SMU-L: VPI (bunker)

Sat, 14 Oct 2006 07:40:17 -0700

ben trois ans cest réaliste je trouve, dans trois ans il vont nous dire quil sont enfin venu a un accord pour le proceder de selection de la compagnie qui allait les distribués, apres ca va prendre un autre 3 ans pour choisir la compagnie en question...

From: "Andre Vezeau" <[EMAIL PROTECTED]>
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Subject: SMU-L: VPI (bunker)
Date: Sat, 14 Oct 2006 09:50:46 -0400

d`ici trois ans hum !  est-ce qu`ont pari ??
AVezeau
----- Original Message -----
Sent: Friday, October 13, 2006 11:37 PM
Subject: SMU-L: VPI (bunker)

Avec la venue des nouvelles ambulances (lire les ambulances qui arrivent depuis hier 203-204 et plus) à Montréal, Urgences-Santé et les différents comités santé-sécurité vont obliger les paramédics à déployer leur bunkers sur des crochets dans l'armoire fait à cet effet. La raison principale pourquoi les paramédics ne sortent pas leur bunker est qu'il est souvent inaccessible et tout bien plié dans son sac. De plus, d'ici 3 ans, la nouvelle version plus légère du bunker serait implanté partout au Québec.

Stéphane Laberge PSP GIMT
From: michel amesse <[EMAIL PROTECTED]>
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Subject: SMU-L: VPI (bunker)
Date: Tue, 10 Oct 2006 23:10:15 -0400

Bonjour Stephane
 
Je suis absolument d'accord, nous devons le porter, c'est la seule protection que nous avons.  Le VPI n'est pas parfait, loin de là.  Il est plutôt pesant et emcombrant, il est terriblement chaud en été, il restreint les mouvements, etc.  Mais on doit le porter, c'est une habitude à prendre, ca devient naturel à la longue.  Il n'y a pas si longtemps, on ne voulait même pas porter de gants lors d'interventions plutôt sanguignollantes. Impensable aujourd'hui.  Il nous faut s'adapter.
 
Ca n'empêche pas que les multiples comités doivent quand même se pencher sur de nouveaux équipements pour nous protéger qui sont plus spécialisée, mieux adaptés à certaines situations.  Exemple. Lorsqu'à Montréal, on couvre un suicide sous le métro, on n'a qu'environ 16 pouces de dégagement entre le plancher et le dessous du train.  Avec le casque actuel, en rampant, il est impossible de relever la tête pour voir où on va; ce qui fait que la plupart des paramédics l'enlève rendus sous le train. De plus, avec la chaleur intense qui y regne (environ 45 + celsius), le VPI devient très vite un sauna.  Il faudrait étudier des équipements plus léger, offrant un haut degré de protection entre autres au liquides, huiles graisses et aussi au perforations (un fémur fracturé coupe et perfore assez incroyablement.)
 
Michel Amesse
Paramédic soins primaires, Montréal

De : smu-l@urgences.ca [mailto:[EMAIL PROTECTED] De la part de Stéphane Lauzon
Envoyé : 10 octobre, 2006 22:43
À : smu-l@urgences.ca
Objet : SMU-L: VPI (bunker)

Bonjour,  je sais que je ne ferai pas d'amis en lançant ce débat, mais, je me lance quand même. 

 Je suis un peu dérangé, lorsque je vois des Paramédics, intervenants sur des scènes de situation 29 et qu'ils ne portent pas leur VPI (bunker).  Ce vêtements de protection, devrait être portés, lorque la situation le requiert.  Je ne dis pas de le porté sur toutes les interventions (situation 29) mais quand je vois un Paramédic, enfourché une voiture toute décapitée, ça me donne des sueurs froides.  Vous savez, ce vêtement de protection à été chèrement gagné et mérité.  Nous avons encore tellement besoin de moyen de protection, que quand un nous ait mis à la disponibilité, de grâce porté-le.

Merci et sans rancune ?? 

Stéphane Lauzon
Paramédic Soins Primaires
Gracefield, Outaouais


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