William Dode a écrit :
Patrice KARATCHENTZEFF <[EMAIL PROTECTED]> writes:

[...]


Et pourquoi Debian ne ferait-il pas la même chose ? On démarre le
premier janvier, on gèle en septembre, on release le 25 décembre et
rebelotte ?


Tu parles beaucoup de réalité en entreprise etc... hors en entreprise
justement ce qui est important c'est d'avoir quelque chose de stable
dans le sens "qui ne bouge pas" étant donné que chaque changement a un
coût (phase de test, changement d'habitudes, formation).
Bien sur il faut évoluer de temps en temps, mais le cycle souhaité est
rarement en dessous de 2 ans et bien plus dans le monde industriel et
dans l'administration par ex.
C'est une règle d'or en informatique, on ne touche pas quelque chose qui
marche ! Qui a été nuancée du fait des problèmes de sécurité uniquement.

1 an c'est bien trop court, imagine quand tu développe une grosse
application, ça prend facilement 1 an. Si le jour où tu la sort le
système sous-jacent a complètement changé t'es foutu...


Là je suis entièrement d'accord, 1 an c'est trop court. Et en général tant qu'on à pas besoin d'une nouvelle fonctionnalité autant rester sur ce qui marche. Par contre il y'a le soucis de certains packages... Notamment Postfix, Samba, Clamav, etc... On est bien obligé de backporter clamav si l'on veux un anti virus sur sa messagerie. Quand à KDE c'est un autre soucis, on parle là de station cliente (je n'ai pas d'interface graphique sur les serveurs), et il est vrai que pour une station cliente le développement Debian est bien long car les applis bougent bcp. Il serait intérréssant de tenir 2 ans en moyenne sur une version, enfin c mon avis... Mais pour un serveur il est vrai que ça fait court...

sich

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