Le Fri, 15 Nov 2002 16:53:47 +0100 Georges Mariano <[EMAIL PROTECTED]> a tapoté sur son clavier :
> Je précise : je ne suis évidemment pas contre le fait que Debian > s'organise pour fournir à (long...) terme les trucs derniers cris et > bien lourds (evolution, nautilus, kde3, ...) mais faudrait quand même > faire un peu gaffe à ce que les applis qui s'efforçent de rester > légères puissent encore être simplement installables sur des machines > légères... [...] > PS : Et j'aimerai bien que, sur cette contribution parfaitement > inutile de ma part, un mainteneur Debian (au hasard, qui aurait une > légère tendance à matraquer les têtes qui dépassent ;-), viennent nous > expliquer ici clairement la justification de ce phénomène. Parce qu'il > y en a une, vu que c'est Debian ! ... Bonjour les gens, C'est l'amateur de trucs bien lourds et « bleeding-edge » qui parle (et qui pourtant utilise Windows Maker) qui parle et surtout l'admirateur du travail fait par les mainteneurs bénévoles de la distribution qui est devenu ma distribution préférée. Georges, je comprends ton désarroi face à la course à l'armement qui agite les distribution GNU/Linux, tout comme le monde de l'informatique en général. Bien sûr, dans un monde idéal, on pourrait imaginer que les diverses versions de Debian coexistent de manière idyllique. Chaque logiciel existant sous la forme d'un paquet pour chaque arbre de dépendance de la grande famille de Toy Story. Néanmoins, n'étant pas développeur ni mainteneur, j'ai du mal à imaginer le titanesque d'une telle tâche. Par contre, et c'est là l'avantage des Logiciels Libres, je pense que chacun peut mettre les mains dans le cambouis et, dans le cas de Debian, créer ses propres paquets adaptés à son arbre de dépendances, puis d'en faire profiter la communauté. ;-) Dans le cas d'une configuration très spéciale (et les « vieilles » machine sont une configuration spéciales), les méta-distributions ne sont-elles pas une solution ? Quitte bien sûr à compiler sur une machine plus puissantes. Sur ce, bon week-end puisque nous sommes vendredi. ;-) Yannick -- Un journal découpé en morceaux, ça n'intéresse pas une femme. Mais une femme découpée en morceaux, ça intéresse les journaux. Coluche