Le 28/10/2021 à 21:41, Michel Py via frnog a écrit :
…
Laurent Barme a écrit :
Ce moyen de recaler l'estime convenait bien aux navires lents et surtout 
stables. Avec
les carènes modernes, rapides, légères et vives (et trop bas sur l'eau), 
réaliser, au
large (évidemment), un relevé opérationnel au sextant relève de l'exploit 
aujourd'hui.
Non, ça demande de la pratique. Bas sur l'eau c'est pas sympa surtout dans les 
creux ou on ne voit pas l'horizon, mais ça n'a pas empêché Robin Knox-Johnston 
ou Bernard Moitessier de faire le tour du monde il y à 50 ans.
Et c'est toujours d'actualité : https://goldengloberace.com/retro-sailing/
En 2018, C'est le Français Jean-Luc van den Heede qui a gagné : 
https://goldengloberace.com/skipper/2018/jean-luc-van-den-heede-13/
Cela illustre bien mon propos : dans l'exemple que tu cites, JL van den Heede utilise un sextant sur un monocoque de 36 pieds et 7.6 T de déplacement pour seulement 8.21 m de longueur à la flottaison. C'est stable (et lent). Au près, bien calé en pied de mât on a une meilleure chance de poser son astre sur l'horizon.
A comparer avec un Pogo 8.50 de 2.8 T...
C'est quoi son sextant ? on dirait un Freiberger.


C'est bien un Freiberger ; j'en ai un aussi :-)

Mais on est bien loin du sujet là !


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