Rodolphe Quiedeville a écrit :
> J'ai un exemple assez parlant je pense. J'ai repris les sources de pymap
> pour en faire un bête script php, qui si la tuile n'est pas sur ma
> machine la télécharge depuis les serveurs officiels, ensuite j'ai sur ma
> machine les sources d'OpenLayers. J'ai donc un système de visualisation
> de carte autonome. OSM s'arrête pas de problème je peux vivre sans eux,
> ils coupent leur serveurs j'ai mon cache, explique ça à un googliens de
> base et demande lui de faire de même sur sa machine, juste il peut pas.
> 
> Pour expliquer il est toujours intéressant de partir du jour ou le
> projet s'arrête, on peu forker alors 95% c'est libre et il faut y aller.
> On ne peut pas forker, faut juste passer son chemin.
> 
> A++

Oui, je suis entièrement d'accord, mais ça reste des arguments 
d'initiés, de geek. Le lambda s'en fout ; il va pas s'emm.der à 
maintenir un SIG chez lui, c'est pas encore assez user-friendly. Il y a 
aussi un côté citoyen : l'information géoréférencée doit  permettre à 
tout personne de pouvoir agir sur "son" territoire, en toute 
connaissance de cause. C'est son devoir. Mais j'ai bien peur que 
l'argumentaire ne soit aussi difficile à établir que celui pour inciter 
les gens à aller voter.
Entre regarder T.1 et zapper entre les différentes sources 
d'informations pour se faire une opinion circonstanciée, je crains que 
les statistiques ne plaident pas pour notre démarche, mais qui a dit que 
la démocratie tombait toute rotie dans le bec.
Le fight est là.

Denis

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