont pertinents, sont également sages. Mais... car s'il n'y avait pas de "mais" que serait la vie ? Mais donc, j'abonderais encore plus abondamment si j'étais parvenu, en suivant les divers conseils avisés, à effectivement installer ce sacré KDE 2.2. Car enfin, que faire lorsque la procédure lancée (je ne parle pas de urpmi, qui a roulé comme une belle machine jusqu'au moment où il a commencé à me trouver des incompatibiltés avec la version 2.1.1 (ben tiens)... ? Que dire d'une tentative de désinstallation de la dite 2.1.1. qui me répond (la commande, pas la tentative) qu'elle n'est pas installée ? Que penser encore de la commande rpm -Uvh qui me retourne des demandes de dépendances de paquets en installation, justement ? Et comment réagir, enfin, lorsque la procédure peu orthodoxe par ton serviteur utilisée se révèle simplement la plus simple... ? Oh ! Bien sûr, il doit y avoir de la constipation dans les entrailles de mon système, voire pire. Mais n'est-ce pas là aussi une manière d'apprendre (un tantinet empirique d'accord, mais jusqu'à preuve du contraire, cet empirisme est au fond assez linuxien), une façon de (tenter de ?) comprendre le pourquoi du comment du pourquoi ? Mon hétérodoxie, doublée d'une naïveté toute repentante, me pousse même à me demander si, horreur !, la numérotation des paquets (afin d'éventuellement résoudre les problèmes de dépendance liés à l'ordre d'installation) ne serait pas un début de commencement de solution. Après près de 2 ans de pratique fidèle de Linux, j'ai en tout cas appris que mes erreurs m'apprenaient plus que des procédures auxquelles j'obéissais le doigts sur la couture du falzar. Quoi qu'il en soit, je remercie l'équipe de Mandrake pour son boulot et je te salue bien bas pour ton aide toujours éclairée. Cordialement, Gérald
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