Le 28/02/2019 à 18:23, Adrien Grellier - pe...@adrieng.fr a écrit :
La problématique risque d'être similaire pour le SHOM, qui résiste bien
pour le moment, peut-être grâce à la loi qui impose des cartes
officielles à bord des bateaux.
C'est exact mais rien n'impose que les cartes soient
Pour me faire l'avocat du diable, peut-être que c'est une façon de se
protéger :
L'IGN subit comme toute la fonction publique une pression pour être «
rentable », « auto-financé », avec une perte de personnel, etc.. Le
principe d'OSM peut donc représenter un danger, puisque les
professionnels
Il faut croire que l'IGN réalise bien tard qu'elle s'est elle-même enfermée
dans une logique propriétaire (héritée d'un ancien système où seul l'Etat
était maître d'oeuvre mais aujourd'hui ne peut plus le faire et a privé
l'IGN de nombre de ses moyens).
L'IGN constate elle-même qu'elle est de
Merci Jean-Christophe pour ce partage.
Hé si j'avais deviné ! Je me doutais bien qu'il y avait un piège en
voyant ta question et j'ai récemment entendu quelqu'un me parler de
cette "volonté" de l'IGN de réinventer ce que fait déjà très bien OSM.
Ils aiment bien se positionner comme le chef de
Bonjour,
Sauriez-vous deviner qui nous dit :
« la donnée est aujourd'hui produite aussi bien par les citoyens
eux-mêmes que par des acteurs publics et privés. ».
« Désormais, la production des données géographiques doit donc
s'organiser autour de trois concepts : mutualisation, collaboratif et
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