Salut, Je trouve certaines contributions à ce fil de discution assez intéressantes pour proposer mes réponses-questions à 2 centimes (d'euros, hein ! Faut pas déconner non plus, crise oblige ! ;) ).
À la lecture, deux aspects se dégagent principalement, non ? D'une part un reproche de manque de compétences/moyens et d'autre part des retours demandant soit meilleure confirmation des propos avancés, soit abstraction de tout aspect "global". D'autres axes d'analyse pourraient peut-être cependant faire sens et ce de manière plus constructive que le "oui/non" ou "tu as tord/j'ai raison" ? Je m'engage dans ce sens. J'ai eu la chance d'être enseignant. Ce en fac(s), voir similés (sic...), de manière rémunérée ; et dans des structures associativement financées par des chômeurs (bénévole, en assistance de personnel rémunéré). De manière très volontaire et au vu des structures et problèmes adressés, je n'ai absolument pas pris la même approche, ni considéré les mêmes enjeux. La question très large adressée ici est la place du libre dans le cadre d'une formation. Que vaut un CV actuel, s'il n'est pas fait sous Word ? Pourquoi ? Comment y remédier ? Et si on veut être auto-entrepreneur sur du travail n'étant pas marié à l'informatique, peut-on le faire si facilement ? La question en jeu est comment mettre le libre au sein de ce contexte. Contexte de décision généralement rapide : ça marche / ça marche pas. Ce n'est pas "free, as in free beer" :) Du coup, à ceux qui sont détracteurs d'une position pour des cours de qualité, je pose la question suivante : - comment inciter les bénévoles à mieux insérer l'outil libre dans une formation ? Et à ceux qui sont pour un accès libre : - comment rémunérer un effort social ? En commençant à apporter des réponses à ces questions, ça sera un tout petit pas. A côté d'un très gros troll ;) -- Benoît
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