Bonjour, je m'immisce...
A propos de cette lettre électronique envoyée par le ministère de
l'éducation à "ses" agents, plusieurs choses :
- l'inscription a été faite d'office sans demander leur avis aux
destinataires
- aucun lien de désinscription n'est présent
- cette lettre électronique est envoyée aux adresses
"institutionnelles", c'est à dire en @ac-bordeaux.fr pour ma part.
J'avais un peu râlé en novembre dernier et avais reçu une réponse qui
disait en substance : le ministre a décidé de communiquer avec ses
personnels par les moyens qu'il leur a attribués. Rompez les rangs !
Donc la question est aussi :
- la possibilité de désinscription telle que rappelée par la CNIL
existe-t-elle aussi pour les adresses "professionnelles" ?
Tout en sachant que celles et ceux qui avaient transmis pour une raison
ou une autre leur adresse "personnelle" se sont également vus abonnés
d'office à ce spam institutionnel.
Sur le fond, la propagande institutionnelle imposée aboutira sans doute
à l'effet inverse de celui recherché : lassitude et colère ?
Luc Mamin
bien sûr c'est toujours un peu hors sujet sur cette liste...
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Guillaume a écrit :
Francois Gatto a écrit :
D'une manière générale, les sites informe des droits des visiteurs et
surtout de utilisateurs qui seraient amenés à s'inscrire à un
quelconque service. Ils reprennent de manière résumée la loi
Informatique & Liberté en énonçant quelque chose comme :
"Conformément aux articles 38 à 40 de la Loi 78-17 modifiée ,vous
disposez d'un droit d'accès, de rectification, de suppression des
données vous concernant."
Pour les détails et textes légaux voir la CNIL :
http://www.cnil.fr/index.php?id=301#Article38
Pour ce qui concerne donc les "newsletters", une inscription
préalable est requise, donc requiert la possibilité d'en modifier,
voire d'en supprimer le contenu ... au delà d'aspects contractuels
spécifiques comme par exemple un abonnement payant.
Bonjour et merci de la réponse.
Je posais la question car le MEN, depuis septembre 2006, a mis en
place une lettre d'information et de propagande "Question d'éducation"
pour laquelle il n'y a pas, semble-t-il, de façon de se désinscrire...
Guillaume