Le 23/10/2010 18:29, Pierre Col a écrit :
> Jérôme wrote:
>
>> Pour compléter mon opinion sur ce logiciel, je pense que pour un
>> jeux qui est bi-directionnel et interactif, le principe de cette
>> méthode de protection a tout son intérêt, pour un document non
>> interactif comme un film, il vaut mieux partir à la pêche comme je
>> le disais.
>
> Justement, avec PUMit un film devient interactif, on peut mettre une
> seule interaction pour demander au spectateur de payer la seconde
> moitié du film après avoir vu la première moitié gratuitement, on
> peut lui mettre un questionnaire à remplir aux trois quarts du film
> pour voir le dernier quart, on peut faire toutes les interactions que
> l'on veut.
>
<my_opinion>
Personnellement, un film qui se coupe au moment important pour me
demander des informations, "pour continuer remplissez ce formulaire",
je me ferais avoir une fois, mais pas deux ..., je n'irais plus sur le
distributeur en question.
</my_opinion>

Il faut quand même se rappeler le pourquoi du "piratage" :
plus facile & moins cher  (il n'est pas écrit gratuit)

A quoi bon remplacer le facile par du compliqué ?
Madame Michu (plus raisonnablement ses enfants)
 a bien compris que sur du direct-download :
 ça marche [globalement] mieux & c'est plus facile
(& c'est moins cher même avec une inscription
premium/gold/advanced/wathever)

> Aux ayants droit d'imaginer des interactions malignes, répondant aux
> attentes du public, qui est prêt à payer un peu, ou à dobnber
> quelque chose en échange d'un ou plusieurs visionnages d'un filmn de
> plusieurs, de tout un catalogue...
Oui, qui répond au public, pas juste au portefeuille (c'est encore une
affaire de gros sous)


> Evidement, payer 5 euros dès la première seconde pour voir un film
> est la moins maligne de toutes les interactions, et c'est la seule
> existante aujourd'hui dans la VOD :-)

Payer le même prix un film en streaming qu'une place dans certains cinéma,
c'est sur que ça coince au niveau du consommateur.
Au cinéma il est conscient qu'il doit financer les infrastructures, les
personnel et le film.
Pour la version numérique, il voit moins ce besoin.


Jean-Pierre

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