David Bieder wrote:
Cela viendra avec la répression.
Le meilleur amis du libre, la police.
dav.
Habituellement, quand de pauvres victimes de piratages se proclamment
telles bruyamment, c'est pour préparer l'Opinion à des mesures
draconiennes de contrôle et de répression dont les innocents
On Wed, 20 Sep 2006, Michael Opdenacker wrote:
mais celui qui partage un logiciel - même propriétaire, ou toute oeuvre
culturelle ou immatérielle ne doit en aucun cas être appelé un pirate.
Pas d'accord du tout! Il faut respecter le droit des auteurs de choisir
la façon dont leur création
guy ferret a écrit :
il suffit de transposer le sujet sur un autre plan que l'informatique
pour avoir un tout autre éclairage:
une personne, crée une recette culinaire et communique les résultats
obtenus, un restaurateur passant par là prend la recette à son compte,
et la présente au menu. Y a
Serge Hartmann wrote:
mais celui qui partage un logiciel - même propriétaire, ou toute oeuvre
culturelle ou immatérielle ne doit en aucun cas être appelé un pirate.
quand quelqu'un copie un logiciel propriétaire, on est d'acoord : c'est
stupide.
mais il n'en dépossède personne : on ne peut ni
Jean-Max Reymond a écrit :
Le 20/09/06, Véronique Fritière[EMAIL PROTECTED] a écrit :
Idem pour la musique : je reproduis un son entendu (via un CD, la radio,
ou tout autre média audio) ou bien un son lu sur une partition : toute
la différence est là. Si la musique est diffusée dans un lieu
Salut!
Mon grain de sel:
le vote de la loi DADVSI avait donné lieu à beaucoup de commentaires
autour de la piraterie ou du piratage, même si, dans le texte, il n'est
question que de fraude.
Pour ce qui concerne les logiciels, reste à déterminer le statut de
celui qui achète innocemment du
Jean-Max Reymond a écrit :
Il faut quand même faire attention aux définitions données par les
dictionnaires. Les dico sont publiés par des éditeurs, qui sont donc
juges et
parties pour ce qui concerne la copie des oeuvres, dont les leurs.
Il est de leur intérêt de faire voir les copies