Le 20 nov. 2011 à 20:25, Apollinaire a écrit :

> La discussion est intéressante et au risque d'empapaouter les mouches,
> j'aurais quelques questions pour mieux comprendre le débat.
> Donc on ne tagge pas pour le moteur de rendu mapnik, on ne tagge pas pour le
> moteur de rendu osmarender, etc...
> Si la question est dans le travail sémantique entre les données brutes et la
> carte glissante ou la carte que je mets dans mon GPS, pourquoi ne pas
> choisir l'article indéfini plutôt que l'article défini : On ne tagge pas
> pour UN moteur de rendu.
> En gros j'ai du mal à comprendre l'interdit : éclairez-moi.
> Dernière question : est-ce possible de transformer ce commandement en otant
> la négation ?
> On tagge pour ... ?
> Merci d'avance

Il faut d'abord éclairer ce qui est implicite :
- Tu est devant ton éditeur de données géographiques (JOSM, Potlacht, …) et tu 
mets des tags/attributs, 
  donc tu tagges, c'est-dire tu convertis ce que tu as vu/ce que tu vois 
(imagerie) en balises qui ont fait l'objet
 d'une convention
Voilà l'aspect positif qui, en allant un peu plus loin peut être ainsi formulé :
"On tagge pour remplir la base de données d'éléments convertibles en cartes, en 
tableaux ou en autres bases de données".

La BDD ne sert donc pas à faire uniquement des cartes.

Celui qui tagge pour le rendu qu'il a en tête, parce qu'il a inévitablement 
croisé Mapnik ou Osmarender, peut donc
faire erreur, car il peut prendre  un rendu graphique particulier comme un 
objectif à atteindre.

Exemple simple : mettre track (piste) pour un chemin forestier banal, parce que 
sur Mapnik, cela ressort mieux.

En résumé, si le proverbe est négatif, c'est qu'il part d'une chose évidente : 
tout OSMeur est là pour tagger, mais 
la sagesse populaire ajoute : "pas n'importe comment".


Christian
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