Le 02/02/2024 à 09:19, David Ponzone a écrit :
Ok je sors une seconde fois.

On va faire installer des bancs à l'ombre et un mini-bar, car on va être nombreux dehors :-) En plus, en ce mois de Mai, il y fait plutôt bon ! :-)

Plus sérieusement, je suis étonné qu’en 2024, il n’y ait pas une techno
qui permette d’héberger des données sensibles « agnostiquement » dans
plusieurs clouds

Moi, ce qui m'étonne, c'est que personne ne se penche sur ce type d'infra :
- Les développeurs applicatifs et les utilisateurs finaux ne veulent pas s'embêter à construire et maintenir de l'infra, et préfèrent s'appuyer sur des trucs qui "juste marchent", sans se soucier de savoir comment çà marche. C'est l'inconvénient du cloud (ou l'avantage, selon que l'on soit acheteur ou vendeur). Si tu veux acheter une Ferrari et que j'essaye de te vendre un Lada peint en rouge à la bombe sur le parking du super-U local, tu vas probablement t'en apercevoir :-) Avec le "cloud", j'ai l'impression que personne ne fait l'effort de gratter la peinture pour voir ce qu'il y a dessous... - Les constructeurs d'infra (car il me semble qu'il y en a tout de même quelques-uns en France, et qui ne font pas que du caca), eh bien, on a un peu l'impression que tout le monde s'en fout ! Dans mon modeste DC à Ajaccio, nous sommes 4 dans l'espace de colocation ! Où sont tous les autres ? Ailleurs. Il faut des catastrophes pour qu'on (re)commence à parler de gérer ses déchets localement, de produire son énergie localement, d'acheter son poulet et son blé localement. Peut-être faut-il attendre également une catastrophe pour qu'on prenne conscience qu'il serait de bon aloi d'apprendre à gérer et exploiter ses données localement ?

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