[CC21] Re: [CC21] liberté de presse

[Onan_HB]

Je ne comprends toujours pas pourquoi ceci est 
inséré dans la cyberliste mais néanmoins il eut été étonnant, vu vos propos 
poujadistes, que cela reste sans suite. Il est évident, je vous l'accorde, que 
la violence dont vous avez été victime n'est pas tolérable... Un procès en 
diffamation tout au plus !
 
Bien à vous et bon rétablissement.

  - Original Message - 
  From: 
  Frans 
  BADOT 
  To: CyberCafe21 
  Sent: Monday, April 01, 2002 11:04 
  PM
  Subject: [CC21] liberté de presse
  
  ceci
  
  
   
   
   
  
  (petite) Mise au point.
   
  Dans notre précédent numéro, le sémillant Frans Badot 
  remettait en cause l’intégrité morale et intellectuelle de notre tête de turc 
  favorite ; Jean Louvet.
  Par pure éthique, je ne pense pas que Frans ait eu 
  raison de prendre la défense de son vieux camarade Manu Bonmarriage, mais mes 
  conseils pour l’en dissuader sont restés vains.
  Soit. 
  De 
  tous temps, la satyre a existé et je doute que ceux qui la traquent  puissent se prétendre de gauche. 
  
  Un 
  soir de carnaval, voilà la fine équipe du Studio Théâtre qui s’en prend à 
  votre humble serviteur. J’ai beau arguer que ma participation bénévole à ce 
  canard se borne, tant bien que mal, à réaliser la mise en page, rien n’y fait. 
  J’assiste, pétrifié, à un lamentable quiproquo; devant moi une nymphette 
  piétine un batia imaginaire qu’elle qualifie dans un hurlement hystérique 
  d ‘ignoble torchon pendant que son compagnon à la mine patibulaire et au 
  crâne rasé (S’agit-il d’une probable recrue du NSDAP ou finit-il une lourde et 
  pénible chimiothérapie ?) me vomit un incompréhensible flot d’insultes où 
  je crois comprendre qu’il vient de prêter serment d’allégeance à son maître 
  Jean Louvet.
  Devant mon inertie (due non pas au yoga que je n’ai 
  jamais pratiqué mais bien à la vingtaine de mauvaises bières que je viens de 
  m’enfiler) ils finissent enfin par se lasser m’abandonnant perplexe et couvert 
  de postillons. Il est bien connu que la violence est le dernier refuge des 
  imbéciles…
  Pourtant, je les connais ces jeunes 
  théâtreux ; je  les ai 
  côtoyés tout un temps.
  Il 
  ne sont pas bien méchants ; certes, il se prennent un peu trop au 
  sérieux : tantôt, ils se prennent pour de véritables comédiens, tantôt, 
  ils sont persuadés de devenir de grands écrivains. Comme celles de leur Maître 
  leur Œuvres sont néanmoins d’un ennui redoutable même si leurs intentions sont 
  louables : éveiller une certaine « conscience sociale » chez 
  leurs semblables.
  Ce 
  que je trouve particulièrement étrange c’est la fidélité aveugle qu’ils vouent 
  à  la personnification de notre 
  Conscience Wallonne ; je reste intimement convaincu que Jean Louvet 
  utilise ces gamins et abuse de leur crédulité pour asseoir son 
  « succès ». En effet, outre les souvenirs amusant qu’il se plaît à 
  leur conter (l’histoire du pot d’or caché dans la cave de son papa est une de 
  mes favorites) le Maître pratique sur ses disciples un véritable 
  conditionnement mental : « régionalisme », « conscience de 
  classe » et autres fadaises néo-marxistes dont Jean à l’habitude de se 
  gargariser.
  Il 
  faut le voir, le Maître, le samedi, à la nuit tombante, dans un caboulot 
  sordide, haranguer ses troupes : celui-ci est encouragé pour son 
  abnégation, l’autre est réprimandé parce qu’il a osé chuchoter dans les 
  coulisses lors de la répétition. La récompense des bons élèves : une 
  St-Feuillien et un cervelas…
  Je 
  m’amuse toujours de ces intellectuels de gôche qui manie le pouvoir à la 
  manière de ces potentats africains.
  Mais assez de médisance, Jean Louvet aurait pu être mon 
  père, aussi, et je m’en voudrais de lui manquer de respect. Je nie pourtant 
  toute collusion avec le batia moûrt soû. Aussi je reste persuadé qu’il ne 
  s’agit pas d’une initiative de la part de ces jeunes janissaires mais bien 
  d’une manœuvre du maître qui, blessé dans sa superbe manque de 
  courage.
   
  Nicolas 
Badot.

[CC21] [AB3] was [CC21 liberté de presse

[David Remacle]

C y b e r C a f e 2 1 @ l i s t s . E x M a c h i n a . n e t !
 & 

Salut,

D'habitude, je ne regarde pas la télépoubelle par principe, mais hier 
j'ai regardé cette émission.

Et franchement, je n'aime pas du tout, bien que je pense que c'est 
truqué et que ce sont des acteurs qui jouent un role.

Je trouve ce genre d'émission malsaine. Mais je comprend aussi que 
certaines personnes aime ce genre de "divertisement".

J'ai donc décider de ne PAS regarder AB3 a cette heure là. Heureusement 
qu'il a le choix a la même heure de programme plus diverstissant que ce 
programme.

A propos, ont-il un site web AB3 ?

Le mardi 2 avril 2002, à 06:14 , bannuaire a écrit :

> Encore un sujet pour Ca va se savoir sur ab3 :-)
> @+lekid
> www.b-annuaire.be
>


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[CC21] Re: [CC21] liberté de presse

[bannuaire]

Encore un sujet pour Ca va se savoir sur 
ab3 :-)
@+lekid
www.b-annuaire.be 

  - Original Message - 
  From: 
  Frans 
  BADOT 
  To: CyberCafe21 
  Sent: Monday, April 01, 2002 11:04 
  PM
  Subject: [CC21] liberté de presse
  
  ceci
  
  
   
   
   
  
  (petite) Mise au point.
   
  Dans notre précédent numéro, le sémillant Frans Badot 
  remettait en cause l’intégrité morale et intellectuelle de notre tête de turc 
  favorite ; Jean Louvet.
  Par pure éthique, je ne pense pas que Frans ait eu 
  raison de prendre la défense de son vieux camarade Manu Bonmarriage, mais mes 
  conseils pour l’en dissuader sont restés vains.
  Soit. 
  De 
  tous temps, la satyre a existé et je doute que ceux qui la traquent  puissent se prétendre de gauche. 
  
  Un 
  soir de carnaval, voilà la fine équipe du Studio Théâtre qui s’en prend à 
  votre humble serviteur. J’ai beau arguer que ma participation bénévole à ce 
  canard se borne, tant bien que mal, à réaliser la mise en page, rien n’y fait. 
  J’assiste, pétrifié, à un lamentable quiproquo; devant moi une nymphette 
  piétine un batia imaginaire qu’elle qualifie dans un hurlement hystérique 
  d ‘ignoble torchon pendant que son compagnon à la mine patibulaire et au 
  crâne rasé (S’agit-il d’une probable recrue du NSDAP ou finit-il une lourde et 
  pénible chimiothérapie ?) me vomit un incompréhensible flot d’insultes où 
  je crois comprendre qu’il vient de prêter serment d’allégeance à son maître 
  Jean Louvet.
  Devant mon inertie (due non pas au yoga que je n’ai 
  jamais pratiqué mais bien à la vingtaine de mauvaises bières que je viens de 
  m’enfiler) ils finissent enfin par se lasser m’abandonnant perplexe et couvert 
  de postillons. Il est bien connu que la violence est le dernier refuge des 
  imbéciles…
  Pourtant, je les connais ces jeunes 
  théâtreux ; je  les ai 
  côtoyés tout un temps.
  Il 
  ne sont pas bien méchants ; certes, il se prennent un peu trop au 
  sérieux : tantôt, ils se prennent pour de véritables comédiens, tantôt, 
  ils sont persuadés de devenir de grands écrivains. Comme celles de leur Maître 
  leur Œuvres sont néanmoins d’un ennui redoutable même si leurs intentions sont 
  louables : éveiller une certaine « conscience sociale » chez 
  leurs semblables.
  Ce 
  que je trouve particulièrement étrange c’est la fidélité aveugle qu’ils vouent 
  à  la personnification de notre 
  Conscience Wallonne ; je reste intimement convaincu que Jean Louvet 
  utilise ces gamins et abuse de leur crédulité pour asseoir son 
  « succès ». En effet, outre les souvenirs amusant qu’il se plaît à 
  leur conter (l’histoire du pot d’or caché dans la cave de son papa est une de 
  mes favorites) le Maître pratique sur ses disciples un véritable 
  conditionnement mental : « régionalisme », « conscience de 
  classe » et autres fadaises néo-marxistes dont Jean à l’habitude de se 
  gargariser.
  Il 
  faut le voir, le Maître, le samedi, à la nuit tombante, dans un caboulot 
  sordide, haranguer ses troupes : celui-ci est encouragé pour son 
  abnégation, l’autre est réprimandé parce qu’il a osé chuchoter dans les 
  coulisses lors de la répétition. La récompense des bons élèves : une 
  St-Feuillien et un cervelas…
  Je 
  m’amuse toujours de ces intellectuels de gôche qui manie le pouvoir à la 
  manière de ces potentats africains.
  Mais assez de médisance, Jean Louvet aurait pu être mon 
  père, aussi, et je m’en voudrais de lui manquer de respect. Je nie pourtant 
  toute collusion avec le batia moûrt soû. Aussi je reste persuadé qu’il ne 
  s’agit pas d’une initiative de la part de ces jeunes janissaires mais bien 
  d’une manœuvre du maître qui, blessé dans sa superbe manque de 
  courage.
   
  Nicolas 
Badot.

Re: [CC21] liberté de presse

[Marc Segers]

C y b e r C a f e 2 1 @ l i s t s . E x M a c h i n a . n e t !
 & 

Bonjour les MLiens

Le lundi 1 avril 2002 à 23:04:00 (GMT + 01), Frans BADOT écrivait

Sujet: [CC21] liberté de presse


FB> ceci
FBB> (petite) Mise au point.
FB> Dans notre précédent numéro, le sémillant Frans Badot remettait en cause 
l’intégrité morale et intellectuelle de notre tête de turc favorite ; Jean Louvet.
FB> Par pure éthique, je ne pense pas que Frans ait eu raison de prendre la défense de 
son vieux camarade Manu Bonmarriage, mais mes conseils pour l’en dissuader sont restés 
vains.
FB> Soit.
FB> De tous temps, la satyre a existé et je doute que ceux qui la traquent  puissent 
se prétendre de gauche.
FB> Un soir de carnaval, voilà la fine équipe du Studio Théâtre qui s’en prend à votre 
humble serviteur. J’ai beau arguer que ma participation bénévole à ce canard se borne, 
tant bien que mal, à
FB> réaliser la mise en page, rien n’y fait. J’assiste, pétrifié, à un lamentable 
quiproquo; devant moi une nymphette piétine un batia imaginaire qu’elle qualifie dans 
un hurlement hystérique d
FB> ‘ignoble torchon pendant que son compagnon à la mine patibulaire et au crâne rasé 
(S’agit-il d’une probable recrue du NSDAP ou finit-il une lourde et pénible 
chimiothérapie ?) me vomit un
FB> incompréhensible flot d’insultes où je crois comprendre qu’il vient de prêter 
serment d’allégeance à son maître Jean Louvet.
FB> Devant mon inertie (due non pas au yoga que je n’ai jamais pratiqué mais bien à la 
vingtaine de mauvaises bières que je viens de m’enfiler) ils finissent enfin par se 
lasser m’abandonnant
FB> perplexe et couvert de postillons. Il est bien connu que la violence est le 
dernier refuge des imbéciles…
FB> Pourtant, je les connais ces jeunes théâtreux ; je  les ai côtoyés tout un temps.
FB> Il ne sont pas bien méchants ; certes, il se prennent un peu trop au sérieux : 
tantôt, ils se prennent pour de véritables comédiens, tantôt, ils sont persuadés de 
devenir de grands écrivains.
FB> Comme celles de leur Maître leur Œuvres sont néanmoins d’un ennui redoutable même 
si leurs intentions sont louables : éveiller une certaine « conscience sociale » chez 
leurs semblables.
FB> Ce que je trouve particulièrement étrange c’est la fidélité aveugle qu’ils vouent 
à  la personnification de notre Conscience Wallonne ; je reste intimement convaincu 
que Jean Louvet utilise ces
FB> gamins et abuse de leur crédulité pour asseoir son « succès ». En effet, outre les 
souvenirs amusant qu’il se plaît à leur conter (l’histoire du pot d’or caché dans la 
cave de son papa est une de
FB> mes favorites) le Maître pratique sur ses disciples un véritable conditionnement 
mental : « régionalisme », « conscience de classe » et autres fadaises néo-marxistes 
dont Jean à l’habitude de se
FB> gargariser.
FB> Il faut le voir, le Maître, le samedi, à la nuit tombante, dans un caboulot 
sordide, haranguer ses troupes : celui-ci est encouragé pour son abnégation, l’autre 
est réprimandé parce qu’il a osé
FB> chuchoter dans les coulisses lors de la répétition. La récompense des bons élèves 
: une St-Feuillien et un cervelas…
FB> Je m’amuse toujours de ces intellectuels de gôche qui manie le pouvoir à la 
manière de ces potentats africains.
FB> Mais assez de médisance, Jean Louvet aurait pu être mon père, aussi, et je m’en 
voudrais de lui manquer de respect. Je nie pourtant toute collusion avec le batia 
moûrt soû. Aussi je reste
FB> persuadé qu’il ne s’agit pas d’une initiative de la part de ces jeunes janissaires 
mais bien d’une manœuvre du maître qui, blessé dans sa superbe manque de courage.
FB> Nicolas Badot.

Je sais qu'on était le premier avril hier ...

Y aurait il moyen de régler vos problèmes d'ordre privé en dehors de cette ML ? Laver 
ainsi son
linge sale sur une ML qui n'en rien à f. ne vous grandit certainement pas ni l'un 
ni l'autre
!

"La bêtise humaine est la seule chose qui donne une idée de l'infini." (Ernest Renan)
Marc SEGERS - Bruxelles - Union Européenne
mailto:[EMAIL PROTECTED]   PGP Key ID 0x37D2C689
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Re: [CC21] liberté de presse

[Christophe Finet]

je ne vois pas également ce que cette histoire de bagarre de rue
vient faire sur cc21.
Un petit lien sur Jean Louvet : http://www.wallonie-en-ligne.net/1995_Cent_Wallons/Louvet_Jean.htm
 
 
Frans BADOT a écrit :

ceci
(petite)
Mise au point.




Dans
notre précédent numéro, le sémillant Frans
Badot remettait en cause l’intégrité morale et intellectuelle
de notre tête de turc favorite ; Jean Louvet.

Par
pure éthique, je ne pense pas que Frans ait eu raison de prendre
la défense de son vieux camarade Manu Bonmarriage, mais mes conseils
pour l’en dissuader sont restés vains.

Soit.

De
tous temps, la satyre a existé et je doute que ceux qui la traquentpuissent
se prétendre de gauche.

Un
soir de carnaval, voilà la fine équipe du Studio Théâtre
qui s’en prend à votre humble serviteur. J’ai beau arguer que ma
participation bénévole à ce canard se borne, tant
bien que mal, à réaliser la mise en page, rien n’y fait.
J’assiste, pétrifié, à un lamentable quiproquo; devant
moi une nymphette piétine un batia imaginaire qu’elle qualifie dans
un hurlement hystérique d ‘ignoble torchon pendant que son compagnon
à la mine patibulaire et au crâne rasé (S’agit-il d’une
probable recrue du NSDAP ou finit-il une lourde et pénible chimiothérapie
?) me vomit un incompréhensible flot d’insultes où je crois
comprendre qu’il vient de prêter serment d’allégeance à
son maître Jean Louvet.

Devant
mon inertie (due non pas au yoga que je n’ai jamais pratiqué mais
bien à la vingtaine de mauvaises bières que je viens de m’enfiler)
ils finissent enfin par se lasser m’abandonnant perplexe et couvert de
postillons. Il est bien connu que la violence est le dernier refuge des
imbéciles…

Pourtant,
je les connais ces jeunes théâtreux ; jeles
ai côtoyés tout un temps.

Il
ne sont pas bien méchants ; certes, il se prennent un peu trop au
sérieux : tantôt, ils se prennent pour de véritables
comédiens, tantôt, ils sont persuadés de devenir de
grands écrivains. Comme celles de leur Maître leur Œuvres
sont néanmoins d’un ennui redoutable même si leurs intentions
sont louables : éveiller une certaine « conscience sociale
» chez leurs semblables.

Ce
que je trouve particulièrement étrange c’est la fidélité
aveugle qu’ils vouent àla
personnification de notre Conscience Wallonne ; je reste intimement convaincu
que Jean Louvet utilise ces gamins et abuse de leur crédulité
pour asseoir son « succès ». En effet, outre les souvenirs
amusant qu’il se plaît à leur conter (l’histoire du pot d’or
caché dans la cave de son papa est une de mes favorites) le Maître
pratique sur ses disciples un véritable conditionnement mental :
« régionalisme », « conscience de classe »
et autres fadaises néo-marxistes dont Jean à l’habitude de
se gargariser.

Il
faut le voir, le Maître, le samedi, à la nuit tombante, dans
un caboulot sordide, haranguer ses troupes : celui-ci est encouragé
pour son abnégation, l’autre est réprimandé parce
qu’il a osé chuchoter dans les coulisses lors de la répétition.
La récompense des bons élèves : une St-Feuillien et
un cervelas…

Je
m’amuse toujours de ces intellectuels de gôche qui manie le pouvoir
à la manière de ces potentats africains.

Mais
assez de médisance, Jean Louvet aurait pu être mon père,
aussi, et je m’en voudrais de lui manquer de respect. Je nie pourtant toute
collusion avec le batia moûrt soû. Aussi je reste persuadé
qu’il ne s’agit pas d’une initiative de la part de ces jeunes janissaires
mais bien d’une manœuvre du maître qui, blessé dans sa superbe
manque de courage.



Nicolas
Badot.

[CC21] liberté de presse

[Frans BADOT]

ceci


 
 
 

(petite) Mise au point.
 
Dans 
notre précédent numéro, le sémillant Frans Badot remettait en cause l’intégrité 
morale et intellectuelle de notre tête de turc favorite ; Jean 
Louvet.
Par 
pure éthique, je ne pense pas que Frans ait eu raison de prendre la défense de 
son vieux camarade Manu Bonmarriage, mais mes conseils pour l’en dissuader sont 
restés vains.
Soit. 
De 
tous temps, la satyre a existé et je doute que ceux qui la traquent  puissent se prétendre de gauche. 

Un 
soir de carnaval, voilà la fine équipe du Studio Théâtre qui s’en prend à votre 
humble serviteur. J’ai beau arguer que ma participation bénévole à ce canard se 
borne, tant bien que mal, à réaliser la mise en page, rien n’y fait. J’assiste, 
pétrifié, à un lamentable quiproquo; devant moi une nymphette piétine un batia 
imaginaire qu’elle qualifie dans un hurlement hystérique d ‘ignoble torchon 
pendant que son compagnon à la mine patibulaire et au crâne rasé (S’agit-il 
d’une probable recrue du NSDAP ou finit-il une lourde et pénible 
chimiothérapie ?) me vomit un incompréhensible flot d’insultes où je crois 
comprendre qu’il vient de prêter serment d’allégeance à son maître Jean 
Louvet.
Devant mon inertie (due non pas au yoga que je n’ai 
jamais pratiqué mais bien à la vingtaine de mauvaises bières que je viens de 
m’enfiler) ils finissent enfin par se lasser m’abandonnant perplexe et couvert 
de postillons. Il est bien connu que la violence est le dernier refuge des 
imbéciles…
Pourtant, je les connais ces jeunes 
théâtreux ; je  les ai 
côtoyés tout un temps.
Il 
ne sont pas bien méchants ; certes, il se prennent un peu trop au 
sérieux : tantôt, ils se prennent pour de véritables comédiens, tantôt, ils 
sont persuadés de devenir de grands écrivains. Comme celles de leur Maître leur 
Œuvres sont néanmoins d’un ennui redoutable même si leurs intentions sont 
louables : éveiller une certaine « conscience sociale » chez 
leurs semblables.
Ce 
que je trouve particulièrement étrange c’est la fidélité aveugle qu’ils vouent 
à  la personnification de notre 
Conscience Wallonne ; je reste intimement convaincu que Jean Louvet utilise 
ces gamins et abuse de leur crédulité pour asseoir son « succès ». En 
effet, outre les souvenirs amusant qu’il se plaît à leur conter (l’histoire du 
pot d’or caché dans la cave de son papa est une de mes favorites) le Maître 
pratique sur ses disciples un véritable conditionnement mental : 
« régionalisme », « conscience de classe » et autres 
fadaises néo-marxistes dont Jean à l’habitude de se gargariser.
Il 
faut le voir, le Maître, le samedi, à la nuit tombante, dans un caboulot 
sordide, haranguer ses troupes : celui-ci est encouragé pour son 
abnégation, l’autre est réprimandé parce qu’il a osé chuchoter dans les 
coulisses lors de la répétition. La récompense des bons élèves : une 
St-Feuillien et un cervelas…
Je 
m’amuse toujours de ces intellectuels de gôche qui manie le pouvoir à la manière 
de ces potentats africains.
Mais 
assez de médisance, Jean Louvet aurait pu être mon père, aussi, et je m’en 
voudrais de lui manquer de respect. Je nie pourtant toute collusion avec le 
batia moûrt soû. Aussi je reste persuadé qu’il ne s’agit pas d’une initiative de 
la part de ces jeunes janissaires mais bien d’une manœuvre du maître qui, blessé 
dans sa superbe manque de courage.
 
Nicolas Badot.

Re: [CC21] liberté de presse ?

[Onan_HB]

Title: Le 03 avril 02



Pourquoi envoyer ceci sur la cyber liste ? Pourquoi 
Jean Louvet est-il cité ? Qu'avez vous écris de si terrible ?

  - Original Message - 
  From: 
  Frans 
  BADOT 
  To: Undisclosed-Recipient:; 
  Sent: Monday, April 01, 2002 8:18 
PM
  Subject: [CC21] liberté de presse ?
  
   
  
  
   
  
   
  
  Le 03 avril 
  02
   
   
  Frans 
  BADOT
  Rue 
  Vital Casterman, 7
  7100 
  La Louvière
  064/21.57.17.
   
   
   
   
  
   
   
   
   
   
   
  Monsieur Willy Taminiaux
   
   
   
   
   
  Bourgmestre.
   
   
   
   
   
  Messieurs Les Echevins
   
   
   
   
   
   
  La Louvière.
   
   
   
  Monsieur le 
  Bourgmestre,
  Messieurs les 
  Echevins,
   
   
   
  Comme l’organisation du service dont font partie les éducateurs de rues 
  est de votre compétence, je me permets de vous signaler un événement révoltant 
  qui met en cause Stéphane Mansy, « éducateur de 
  rue »
   
   
  Je participe à la rédaction d’un journal satirique, « El Batia 
  Moûrt Soû » et j’y ai écrit dernièrement un article (signé, bien entendu) 
  critiquant l’attitude de Monsieur Jean Louvet.
   
   
  Monsieur Mansy qui fait partie de la troupe théâtrale de Monsieur 
  Louvet n’à guère prisé cet écrit.
   
   
  Au lieu d’user de son droit de réponse, il a d’abord menacé mon fils 
  Badot Nicolas (qui, lui, 
  s’occupe de la mise en page du journal) et durant la nuit du 29 au 30 mars, 
  avec l’aide de quelques complices, l’a méchamment tabassé ainsi que Monsieur 
  Eric Claus qui accompagnait 
  Nicolas.
   
   
  Constat des blessures a été rédigé et plainte déposée auprès des 
  services de police.
   
   
  Toutes proportions gardées, il s’agit d’une atteinte à la liberté de 
  presse.
  Je 
  vous pose simplement cette question : « Rosser les gens fait-il 
  partie des attributions d’un éducateur de 
  rues ? »
   
   
  Je vous remercie de votre attention et vous prie d’agréer, Monsieur le 
  Bourgmestre, Messieurs les Echevins, l’expression de ma considération 
  distinguée.
   
   
   
   
   
   
   
   
  Frans BADOT.
   
   
   
  POLICE 
  DE LA LOUVIERE - PRO 
  JUSTITIA
   
  Annexe 2 au 
  Procès - 
  verbal n0 MO. 43A .L2.004090/2002 
  du 30.03.2002
      
  
  Ce 30.302002 à 03.35 
  heures, Nous, CRUYPENINCK Vincent, Inspecteur de Police de la ville de La 
  Louvière entendons en nos locaux le nommé:
   
  BADOT Nicolas; de 
  nationalité belge; né à La Hestre, le 26.06.61; 
  célibataire;
  domicilié à La Louvière, 
  rue Arthur Warocqué 6
   
  Qui Nous déclare en 
  français :
   
  « Préalablement à mon 
  audition, j’ai pris connaissance de mes droits.
  Ce jour vers 01.30 heures, 
  mon ami CLAUS Eric et moi - même 
  consommions une boisson au débit de boissons enseigné” le café des Arts” situé 
  à La Louvière, Boulevard Mairaux. J’y ai déposé un journal “ 
  El batia moûrt soû” dont 
  je fais la mise en page. En accord avec le patron du café, j’y laisse 
  régulièrement un exemplaire. Nous avons été interpellé par le nommé MANSY 
  Stéphane en ces termes:
  si tu parle de moi dans le 
  journal, je t’écrase la gueule sur le comptoir “.
  A notre sortie de ce même 
  café, MANSY Stéphane était accompagné de quelques individus que j’estime à 
  trois ou quatre. Sans mot dire, nous avons été roués de coups. En ce qui me 
  concerne, c’est MANSY Stéphane qui m’a porté des coups au 
  visage.
  Suite à ces faits, je 
  ressens des douleurs au niveau du visage, de la nuque et à la cage 
  thoracique.
  Je vous exhibe un constat 
  de lésion émanant du centre hospitalier Tivoli lequel fait mention d’ un 
  hématome à l’arcade sourcilière droite, une contusion cervicale, une contusion 
  à l’épaule gauche et thoracique, une plaie à l’angle externe du sourcil 
  droit.
  Je connais MANSY Stéphane 
  pour l’avoir vu au cours d’un spectacle de Jean 
  Louvet.
  Il y a environ un mois, à 
  l’occasion des soumonces générales de La Louvière, MANSY Stéphane m’avait 
  menacé de me « casser la gueule » en me reprochant de participer à la mise en 
  page d’un journal qui lui déplaît.
  Notre précédente 
  altercation faisant l’objet d’un article du journal et son nom y étant 
  mentionné, je pense que c’est ce qui l’a motivé à mettre ses menaces à 
  exécution.
  Cela me paraît être la 
  seule raison qui l’a motivé à me frapper aujourd’hui vu que 

[CC21] liberté de presse ?

[Frans BADOT]

Title: Le 03 avril 02



 


 

 

Le 03 avril 
02
 
 
Frans 
BADOT
Rue 
Vital Casterman, 7
7100 
La Louvière
064/21.57.17.
 
 
 
 

 
 
 
 
 
 
Monsieur Willy Taminiaux
 
 
 
 
 
Bourgmestre.
 
 
 
 
 
Messieurs Les Echevins
 
 
 
 
 
 
La Louvière.
 
 
 
Monsieur le 
Bourgmestre,
Messieurs les 
Echevins,
 
 
 
Comme l’organisation du service dont font partie les éducateurs de rues 
est de votre compétence, je me permets de vous signaler un événement révoltant 
qui met en cause Stéphane Mansy, « éducateur de 
rue »
 
 
Je participe à la rédaction d’un journal satirique, « El Batia Moûrt 
Soû » et j’y ai écrit dernièrement un article (signé, bien entendu) 
critiquant l’attitude de Monsieur Jean Louvet.
 
 
Monsieur Mansy qui fait partie de la troupe théâtrale de Monsieur Louvet 
n’à guère prisé cet écrit.
 
 
Au lieu d’user de son droit de réponse, il a d’abord menacé mon fils 
Badot Nicolas (qui, lui, s’occupe 
de la mise en page du journal) et durant la nuit du 29 au 30 mars, avec l’aide 
de quelques complices, l’a méchamment tabassé ainsi que Monsieur Eric Claus qui accompagnait 
Nicolas.
 
 
Constat des blessures a été rédigé et plainte déposée auprès des services 
de police.
 
 
Toutes proportions gardées, il s’agit d’une atteinte à la liberté de 
presse.
Je 
vous pose simplement cette question : « Rosser les gens fait-il partie 
des attributions d’un éducateur de 
rues ? »
 
 
Je vous remercie de votre attention et vous prie d’agréer, Monsieur le 
Bourgmestre, Messieurs les Echevins, l’expression de ma considération 
distinguée.
 
 
 
 
 
 
 
 
Frans BADOT.
 
 
 
POLICE DE 
LA LOUVIERE - PRO 
JUSTITIA
 
Annexe 2 au 
Procès - 
verbal n0 MO. 43A .L2.004090/2002 du 
30.03.2002
    

Ce 30.302002 à 03.35 heures, 
Nous, CRUYPENINCK Vincent, Inspecteur de Police de la ville de La Louvière 
entendons en nos locaux le nommé:
 
BADOT Nicolas; de 
nationalité belge; né à La Hestre, le 26.06.61; 
célibataire;
domicilié à La Louvière, rue 
Arthur Warocqué 6
 
Qui Nous déclare en français 
:
 
« Préalablement à mon 
audition, j’ai pris connaissance de mes droits.
Ce jour vers 01.30 heures, 
mon ami CLAUS Eric et moi - même 
consommions une boisson au débit de boissons enseigné” le café des Arts” situé à 
La Louvière, Boulevard Mairaux. J’y ai déposé un journal “ 
El batia moûrt soû” dont je 
fais la mise en page. En accord avec le patron du café, j’y laisse régulièrement 
un exemplaire. Nous avons été interpellé par le nommé MANSY Stéphane en ces 
termes:
si tu parle de moi dans le 
journal, je t’écrase la gueule sur le comptoir “.
A notre sortie de ce même 
café, MANSY Stéphane était accompagné de quelques individus que j’estime à trois 
ou quatre. Sans mot dire, nous avons été roués de coups. En ce qui me concerne, 
c’est MANSY Stéphane qui m’a porté des coups au 
visage.
Suite à ces faits, je 
ressens des douleurs au niveau du visage, de la nuque et à la cage 
thoracique.
Je vous exhibe un constat de 
lésion émanant du centre hospitalier Tivoli lequel fait mention d’ un hématome à 
l’arcade sourcilière droite, une contusion cervicale, une contusion à l’épaule 
gauche et thoracique, une plaie à l’angle externe du sourcil 
droit.
Je connais MANSY Stéphane 
pour l’avoir vu au cours d’un spectacle de Jean 
Louvet.
Il y a environ un mois, à 
l’occasion des soumonces générales de La Louvière, MANSY Stéphane m’avait menacé 
de me « casser la gueule » en me reprochant de participer à la mise en page d’un 
journal qui lui déplaît.
Notre précédente altercation 
faisant l’objet d’un article du journal et son nom y étant mentionné, je pense 
que c’est ce qui l’a motivé à mettre ses menaces à 
exécution.
Cela me paraît être la seule 
raison qui l’a motivé à me frapper aujourd’hui vu que que je n’ai jamais eu 
aucun problème avec cet individu.
Si je peux vous donner son 
identité, c’est que je le connais en qualité d’éducateur de 
rue.
Je n’ai rien à ajouter à ma 
déclaration et ne désire ni la corriger ni la 
compléter.
Après lecture faite, 
persiste et signe.
    

L’audition s’est déroulée 
sans interruption.
  
   
 
 
 
 
 
 
 

 
 
 

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[Gilles Durys]

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> -Original Message-
> From: [EMAIL PROTECTED]
> Subject: Re: [CC21] petites annonces advalvas belgique
>
> mais encore quoi donc?
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> >
>  Mais encore???

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Re: [CC21] petites annonces advalvas belgique

[jsly]

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Pour Vincent Doyen:

mais encore quoi donc?

> 
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RE: [CC21] petites annonces advalvas belgique

[Vincent Doyen]

C y b e r C a f e 2 1 @ l i s t s . E x M a c h i n a . n e t !
 & 

Mais encore???

> -Original Message-
> From: [EMAIL PROTECTED]
> Subject: [CC21] petites annonces advalvas belgique
> 
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RE: [CC21] L'anneau de la Terre

[Clarence Jameson]

C y b e r C a f e 2 1 @ l i s t s . E x M a c h i n a . n e t !
 & 


> Dommage qu'on soit le premier avril...

Cela depend pour qui ! :-)

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Clark

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Re: [CC21] L'anneau de la Terre

[Olivier Greoli]

C y b e r C a f e 2 1 @ l i s t s . E x M a c h i n a . n e t !
 & 

Dommage qu'on soit le premier avril...

- Original Message -
From: "Jean Etienne" <[EMAIL PROTECTED]>
To: <[EMAIL PROTECTED]>
Sent: Monday, April 01, 2002 12:53 AM
Subject: [CC21] L'anneau de la Terre


> C y b e r C a f e 2 1 @ l i s t s . E x M a c h i n a . n e t !
>  & 
>
> Bonjour a tous,
>
> La Nasa vient de presenter son projet le plus ambitieux pour la decennie
en
> cours: doter la Terre d'un anneau. Il sera en place en 2012 au plus tard.
>
> C'est a:
> http://www.astrosurf.com/spacenews/art2002/anneau_010402.html
>
>
> Avec toutes mes amities,
> Jean Etienne
> -
> http://www.astrosurf.com/spacenews/flash.html
> http://www.astrosurf.com/spacenews/perso.html
> Si vis pacem, para pacem
>
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