Bonjour,
sophie a écrit :
Pour préciser aussi ce que tu dis par la suite, les ministères utilisent
d'anciennes version le plus souvent (2.2 au mieux 2.3) car il leur faut
environ un an pour qualifier une version. Nombres de bugs corrigés dans
nos versions ne les atteignent donc pas.
Exemple : en douane, nous en sommes restés à la v.2.0.2
Ça peut paraître antédiluvien, mais, malheureusement, les ressources ne
sont pas suffisantes pour (1) évaluer et (2) installer (manuellement !)
des version plus récentes sur les 16000 postes.
* les problèmes rencontrés dans la mise en place d'un *déploiement
de masse* (plusieurs milliers à dizaines de milliers de postes).
Oui !
o l'_intégration d'extensions_ dans le CD MimOOo pose un
problème quand ces extensions réclament la validation d'une
licence. MimOOo aimerait bien disposer d'un mécanisme
permettant une validation globale
oui, effectivement
+1
o _les styles prédéfinis sont trop pauvres_, en particulier il
bon, celle-là elle est passée ;) tu peux guetter le cws os120 pour la
3.1 et je vais mettre à jour la liste prospec
\O/
o Même facteur d'acceptation avec l'intégration par défaut des
polices Liberation
oui, celle la aussi http://www.openoffice.org/issues/show_bug.cgi?id=85106
\O/
o La grosse question : pourquoi OOo ne propose-t-il pas de
_patchs pour les mises à jours mineures_ ? Devoir installer
la suite complète pour passer de la 2.4.0 à la 2.4.1 parait
archaïque et lourd. /Si quelqu'un a une explication
technique je suis preneur/. J'en suis resté à celle
consistant à dire que produire des patchs complique le
processus de tests QA et qu'une version mineure s'installe
sans problème par dessus la version précédente. Pour MimOOo
cela montre que OOo ne prend pas vraiment en compte les
contraintes et besoins des grandes organisations, mais
s'adresse plutôt à des particuliers.
ils n'ont pas tord, il manque de toute façon une couche d'intégration à OOo
Oh oui !!! A mettre en parallèle avec les fréquences de mises à jour
(cf. plus haut)
Merci encore pour ton résumé :)
+1000 !
--
Jean-Francois Nifenecker, Bordeaux (France)
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