Merci pour ces précisions car je ne voyais pas à quoi servent ces numéros
visibles (qui changent pourtant d'une plaque à l'autre, et seumblent
indiquer autre chose qu'un simple seuil de résistance ou un numéro de
modèle. CE serait un numéro de série du fabricant ?

En attendant les plaques des regards ou puits d'entrée vers les égouts, ou
les chambres des conduits FranceTélécom, ERDF, GDF, etc... sur la chaussée
ou les trottoirs sont des éléments repérables et cartographiables, même
sans ID de référence.

Personne ne semble les prendre en compte pour la cartographie. Même en
roulant en voiture on les voit très bien, on peut les compter, et c'est
même souvent plus facile à voir et compter de nuit (depuis un carrefour de
référence) que les numéros sur les bâtiments (dont les murs ne sont pas
éclairés ou sont partiellement couverts par de la végétation ou masqués par
des arbres).

Les numéros peints sur les vitrines depuis aujourd'hui ne seront plus
observables non plus parce que les vitrines des lieux fermés doivent être
éteintes la nuit s'il n' y a personne à y travailler (ce qui risque d'être
compliqué par la présence de gardiens qui voudront que cela reste allumé vu
qu'ils y travaillent, la loi devra prévoir l'installation de minuteurs pour
eux pour faire respecter le demande d'éteindre les lieux; mais on a aussi
des vitrines qui ne s'allument qu'en cas d'approche d'un piéton avec des
capteurs de présence, un truc intéressant aussi à cartographier qui
répondrait à la demande d'économie sans priver les visiteurs d'un éclairage
rassurant...).


Le 1 juillet 2013 01:07, François Lacombe <
francois.laco...@telecom-bretagne.eu> a écrit :

> Bonsoir Philippe,
>
> Le 30 juin 2013 23:24, Philippe Verdy <verd...@wanadoo.fr> a écrit :
>
> Devra-t-on cartographier aussi les plaques d'égouts et autre regards sur
>> les postes enterrés de France Télécom (ou des réseaux cablés) sur les
>> trottoirs ? Ils ont aussi des numéros visibles sur ces plaques, gravés pour
>> résister au passage des piétons et des véhicules sur la chaussée... Mais
>> c'est difficilement utilisble comme repérage si la plaque est au milieu de
>> la chaussée.
>>
>
> Non les plaques d'égout c'est pas nécessaire.
> En effet ces numéros ne servent pas au repérage de la trappe. Ce sont
> principalement des indications sur la classe de résistance du matériau
> utilisé, selon la norme NF EN 124 par exemple.
> C'est donc à chaque fois les mêmes, il n'y a donc pas lieu de comparer ces
> numéros avec la codification des postes ERDF.
>
> Il n'y a peut-être qu'à Rennes que j'ai vu France Telecom indiquer les
> numéros de chambre, très peu exploitable puisqu'au sol, les caractères
> foutent le camp assez vite.
>
>
>> Parfois on trouve en bordure des trottoirs les entrées d'évacuation des
>> eaux usées munies aussi d'un rebord métallique gravé aussi d'un numéro.
>> En bordure des trottoirs le plus souvent c'est peint ou gravé à chaud
>> dans le bitume coulé, ou tracé dans le ciment avant qu'il prenne.
>>
>
> Au niveau de quelle municipalité ?
>
> A Paris il y a les dates de réalisation du revêtement inscrit dans le
> bitume.
> Si quelqu'un veut se lancer dans la création de zones fermées pour
> indiquer l'age du goudron... Libre à lui.
>
>
>> Ces numéros peuvent avoir des usages divers, dans les zones de marchés
>> ils peuvent délimiter les numéros d'emplacements, mais il faut le savoir,
>> il peuvent être effacés et retracés à tout moment en fonction des travaux
>> ou de certains événements, la plupart de ces marquages au sol ne résistent
>> pas longtemps si l'usage n'est pas régulier (comme les lieux de marchés,
>> mais le plus souvent c'est un placier qui fait juste un trait à la craie et
>> mesure les places occupées en fonction des commerçants qui se présentent
>> sur leurs places réservées).
>>
>
> +1 je suis d'accord.
> Cependant quel est l'objet ici ?
>
>
>>  Mais franchement si on veut quelque chose de fiable, il vaut mieux
>> utiliser les numéros des adresses d'une rue, c'est stable, à l'abri des
>> altérations, et même s'il n'y a pas toujours partout des plaques (ou des
>> gravures sur les murs), on les voit sur les enseignes peintes sur les
>> vitrines, ou les boîtes à lettres ou sonnettes (on a encore assez de
>> numéros pour voir où commence et où finit la numérotation et quel est le
>> côté pair, et se repérer à la dizaine près même sans entrer sur les
>> propriétés privées (il y a aussi des petits panneaux indicateurs pour les
>> cas où la numérotation n'est pas linéaire mais inclut une petite tranche
>> pour une petite impasse, ou ruelle privée en décrochement, pas
>> nécessairement accessible aux véhicules).
>>
>
>
> Si on veut quelque chose de durable, il vaut mieux utiliser ce qui est
> marqué sur la porte même je crois que la question ne se pose pas.
>
> Je donnais l'orientation comme exemple, utiliser cette codification permet
> de ne pas se marginaliser du terrain et de parler de la même chose que tout
> le monde.
>
> Comme je le disais, les collectivités territoriales sont propriétaires des
> supports. Cette codification est donc largement utilisée dans le dialogue
> propriétaire / ERDF.
> On peut la retrouver ailleurs que chez ERDF, bref...
>
>
>
> *François Lacombe*
>
> francois dot lacombe At telecom-bretagne dot eu
> http://www.infos-reseaux.com
>
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