Bonjour, Séverin NAUDET (directeur d'Etalab), invité de l'émission "Place de la toile" du dimanche 12 juin sur France Culture a indiqué que les données publiques ne devaient pas avoir de restrictions d'utilisation et en particulier commerciales. Pourquoi cela ne se concrétise-t-il pas dans les faits?
Romain Le 14 juin 2011 09:12, rldhont <rldh...@gmail.com> a écrit : > Le 10/06/2011 22:43, Denis a écrit : > > Le 09/06/2011 18:56, Claire Libertic a écrit : >> >>> >>> Bonjour à tous, >>> >>> Je représente une association nantaise qui travaille sur la promotion de >>> l'open data. >>> Suite à nos sollicitations, la ville a décidé d'ouvrir ses données et se >>> pose actuellement la question de la licence. >>> Le choix de Nantes est bien sur une licence gratuite de réutilisation >>> mais restent deux possibilités: >>> les CGU de l'APIE (article 7 non compatible projets libres?) ou l'ODbL de >>> Paris. >>> Un rendez-vous sur cette question est prévu le 16 juin, il s'agirait >>> d'arriver avec des exemples de projets libres basés sur des données >>> publiques pour démontrer l'intérêt d'une compatibilité. >>> Avez-vous des exemples concrets ou arguments spécifiques ? >>> D'avance merci :) >>> >> >> Un contre-exemple : la licence des données "opendata" de la Communauté >> Urbaine de Bordeaux (CC-By-NC) suite au message de Tenshu : presque 200.000 >> adresses qui auraient pu être fusionnées dans la base OSM. Tant pis, il >> reste le cadastre (qui est probablement à la base des données re-licenciée >> par la CUB). Quand une collectivité restreint les conditions sur une >> ressource sur laquelle, souvent, elle n'apporte qu'un travail de >> rectification, d'actualisation, de caution,etc. elle freine sa >> réutilisation. Vous noterez, au passage, que des données indirectement >> personnelles (les adresses, selon la CNIL) sont désormais réutilisables. >> Il faut du courage pour basculer d'un mode de pensée à l'autre : passer du >> stade de l'information négociable (la clause NC) à l'information due au >> citoyen, à ses regroupements, à son pouvoir (et donc sa capacité) à analyser >> par lui-même ou par d'autres, l'opportunité de telle décision, >> l'alternative. Le choix de la licence me semble relever d'une dimension >> politique, peut-être juste un stade dans une démarche. A suivre.... >> > > J'avais crus que la licence pour l'opendata de la CUB était les CGU de > l'APIE ? > Mais sinon il y a plein d'autres informations intéressantes non > réutilisables dans le cadre de OSM. > > René-Luc D'Hont > >> >> Denis >> >> PS : je ne suis pas Bordelais et n'ai aucune animosité envers les >> autorités locales. J'essaie juste de comprendre comment la sauce peut >> prendre. Dura lex, sed lex : les besoins de la pleine réutilisation sont >> exigeants, mais ils sont nécessaires. >> _______________________________________________ >> Talk-fr mailing list >> Talk-fr@openstreetmap.org >> http://lists.openstreetmap.org/listinfo/talk-fr >> > > _______________________________________________ > Talk-fr mailing list > Talk-fr@openstreetmap.org > http://lists.openstreetmap.org/listinfo/talk-fr >
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