>> Michel Py a écrit:
>> On en est donc revenu à faire exactement la même chose que pour IPv4 : pour 
>> multihomer , un
>> annonce un préfixe (de plus) dans la DFZ. Donc maintenant il faut non 
>> seulement se taper 1
>> million (dans pas trop longtemps) de préfixes dans la DFZ IPv4 plus la DFZ 
>> IPv6, dont les
>> préfixes consomment 2 fois plus de TCAM que les IPv4.

> Samuel Thibault a écrit :
> Mais ils sont moins fragmentés a priori. Dans quelle mesure, il faudrait 
> mesurer.

Combat d'arrière garde; c'est naturel qu'il y ait moins de fragmentation dans 
la DFZ IPv6 : les allocations initiales ont souvent été faites bien plus 
généreusement que pour IPv4, donc l'org qui a besoin de s'étendre n'a pas 
besoin de demander après-coup un autre préfixe.


>>> David Ponzone a écrit :
>>> Tu verrais une autre solution ?
 
>> Michel Py a écrit :
>> Oui, concevoir le protocole simplement. K.I.S.S.
>> Exemple : FTP. Mal conçu, il utilise 2 ports et il y a à l'intérieur du 
>> paquet des informations
>> à propos de l'adresse source qui rend nécessaire un ALG NAT qui re-écrit ces 
>> infos.
>> Exemple : Telnet. Bien conçu, le serveur se base sur l'IP source qu'il voit, 
>> donc
>> qui a déjà été modifiée par NAT, çà marche avec double NAT sans probléme.

> Samuel Thibault a écrit :
> Et pour le p2p ?

CGNAT / P2P bien conçu, on alloue certains ports à chaque client :
Exemple on te donne 100.64.3.200, et automatiquement on forwarde les ports 
20000 à 20099 donc tu peux utiliser ces ports pour héberger les services que tu 
veux.
100.64.3.201 aura les ports 20100 à 20199, quelque chose comme çà.
Cà ne t'enlève pas samuel.dynip.com:20000

Michel.


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