>>> Ce qui m'amène, pour le coup, à vous interroger sur la relation
>>> qui existe (ou pas) au sein d'OSM (ou en géomatique en général) entre
>>> les rues et le bâti: par exemple, au-delà de la question de la
>>> proximité géographique (qui finalement n'en est pas une), comment se gère le
>>> problème d'un immeuble qui a une entrée sur un numéro d'une rue et
>>> une deuxième entrée sur un autre numéro d'une deuxième rue?
>>>
>>> Comment implémente-t-on cette sémantique?  (Là, tout de suite, au
>>> moment où je vous parle, je pense aux pompiers qui ont forcément
>>> cette information sur la plus part des batiments de France, sauf
>>> erreur de ma part.)  (Je pense encore, mais c'est sans doute
>>> l'intérêt des plans d'urgence règlementaires figurant à l'entrée
>>> de tout bâtiment...)
>>
>> Ensuite il suffit de mettre chaque point dans 2 relations
>> différentes qui correspondent chacune à la bonne rue.
>
> On n'est même pas obligé d'utiliser une relation pour les adresses.
> La solution sans c'est :
> addr:housenumber=8
> addr:street=Rue de la Paix

OK, je comprends les variantes des différentes approches.

Pour compléter la dernière solution qui n'utilise pas d'objet relation, on 
pourrait donc avoir ce qui suit sur les champs du polygone du bâti:

<!-- Numéro donnant sur la première rue -->
addr:housenumber=8
addr:street=Rue de la Paix

<!-- Numéro donnant sur la deuxième rue -->
addr:housenumber=1
addr:street=Boulevard du Massacre

Question: des boulevards du Massacre ou des rues de la Paix, il y en a plein, 
alors la chaine de caractère seule est-elle une clef «relationnelle» pertinente 
ou il manque quelque chose?

jmn

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