Il ne faut pas voir de la contrefaçon, là où on ne fait que consulter 
les cartes en ligne sans les décalquer.
L'expérience montre qu'il ne faut pas s'en servir pour obtenir la 
certitude que la voie  passe bien à cet endroit là (décalages, erreurs, 
ancien état des lieux...).
Pour vérifier qu'un certains nombre de voies restent à tracer, les 
consulter est une bonne idée.
La consultation des couvertures aériennes disponibles permet parfois de 
lever des doutes, en particulier pour déterminer si une voie repérée sur 
le cadastre est autorisée aux véhicules à quatres roues.
Sur les dénominations, prudence : seules les cartes éditées par les 
communes peuvent approcher la vérité, mais elles sont soit anciennes, 
soit fautives du fait des sous-traitants.
Une saine méfiance n'empêche pas de réutiliser ponctuellement tel ou tel 
nom, mais, dans ce cas, la meilleure parade reste de consulter plusieurs 
sources indépendantes.
La possibilité d'erreur et de contestation, en cas de convergence de 3 
sources devient totalement nulle.

Christian

NB : Je consulte fréquemment les cadastre et la couverture aérienne de 
ma ville. J'aimerais bien qu'elle assigne une de ses contribuables ;-). 
Mais, récemment, je lui ai demandé formellement de rendre les données 
géographiques publiques comme l'a fait Brest. J'attends la réponse...


> Guilhem Bonnefille a écrit :
>> Au delà de l'aspect purement technique, il ne faut pas oublier
>> l'aspect légal. 
> Au delà de l'aspect légal, il y a l'aspect éthique...




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