- Si vous n'aimez pas vi, mais Emacs, positionnez la variable
d'environnement EDITOR à emacs (export EDITOR=emacs p.ex. dans
votre .bashrc)
- Emacs peut aussi fonctionner en mode `serveur': au lieu de lancer
un Emacs par fichier, utiliser emacsclient (faites-le dans votre
variable EDITOR p.ex.). Pour ce faire il faut avoir démarré
Emacs en mode serveur: cf le man emacsclient pour les détails, mais
pour la démo lancez Emacs et tapez: ESC, puis x, puis server-start,
puis return.
- Pour lancer Emacs sous X11 depuis root (sans se connecter sous root
à l'interface graphique, ce qui n'est pas recommandé).
export XAUTHORITY=/home/user/.Xauthority
(avec user l'utilisateur qui s'est connecté à l'écran).
NB: si vous avez lancé ``su - '' au lieu de ``su'', vous devez encore
positionner l'écran:
export DISPLAY=:0
- Cela vous permettra notamment d'utiliser les fonctionnalités intégrées
d'Emacs pour la gestion de versions.
- Les paranoïaques préféreront un éditeur simplifié, comme vi. Mais
attention, ce n'est pas forcément plus sûr qu'Emacs (cf les attaques
récentes de symlink dans /tmp).
- Pour modifier la taille de fonte d'Emacs (p.ex. avec KDE2, l'option
d'application des défauts kde ne fonctionne plus), vous pouvez
notamment créer un .Xresources dans $HOME:
xterm*font: 7x13
emacs*font: 7x13
--
http://www-internal.alphanet.ch/linux-leman/ avant de poser
une question.