Ces noms sont tous officiels... ce n'est que la portée qui a changé dans le temps.

Il y a bien un Cherbourg dans OSM, même si ce n'est plus une commune aujourd'hui (suite à une fusion en 2 étapes)

https://www.openstreetmap.org/node/26691942#map=13/49.6397/-1.6258

Saint-Quentin-en-Yvelines est une communauté d'agglomération depuis 2004 qui avant était un SAN (Syndicat d'Agglomération Nouvelle), et encore avant un SCAAN (Syndicat communautaire d’aménagement de l’agglomération nouvelle). Son périmètre a changé en 1983 et 2016.



Le 28/08/2017 à 13:17, djakk djakk a écrit :
Je ne suis pas fan des sources officielles, bon dans la majorité des cas ça coïncide avec l'usage, mais j'ai 2 contre-exemples : • Saint-Quentin-en-Yvelines n'est plus officiellement une ville nouvelle (?), mais reste représentée par le nom de l'université, ou par le nom de la gare … est-ce que dans l'usage on utilise encore Saint-Quentin-en-Yvelines ? Si oui, il faudrait un nœud "place=city" pour la ville non-officielle de Saint-Quentin-en-Yvelines • Cherbourg-Octeville : je ne sais pas où ça en est, je suppose que le nom officiel est passé Cherbourg-Octeville, mais on utilise Cherbourg y compris sur les panneaux de signalisation directionnelle verts et je suppose que l'usage a toujours été "Cherbourg"

Le 28 août 2017 à 12:54, Christian Quest <cqu...@openstreetmap.fr <mailto:cqu...@openstreetmap.fr>> a écrit :

    Principe cardinal: représenter ce qu'il y a sur le terrain ? Oui,
    mais avec intelligence...

    Le gros avantage d'OSM c'est de permettre de mettre les noms en
    autant de langues que l'on veut avec name:xx=* et en même temps de
    préciser la langue en question, ce qu'un panneau ou une plaque
    dans la rue ne peut pas préciser.

    Ceci permet aussi au réutilisateur des données de faire son choix
    dans les langues qu'il veut mettre en avant (le rendu FR utilisera
    par exemple name:fr en priorité).

    Pour le name=*, la convention sur OSM c'est de mettre la langue
    officielle du pays, donc en France le français (ou autre si il n'y
    a pas de version du nom en français).

    Il y a des exceptions à cette règle pour les pays/régions/communes
    multilingues: Bruxelles, mais aussi la Suisse... qui compte 4
    langues officielles. Là pour ne pas favoriser une langue par
    rapport à d'autres, on les met toutes.


    A minima, en France pour les noms de commune, on est quand même
    bien d'accord que name=* correspond au nom du Code Officiel
    Géographique de l'INSEE.



    Le 28/08/2017 à 11:50, Christian Rogel a écrit :

            Le 28 août 2017 à 07:53, Bruno <pa...@free.fr
            <mailto:pa...@free.fr>> a écrit :

            Le 27/08/2017 à 22:05, Christian Rogel a écrit :

                    Le 27 août 2017 à 17:04, Bruno <pa...@free.fr
                    <mailto:pa...@free.fr>> a écrit :

                En gros, il y a un conflit théorique entre deux
                sources de légitimité : ce qu'on voit et ce que
                l'autorité compétente a voulu signifier.

            Pour moi aucune complexité,
            Il me semble que l'on voit sur la plaque le nom d'une rue
            dans deux langues  , il n'y a pas de conflit.
            Le champ name contient le nom dans une langue , et name:xx
            dans une autre, c'est fait pour ça.

        C'est pourtant contraire à un principe cardinal d'OSM :
        représenter ce qu'il sur le terrain.
        L'exemple bruxellois montre qu'on peut faire autrement tout en
        donnant leur place aux suffixes de langue.
        Même si un nombre infinitésimal de communes a choisi de placer
        les deux noms  sur un même niveau juridique, l'effacer dans la
        représentation du terrain est une voie de fait, puisque c'est
        nier la décision d'un corps élu.

            Si il pouvait y avoir conflit c'est sur le choix de la
            langue dans l'un ou l'autre champ , mais en France il n'y
            a pas d'ambiguité, pas de bilinguisme en métropole.


        Là, tu introduis un argument non plus technique, mais
        politique, donc renversable par nature. Pas de question de
        bilinguisme en jeu, il suffirait que le Parlement prescrive
        qu'aucun élément d'une plaque de rue ne soit laissé de côté.

        Christian R.

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