On Fri, 2010-12-10 at 15:44 +0100, Stephane Bortzmeyer wrote:
> Je regrette, ce n'est pas du non-sens. Les adresses IPv4 publiques ont
> une autre propriété : elles sont *uniques*. Si on les utilise pour son
> réseau interne, cela garantit qu'il n'y aura pas de collision, même
> en cas de fusion/acquisition avec d'autres organisations.

You've got the point.

Il existe un (ou plusieurs) réseaux financiers, sorte d'internet
"parallele", où plusieurs organisations différentes doivent
s'interconnecter entre elles. Et ces organisations ont, à elles toutes,
suffisamment de besoin en IP pour ne pas arriver à se contenter de 10/8
+ 172.16/12 + 192.168/16. D'ou IP publiques (car uniques).
Je trouve personnellement que c'est vraiment con. Mais c'est justifié.


Peut-être adapter les policies, pour dire: "Cette IPv4 est unique dans
le réseau X", de manière a autoriser les overlaps sur des réseaux
disjoints ?



Après, sur le fait que $entreprise aie un réseau alacon, géré par
$incompétent, avec des IPs publiques ne leur appartenant pas dans leur
LAN, c'est leur problème. C'est *eux* qui sont pénalisés, s'ils ont
besoin d'accéder à un service public hébergé sur les subnets squattés.


-- 
Clément Cavadore

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