Alain Vaugham a écrit :
[...]
> C'est six fichiers mbox. Le plus gros = 740Mo
> Quand c'est bien synchronisé, en Ethernet imap c'est très rapide à tel point 
> qu'il n'y a que très peu de différences par rapport à du local.
> Quand il y a problème, je ne sais pas si c'est dû à une sorte de réplication 
> locale auquel cas je comprendrai le phénomène de désynchronisation.
> D'autre part il y a peu d'autre traffic sur le réseau.

Déjà, si je ne m'abuse, en stockant tes messages dans des fichiers mbox, 
tu interdits l'utilisation des dossiers/sous-dossiers avec Imap, ce qui 
est pourtant un de ses gros avantages.

Ensuite, je ne crois pas que ce soit une synchronisation complète du 
contenu du fichier. En fait, ton client de messagerie (Thunderbird, 
kmail ou autre), pour aller plus vite, indexe les messages avec leurs 
meta-informations (sujet, date, taille, expéditeur, ...) Ainsi, il n'a 
pas besoin d'interroger le serveur pour récupérer la liste des 10000 
messages et pour afficher cette liste. Il n'ira interroger le serveur 
que si tu demandes explicitement (double clic, par exemple) à consulter 
le contenu d'un message. Le soucis est que ces fichiers d'index peuvent 
être corrompus (ca arrive parfois ici, en cas de pepin réseau car les 
répertoires home sont sur NFS). Dans ce cas, c'est comme si tu les 
supprimais, ton client de messagerie va devoir télécharger l'intégralité 
du ficheir mbox pour récupérer ces informations et reconstruire son index.

Il me semble que si tu es en Imap, le client peut demander au serveur de 
lui envoyer les informations sans envoyer tout le contenu des messages, 
ce qui allegerait ton réseau en cas de "resynchro". Mais je ne suis pas 
certain. Par contre, le client peut demander au serveur IMAP de faire 
les recherches pour lui.


Pourquoi as tu choisi mbox comme format de stockage ?

Fanfan
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