Le 23/07/2021 à 13:51, David Ponzone a écrit :

> Faudrait peut-être mettre les mecs en question dans une pièce en
flammes, avec un téléphone qui peut pas joindre les numéros d’urgence.

La mise à jour de tous les équipements, sans test sur un premier
équipement (avec un spare à n-1 sur la table d'à coté), pour un truc
aussi anodin que les appels d'urgence, c'est de l'art.

> C’est consternant.

Malgré le contexte actuel, la santé des français est accessoire, alors
que la population augmente, dans un contexte psychovide hallucinatoire,
encore 1800 lits supprimés dernièrement.

Voir le curé sans pass, voir son médecin avec, assemblée nationale sans
pass, lieux de culture avec, etc.

Le droit du travail a été bafoué (licenciement si refus d'être
térapigénisé). Le secret médical a été supprimé (l'entreprise sera au
courant du statut médical du salarié). L'égalité devant l'accès aux
soins et à la vie libre a été supprimé (pass nazitaire).

Aujourd'hui, des femmes qui accouchent avec masque. À la rentrée, une
propagande de vaccination et des vaccinodromes dans les écoles pour une
thérapie génétique expérimentale et les droits des parents bafoués (une
seule autorisation parentale suffira). Demain des femmes enceintes ou
les bébés térapigénisés ?

Ne soit pas consterné. Ce pays est devenu fou...



Ah, au fait, demain samedi, y'a des manifs apolitiques pour la liberté.

La liberté est non négociable. Libres, de le 'faire ou pas'. Sans se
prendre le chou, mais libres de ses choix. Et de vivre libre sa vie de
tous les jours.

Derrière ce texte liberticide validé, prochainement, c'est internet qui
sera censuré, une fois le Rubicon franchi, le monstre ne s'arrêtera pas.

Il serait peut-être temps de se réveiller ?

Le propos ici n'est ni pro ou anti vaxx (ma période africaine m'a offert
des tonnes de vrais vaccins tropicaux dans mon petit corps toujours bien
portant à 58, sans surpoids ni autres facteurs de comorbidité).

Il s'agit de notre vie de citoyens libres.

Et qu'on ne me dise pas que c'est HS ici. Ici c'est le réseau et les
soutiers du grand tuyau. Il y a un moment où il faut dire les choses.

Et demain je serais dans la rue, comme la semaine dernière.
C'est pourtant pas mon truc, ces actions là.

-- 
Stéphane Rivière
Ile d'Oléron - France


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