La DGCCRF a fourni à Michel une impertinente réponse.
Aussi appelle t - il ceux qui s'estiment lésés par le délit
de vente forcée ( matériel lié à un système d'exploitation ) 
à porter, plus nombreux à la connaissance de cette
administration bien passive, leurs doléances.

Certes, la démarche ne sera peut - être pas inutile, mais 
est - elle bien appropriée ?

Ne conviendrait - il pas d'emprunter une autre voie ?

Nos fringants politiques, toujours si prompts à dénoncer
les infractions, les délits et les crimes, surtout lorsqu'ils 
ont pour théâtre ces espaces urbains décrits comme étant
livrés à toutes les dérives, ne peuvent oublier que l'espace
économique est accablé des mêmes maux et ouvre des
plaies qui ne sont pas moins vives.

Il est vrai que notre généreuse république sait mieux 
équiper ses compagnies de CRS qu'elle ne dote sa 
justice de suffisants moyens !

Mais il paraît que les "sauvageons" de nos banlieues font
courir à la nation toute entière des périls bien plus grands !

Aux rangs de nos politiciens distingués qui ne crient pas
tous uniment harro sur les voleurs de pommes ou les
fumeurs de "chichons" s'en trouvent quelques uns plus
lucides pour distinguer des dangers bien plus considérables...

Non seulement la pénétration du crime organisé dans
la sphère de l'économie qu'elle achèvera bientôt de 
contrôler totalement ( nonobstant celle du politique ! ),
mais encore les scandaleuses pratiques de groupes 
monopolistiques tels que celui de ce cher william henry ...

Comme nombre de mes concitoyens, j'ai bien
conscience que la solution relève d'une action politique.

L'administration décrète qu'il n'y a pas lieu d'intervenir
pretextant le faible nombre des plaignants alors qu'un
délit constitué est porté à sa connaissance, c'est que
l'état est incapable de faire respecter les lois qu'il édicte.

Le seul fait d'enfreindre la règle rend le contrevenant
accessible à la sanction.

La DGCCRF fait preuve d'un bien curieux esprit des lois !


;-))
jlb



Le Mercredi 22 Juin 2005 10:55, M. Aconin a écrit :
> JLM aka cityhunter a écrit :
> Marc Boussard a écrit :
> Moi, j'écris, mais plutôt à l'UFC Que Choisir et parfois à la DGCCRF:
> "est il normal qu'en informatique il soit impossible d'avoir pu étudier
> préalablement à tout achat de matériel le texte de contrats de licence
> d'utilisation de logiciels vendus conjointement, ni qu'il soit possible
> d'acquérir ce matériel sans être obligé de payer un contrat qu'on n'est
> pas obligé d'accepter?"
> (voir: http://www.uzine.net/article1940.html ?)
> La réponse, quand il y en a une: "personne d'autre que vous, ou presque,
> ne se plaint".
> Alors, simplement, soyez nombreux à exiger de pouvoir savoir à quoi on
> s'engage quand on envisage d'utiliser quelque chose, et à ce que l'autre
> partie contractante soit identifiée et respecteuse de ses engagements.
> OK?


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Désinscriptions: http://www.linux-azur.org/liste.php3
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