Bonsoir à tous.

        Tout d'abord, merci à ceux qui répondu à mon premier SOS... Je
vois que certains ici font un mail spécifique pour ce genre de choses,
personnellement, je préfère éviter, cela sert à quoi, sinon à montrer
à la communauté qu'on est reconnaissant et poli ? (ce que je veux
dire, c'est qu'on peut très bien remercier par mail privé, par
exemple)

        Bon, je commence peut-être pas bien mon nouveau SOS, moi...


        Je coince sur UNE dernière phrase... Je la retourne dans tous
les sens, et je n'arrive pas à trouver une traduction satisfaisante,
bien que le sens soit très clair.

        Le personnage vient de tirer avec une arme, mais a raté sa
cible d'un cheveu, et "He contemplated the nearness of his miss". Donc
il considère, il étudie qu'il a raté de très peu (il va ensuite se
demander si il ne pourrait pas tirer leçon de son échec).

J'ai essayé des choses comme :
"Il considéra comme il avait raté son coup de peu" : cela a gêné ma
compagne à la lecture.
"Il considéra à quel point il avait raté son coup de peu" : bof, il me
semble que "à quel point" s'utilise plutôt pour mettre l'emphase sur
une importance, non sur une petitesse (suis-je clair ?)

Suggestions ? J'ai l'impression que la solution est évidente et que je
ne la vois pas, c'est très frustrant !


Sinon, pour une autre traduction, on rejoint encore l'Afrique :

- quelqu'un connaîtrait-il le nom français de l'arbre "flame tree" ?
        L'action serait située aux Antilles, j'aurais mis flamboyant,
mais il s'agit du Kenya...

- s'il y a un spécialiste de l'argot colonial dans l'assistance ;-) il
pourra peut-être me suggérer une traduction de "tommie meat", qui est
(était) une expression argotique des colons anglais pour désigner de
la viande de gazelle Thompson...

C'est plus le Kenya... je cherche ce que représente (ou représentait
dans les années 30) le "Lord High Constable" d'Ecosse...


        Bonne semaine à tous,
-- 
Gilles Goullet ([EMAIL PROTECTED])
http://surf.to/Le_ParaDick/ (ex "Philip K. Dick en français")
>> "La paresse, c'est se lever à six heures du matin pour
>> avoir plus longtemps à ne rien faire."                 -- Tristan BERNARD

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