> Aujourd'hui les écoles forment plus à "pisser" du code. En tant que
chef
> d eprojet informatique, j'ai très souvent vu de jeunes diplômés coder
> sans penser ni au test ni à la traçabilité par exemple. Encore moins
à
> la réutilisation du code aussi. Je ne parle pas des commentaires et de
> la documentation.
> 
> Ce qui fait la qualité de l'enseignement de la programmation, ce st
> aussi que l'enseignant sachent ce que veut dire faire du développement
> de façon professionnelle, ce qui n 'est pas toujours le cas (encore
> qu'il serait pourtant facile de penser qu'avec le temps de plus en plus
> d 'enseignant aient eu une carrière préalable ailleurs que dans
> l'enseignement).
> 

Peut etre le probleme est que de nos jours les jeunes ont tous a 15 ans
leur ordinateur et font de la bidouille "programmatoire".
Les écoles et les étudiants ont donc tendance a vouloir se démarquer des
gens n'ayant pas ( encore ) le diplome par la methodologie et les bonnes
pratiques.
Du coup i) on est passé par dessus beaucoups de choses interréssantes ii)
Si les bonnes pratiques sont respectées alors l'unicité de pensée fait
que le code est toujours lisible et de qualité iii) si il y a du vieux ca
merde et ca n'est pas de leur faute iii-bis) si les modules tierce partie
merdent ca n'est pas de leur faute.
Le pire dans tout ca c'est que lorsque les bonnes pratiques ne sont pas
possibles pour des raisons de performance ou de deadline, ils se croient
tout permit ( notement car ils n'ont pas appris autre chose ) et font les
pires conneries.

Des bonnes pratiques d'il y a 15 ans ont été déja oubliées ( ex.
prendre des valeurs numériques dans la doc et les copier coller dans le
code au lieu de les recopier, ex. 2 : ne jamais changer le sens d'une
variable, il il y a maintenant un deuxieme cas de figure, remplacer la
déclaration de myvar en myvar1 et myvar2 plutot que d'ajouter un myvar2,
si toutes les occurances n'ont pas été trouvées, le compilateur les
trouvera etc... )

La regle numéro un de la qualité logiciel est ne négliger aucune
méthode the qualité. Il est clair que les risques et les types de risque
vont privilégier certaines démarches. Ca c'est aussi au chef de projet de
définir le steering en fonction de l'environment.

Dans les anecdotes:
Un module composé de fonctions f, g, h, i etc... appelées en cascade
avait besoin de fonctionner avec 4 type de parametres d'appel de f mais la
classe était passée aux autres fonctions sans traitement, seule la
derniere fonction avait un comportement different en fonction du type. Le
mec a copié collé 10 pages de code en faisant de l'édition de texte pour
le type car mettre un switch case dans la derniere fonction n'était pas
une pratique objet et les deadlines ne permettaient pas d'écrire une base
virtuelle.




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