Guillaume Allegre wrote > OSM ne doit pas devenir un dépôt où les "institutions" accepteraient de > verser leurs données à condition que personne n'y touche. > > OSM c'est du crowdsourcing avant tout ; l'open data est un complèment, > bienvenu mais pas essentiel. > Il faut qu'on travaille au maximum pour intégrer l'open data dans OSM, > mais si > on tombe sur un conflit entre les deux, OSM laissera tomber l'open data et > privilégiera toujours le crowdsourcing. > > Ce point est très important pour les discussions avec les collectivités, > et > il est non négociable, comme la licence. > En un mot : aucune donnée ne doit être verrouillée dans OSM.
Je suis d'accord sur ce point. Mais je tiens, en tant que cartographe et géographe de formation à vous rappeler une chose : quel sens donne-t-on à la carte ? à quoi doit-elle servir ? S'il s'agit juste de cartographier le réel juste pour avoir des objets dans la base de données, ça sert à rien. Si on veut que cela soit utiliser, ça veut dire qu'il faut créer de la donnée pour l'usage et l'usager. Concernant la remarque de Guillaume sur: Guillaume Allegre wrote > Donc, exit le ref:source=...., et je ne vois pas d'autre solution que > le ref:FR: > <idbase> > = > <id> Je suis d'accord pour un ref:FR:<idbase>=<id>, et même, je dirais, un ref:FR:Communal=<id> ou un ref:FR:<niveau_administratif>=<id> pour gérer les référentiels de plusieurs échelles administratives. -- View this message in context: http://gis.19327.n5.nabble.com/experimentations-a-Orange-tp5755270p5756101.html Sent from the France mailing list archive at Nabble.com. _______________________________________________ Talk-fr mailing list Talk-fr@openstreetmap.org http://lists.openstreetmap.org/listinfo/talk-fr