Si vous achetez des accès "grand public" pour des besoins
professionnels, il ne faut pas s'étonner.
Peut être qu'un jour les gens vont se rendre compte qu'un accès
Internet, ce n'est pas 30 € par mois et c'est tout, mais qu'il y a des
solutions pour tous les cas de figure. Un accès professionnel, avec
d'autres règles d'ingénierie que des accès grand public, d'autres
process, d'autres "centre de relation client", cela coute cher et cela
se paye.
On va peut être se rendre compte aussi un jour que la solution n'est
pas dans le "cloud computing" et tout donner en jachère à Amazon ou
Google et que là aussi, cela se paye ... c'est le prix de
l'indépendance et de l'assurance d'être encore un peu là demain.
Et oui, la qualité à un prix !
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2.0 Monitoring : relevant End to End monitoring for critical app. and
carrier class services
Le 8 oct. 08 à 10:36, Francois Tigeot a écrit :
Bonjour à tous,
Je me présente brièvement, vu que je suis nouveau sur la liste:
François,
administrateur réseau et systèmes. Depuis quelques années, j'ai
aussi une
casquette de vendeur de serveurs Unix.
Je viens de tomber sur un cas intéressant de pénurie d'adresses IP: ma
société a signé un contrat avec un organisme qui prévoit entre
autres la
fourniture d'un "Accès à Internet haut-débit". Cet organisme refuse
de me
fournir une adresse IP publique.
Mes machines ne peuvent récupérer que des adresses RFC1918 en
192.168.x.y
sur leurs interfaces réseau.
Bien entendu, je n'ai pas IPv6 non plus.
Y a t-il des précédents pour ce genre de blague ?
Je pense entre autres à une jurisprudence qui pourrait m'aider dans
ce cas...
Merci d'avance,
--
Francois Tigeot, Zefyris
http://www.zefyris.com/
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