Bonjour,
Si vous avez déjà arpenté votre quartier et cherchez des contributions à
faire à distance, voici quelques propositions :
- https://maproulette.org/browse/challenges/14377
- https://maproulette.org/browse/challenges/14376
-
https://ent8r.github.io/NotesReview/?query=%23deficoeur&limit=10000&map=6%2F46.9345%2F5.506
Bon dimanche !
--
Noémie Lehuby
Le 09/09/2020 à 08:25, Jérôme Seigneuret a écrit :
Il y en a en tous simplement plus sur le territoire que dans la base
car ces éléments ne sont pas forcément déclaré. Beaucoup d'entreprise
ont des dispositifs dans les usines, les bureaux etc. Aux responsable
QHSE
<https://fr.wikipedia.org/wiki/Qualit%C3%A9,_hygi%C3%A8ne,_s%C3%A9curit%C3%A9,_environnement#:~:text=Qualit%C3%A9%2C%20hygi%C3%A8ne%2C%20s%C3%A9curit%C3%A9%2C%20environnement%20(QHSE)%2C%20aussi,au%20sein%20de%20l'entreprise>(et
dérivé) de faire ces démarches. Encore faudrait-il qu'ils soient au
courant ou qu'ils se mettent à la page.
Voir à fait une piqure de rappel. https://www.blog-qhse.com/ et la
CARSAT peuvent surement jouer un rôle à ce niveau.
Le mar. 8 sept. 2020 à 21:32, Philippe Verdy <ver...@gmail.com
<mailto:ver...@gmail.com>> a écrit :
On est loin de l'objectif national d'équipement, qui devrait
atteindre au minimum 1 appareil pour 500 habitants, soit 100 000 à
120 000 appareils (peut-être moins dans les villes denses où
l'accessibiltié est plus facile qu'en milieu rural et où les
services d'urgences sont également beaucoup plus rapides à
intervenir).
Si on considère que les ERP doivent être équipés, et qu'en gros
ils reçoivent une centaine de visiteurs au plus, sauf les stades
ou campings et grands hôtels, qui ont une densité plus grande, et
les centres commerciaux qui ont des milliers de visiteurs, plus
les établissements publics municipaux (mairies, salles communales,
écoles, médiathèques, musées, salles d'accueil pour associations),
tous les EHPAD, on devrait avoir au moins une 4 ou 5 appareils
même dans les plus petites communes rurales pour aussi desservir
les quartiers résidentiels un peu éloignés du centre, avec les
aires de sport, campings municipaux, aires d'accueil de gens du
voyage. Et au besoin avec des accords public-privé pour les aider
à les doter et les entretenir.
D'ailleurs ces DAE sont aussi l'occasion de trouver les ERP et
aller voir sa mairie pour demander pourquoi certains sites ne sont
pas équipés, et revoir la proximité des équipements avec sa
population dans les quartiers périphériques (pourquoi pas alors
aux arrêts de bus en partenariat avec les sociétés de transport
qui elles aussi sont sensées s'équiper: elles accueillent un
public très nombreux sur leur réseau, et même si on n'équipe pas
tous les véhicules, au moins équiper des stations pour pouvoir
intervenir à l'arrêt en sécurité pour tout le monde et permettre
aussi de "dégager" le public inutile et gênant).
Et puisqu'on a une base publique DAE qui se met en place, mettre
le tout sur une carte permet de voir les zones sous-équipées où
celles où les DAE installés n'aident personne autour (notamment
ceux en accès restreint dans une entreprise). Sur une carte je
mettrais séparément ces DAE d'accès restreint (notamment ceux aux
sein même des établissements protégés comme les EHPAD.
Et puis il suffit d'aller voir votre gymnase municipal proche,
votre stade, et les salles de sports privées qui elles aussi
devraient être équipées. Et voir votre comité de quartier (et
demander aussi à votre mairie de planifier des rencontres
publiques dans les quartiers et mettre la question à l'ordre du
jour et lui demander de faire cette collecte et le communiquer (ne
serait-ce que par le site de l'intercommunalité qui lui aussi
devrait avoir sa section "open data", et pas que les grosse
métropoles).
Des entreprises industrielles seraient aussi concernées
(exploitants et distributeurs sur les réseaux d'énergie notamment,
autorités portuaires, sites "Seveso" et toute industrie classée
comme dangereuse par les produits ou matériels utilisés ou stockés
: en cas d'accident industriel, ils monopilinsent fortement les
secours et il faut une capacité locale pour agir...). Et à mon
avis ces matériels devraient aussi être assurés en même temps que
leur contrat d'entretien, et on devrait pouvoir impliquer aussi
les sociétés d'assurances et mutuelles qui couvrent ces risques ou
subventionnent les équipements.
En attendant GeoDAE n'est qu'un jeu d'essai qui n'a pas encore
d'utilisation pratique, il faudra vraiment il plus grande
implication aussi avec tous les services d'urgence (15, SAMU,
SDIS, pompiers, services de police) et de contrôle (y compris la
médecine du travail et les comités d'entreprise) et les assos et
comités de quartiers pour que tout le monde accepte de remonter
ses infos et pas chacun dans son coin. Mais GeoDAE semble ne pas
fonctionner avec un guichet pleinement opérationnel.
au passage, au delà de cet équipement, il y a d'autres dispositifs
de sécurité aussi à relever (y compris la surveillance des
plages), ainsi que les dispositifs d'alerte (capteurs divers pour
l'air, l'eau/la mer). Et au final on aierait avoir une carte avec
une mesure de l'impact de ces équipements (délais d'intervention,
taux d'utilisation, remises à jour ou en conformité, relevés des
pannes ou appareils perdus/détériorés.
Et si une zone n'a pas besoin de davantage de DAE (sur-équipement)
les entreprises pourraient aussi contribuer d'une autre façon en
abondant un fond d'équipement pour couvrir les zones blanches ou
aider les sites peu favorisés à s'équiper et entretenir.
D'ailleuis je ne suis pas sur qu'inciter chacun d'eux à
s'équipper individellement est efficace, et s'il ne faudrait pas
en fait que la répartition des DAE réellement installés soit du
resort d'une autorité de planification qui approuverait ces
équipements (en contrôlant leur installation et leur entretien) ou
simplement recevrait des garanties financières avec une redevance
ou des preuves comptables de contributions vers d'autres secteurs
moins favorisés.
Et je suis même convaincu que l'obligation d'assurer ces matériels
au sein de chaque contrat d'entretien permettrait d'utiliser les
infras informatiques des sociétés d'assurances ou de la sécu (lARS
ne semble pas en mesure de le faire) en tant que mission de
service publique, avec un "open data" qui va bien et lui aussi
avec une maintenance (et une adéquation avec les règles légales
concernant la vie privée).
Et avoir des outils de mesure de l'efficacité permettrait aussi de
mesurer l'efficacité et revoir le dispositif et les seuils
d'équipement minimaux (ce seuils pevuent varier justement en
fonction de la proximité et la charge des services d'urgence, très
inégaux sur le territoire et de plus en plus centralisés avec des
tas de fermeture de services locaux: le transfert de plein de
compéttence des communes à leur agglo favorise beaucoup trop les
communes "centre" au détriment des autres: obliger les EPCI à
ouvrir ces données et mettre en place des outils de mesure
d'efficacité me parait indispensable pour savoir si elle n'en fait
pas assez en terme de concentration ou répartition des services,
ou trop avec un cout qui pourrait servir à d'autres priorités et à
arbitrer avec la population en réunions publiques et pas juste au
sein d'une grosse agence régionale qui décide dans un bureau en
petit comité et qui n'a même aucun moyen de contrôle: il faut
faire confiance au contrôle direct par la population, donc à
l'open data et non aux seules communications officielles des
institutions publiques et ne pas croire non plus aux annonces à
visée politique ou électorale car sans jamais aucun suivi).
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Cordialement,
Jérôme Seigneuret
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