Concernant les arbres, étant donné que de nombreuses communes ont des
réglementations destinées à les protéger contre les abattages (ou demandant
de replanter), notamment lors des constructions, il est approprié de les
cartographier. Ils font partie du paysage public même s'ils sont sur des
terrains privés (et pas seulement en bordure de propriété).

De même concernant les hauteurs de bâtiments, les puits et pompages, les
fossés ou petites ruisseaux. Sinon il peut y avoir aussi des équipements
publics enclavés sur des propriétés privées (des pylônes de lignes
électriques par exemple), et bien que non accessibles librement au public,
leur intérêt public est de les cartographier. On ne peut pas strictement se
contenter des limites de propriétés privées. Nos limites ne sont pas celles
des propriétés mais celle de la vie privée (sinon on ne pourrait pas non
plus cartographier les galeries commerciales dans les grandes surfaces,
tout y est privé, alors que c'est accessible au public et fait justement
pour accueillir le public (pas n'importe quand et n'importe quelle heure,
il y a des règles quand même), les bâtiments ne sont donc pas des
indications suffisantes non plus.


Le 28 juin 2013 08:17, Pierre-Alain Dorange <pdora...@mac.com> a écrit :

> J'estime pour ma part qu'il y a une limite a la cartographie de l'espace
> privé et je me l'auto-fixe aux batiments (mais je comprend que l'on ait
> pas tous le même point de vue).
>
> Si on estime que l'on peux cartographier les piscones, pourquoi pas les
> allées sur les terrains privés, les arbres, les poubelles privées, les
> les entrées des batiments...
> Il doit bien y avoir une limite, la fixer est pas contre certainement
> problématique.
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