Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-14 Par sujet Tony Emery
Est-on d'accord pour que je modifie ref:orange et ref:FR:08 ou
ref:FR:admin_level_08 ?



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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-14 Par sujet Philippe Verdy
pourquoi le zéro ? Ce n'est pas un code comme l'Insee c'est une valeur
numérique propre à OSM, et on ne met jamais ces zéros dans les admin_level


Le 14 avril 2013 09:58, Tony Emery tony.em...@yahoo.fr a écrit :

 Est-on d'accord pour que je modifie ref:orange et ref:FR:08 ou
 ref:FR:admin_level_08 ?



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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-14 Par sujet Christian Quest
ref:xxx dans un tel cas doit servir à lier avec un unique jeu de donnée,
pour moi le xxx doit contenir un identifiant unique vers le jeu de donnée
et ne doit pas être générique.

ref:INSEE indique bien qu'on parle du jeu de données de l'INSEE
ref:FR:RATP du jeu de données de la RATP
ref:mhs du jeu de donnée Mérimée
etc...

ref:FR:08 c'est quel jeu de données ?

ref:FR:84xxx me semblerai plus approprié et oui, ça va faire plein de
ref:FR:x mais ils sont nécessaires pour savoir à quel jeu de donnée on
fait référence vu qu'il n'ont rien en commun les uns avec les autres !



Le 14 avril 2013 10:20, Philippe Verdy verd...@wanadoo.fr a écrit :

 pourquoi le zéro ? Ce n'est pas un code comme l'Insee c'est une valeur
 numérique propre à OSM, et on ne met jamais ces zéros dans les admin_level


 Le 14 avril 2013 09:58, Tony Emery tony.em...@yahoo.fr a écrit :

 Est-on d'accord pour que je modifie ref:orange et ref:FR:08 ou
 ref:FR:admin_level_08 ?



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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-14 Par sujet Vincent de Chateau-Thierry

Bonjour,

Le 14/04/2013 11:14, Christian Quest a écrit :

ref:xxx dans un tel cas doit servir à lier avec un unique jeu de donnée,
pour moi le xxx doit contenir un identifiant unique vers le jeu de
donnée et ne doit pas être générique.

ref:INSEE indique bien qu'on parle du jeu de données de l'INSEE
ref:FR:RATP du jeu de données de la RATP
ref:mhs du jeu de donnée Mérimée
etc...

ref:FR:08 c'est quel jeu de données ?

ref:FR:84xxx me semblerai plus approprié et oui, ça va faire plein de
ref:FR:x mais ils sont nécessaires pour savoir à quel jeu de donnée
on fait référence vu qu'il n'ont rien en commun les uns avec les autres !



Et doncon est revenu au point de départ de la discussion :-)

Je continue de penser que ref:FR:code INSEE de la commune est une 
galère potentielle, tant en gestion qu'en compréhension.
Quitte à considérer qu'au sein d'une commune on n'aura pas de 
chevauchements d'identifiants, alors je préfère largement un unique tag 
qui serait quasi la proposition de Tony, à savoir ref:FR:admin_level8,

avec comme valeur l'identifiant externe fourni par le SIG communal.
Un seul tag, c'est déjà beaucoup plus simple à intégrer (une seule 
colonne dans un schéma de BD par exemple) et à documenter : une page 
unique plutôt que x déclinaisons, une par nouveau code INSEE.

Quant à l'interprétation de ce tag, ce serait :
la valeur du tag est un identifiant unique délivré par l'entité de type 
boundary=administrative+admin_level=8 dans laquelle se situe 
(géographiquement parlant) l'objet ainsi taggué.


vincent

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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-14 Par sujet Philippe Verdy
Tout à fait d'accord, ce n'est pas mon idée de n'utiliser que l'admin_level
qui n'est pas suffisant (on a des tas de données qui pourraient provenir de
jeux sources maintenues par plusieurs communes simultanément sans qu'on
puisse savoir laquelle, ou de plusieurs départements ou plusieurs régions
j'avais déjà plaidé vers une identification des sources par leur code INSEE
quand ce sont des collectivités. Au moins ça évitait les collision dans
l'espace ref:FR:* et c'était assez court pour ne pas surcharger la base
avec des clés interminables.
Sinon une alternative au code INSEE est le code département suivi d'une
abréviation du nom de la commune (par exemple ref:FR:35REN=* pour indiquer
une source de la ville de Rennes et ref:FR:35CES=* pour Cesson-Sévigné sa
voisine. Mais c'est inventer une nouvelle codification pour rien...


Le 14 avril 2013 11:14, Christian Quest cqu...@openstreetmap.fr a écrit :

 ref:xxx dans un tel cas doit servir à lier avec un unique jeu de donnée,
 pour moi le xxx doit contenir un identifiant unique vers le jeu de donnée
 et ne doit pas être générique.

 ref:INSEE indique bien qu'on parle du jeu de données de l'INSEE
 ref:FR:RATP du jeu de données de la RATP
 ref:mhs du jeu de donnée Mérimée
 etc...

 ref:FR:08 c'est quel jeu de données ?

 ref:FR:84xxx me semblerai plus approprié et oui, ça va faire plein de
 ref:FR:x mais ils sont nécessaires pour savoir à quel jeu de donnée on
 fait référence vu qu'il n'ont rien en commun les uns avec les autres !



 Le 14 avril 2013 10:20, Philippe Verdy verd...@wanadoo.fr a écrit :

 pourquoi le zéro ? Ce n'est pas un code comme l'Insee c'est une valeur
 numérique propre à OSM, et on ne met jamais ces zéros dans les admin_level


 Le 14 avril 2013 09:58, Tony Emery tony.em...@yahoo.fr a écrit :

 Est-on d'accord pour que je modifie ref:orange et ref:FR:08 ou
 ref:FR:admin_level_08 ?



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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-14 Par sujet Philippe Verdy
Et ce n'est pas suffisant, les objets pouvant être à cheval sur plusieurs
communes (une voirie, un parc, etc... ou être administré par une autre
commune qui est locataire les lieux sités sur le territoire d'une autre
(par exemple une déchetterie)


Le 14 avril 2013 12:14, Vincent de Chateau-Thierry v...@laposte.net a
écrit :

 Bonjour,

 Le 14/04/2013 11:14, Christian Quest a écrit :

  ref:xxx dans un tel cas doit servir à lier avec un unique jeu de donnée,
 pour moi le xxx doit contenir un identifiant unique vers le jeu de
 donnée et ne doit pas être générique.

 ref:INSEE indique bien qu'on parle du jeu de données de l'INSEE
 ref:FR:RATP du jeu de données de la RATP
 ref:mhs du jeu de donnée Mérimée
 etc...

 ref:FR:08 c'est quel jeu de données ?

 ref:FR:84xxx me semblerai plus approprié et oui, ça va faire plein de
 ref:FR:x mais ils sont nécessaires pour savoir à quel jeu de donnée
 on fait référence vu qu'il n'ont rien en commun les uns avec les autres !


 Et doncon est revenu au point de départ de la discussion :-)

 Je continue de penser que ref:FR:code INSEE de la commune est une galère
 potentielle, tant en gestion qu'en compréhension.
 Quitte à considérer qu'au sein d'une commune on n'aura pas de
 chevauchements d'identifiants, alors je préfère largement un unique tag qui
 serait quasi la proposition de Tony, à savoir ref:FR:admin_level8,
 avec comme valeur l'identifiant externe fourni par le SIG communal.
 Un seul tag, c'est déjà beaucoup plus simple à intégrer (une seule colonne
 dans un schéma de BD par exemple) et à documenter : une page unique plutôt
 que x déclinaisons, une par nouveau code INSEE.
 Quant à l'interprétation de ce tag, ce serait :
 la valeur du tag est un identifiant unique délivré par l'entité de type
 boundary=administrative+admin_**level=8 dans laquelle se situe
 (géographiquement parlant) l'objet ainsi taggué.

 vincent


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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-14 Par sujet Philippe Verdy
Je peux prendre une exemple extrême mais réel : la maison de Victor Hugo
située à Guernesey (Hauteville House) est entièrement gérée par la Mairie
de Paris (avec le drapeau français à l'entrée, un administrateur local payé
par la mairie de Paris.
Pourtant elle n'est pas sur le territoire de la commune, ni en France.
C'est une propriété privée de la Ville qui est un propriétaire comme un
autre à Guernesey. Des cas où les communes sont amenées à gérer des choses
hors de leur propre territoire sont assez nombreux peme si ce n'est le plus
souvent pas si loin (mais même en restant en France, le Conseil général
d'Ille-et-Vilaine gère des bâtiments et services à Paris ; la Corrèze
aussi).



Le 14 avril 2013 12:20, Philippe Verdy verd...@wanadoo.fr a écrit :

 Et ce n'est pas suffisant, les objets pouvant être à cheval sur plusieurs
 communes (une voirie, un parc, etc... ou être administré par une autre
 commune qui est locataire les lieux sités sur le territoire d'une autre
 (par exemple une déchetterie)


 Le 14 avril 2013 12:14, Vincent de Chateau-Thierry v...@laposte.net a
 écrit :

 Bonjour,

 Le 14/04/2013 11:14, Christian Quest a écrit :

  ref:xxx dans un tel cas doit servir à lier avec un unique jeu de donnée,
 pour moi le xxx doit contenir un identifiant unique vers le jeu de
 donnée et ne doit pas être générique.

 ref:INSEE indique bien qu'on parle du jeu de données de l'INSEE
 ref:FR:RATP du jeu de données de la RATP
 ref:mhs du jeu de donnée Mérimée
 etc...

 ref:FR:08 c'est quel jeu de données ?

 ref:FR:84xxx me semblerai plus approprié et oui, ça va faire plein de
 ref:FR:x mais ils sont nécessaires pour savoir à quel jeu de donnée
 on fait référence vu qu'il n'ont rien en commun les uns avec les autres !


 Et doncon est revenu au point de départ de la discussion :-)

 Je continue de penser que ref:FR:code INSEE de la commune est une
 galère potentielle, tant en gestion qu'en compréhension.
 Quitte à considérer qu'au sein d'une commune on n'aura pas de
 chevauchements d'identifiants, alors je préfère largement un unique tag qui
 serait quasi la proposition de Tony, à savoir ref:FR:admin_level8,
 avec comme valeur l'identifiant externe fourni par le SIG communal.
 Un seul tag, c'est déjà beaucoup plus simple à intégrer (une seule
 colonne dans un schéma de BD par exemple) et à documenter : une page unique
 plutôt que x déclinaisons, une par nouveau code INSEE.
 Quant à l'interprétation de ce tag, ce serait :
 la valeur du tag est un identifiant unique délivré par l'entité de type
 boundary=administrative+admin_**level=8 dans laquelle se situe
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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-14 Par sujet Vincent de Chateau-Thierry


Le 14/04/2013 12:20, Philippe Verdy a écrit :

Et ce n'est pas suffisant, les objets pouvant être à cheval sur
plusieurs communes (une voirie, un parc, etc... ou être administré par
une autre commune qui est locataire les lieux sités sur le territoire
d'une autre (par exemple une déchetterie)

Le 14 avril 2013 12:14, Vincent de Chateau-Thierry v...@laposte.net
Le 14/04/2013 11:14, Christian Quest a écrit :

ref:xxx dans un tel cas doit servir à lier avec un unique jeu de
donnée,
pour moi le xxx doit contenir un identifiant unique vers le jeu de
donnée et ne doit pas être générique.

ref:INSEE indique bien qu'on parle du jeu de données de l'INSEE
ref:FR:RATP du jeu de données de la RATP
ref:mhs du jeu de donnée Mérimée
etc...

ref:FR:08 c'est quel jeu de données ?

ref:FR:84xxx me semblerai plus approprié et oui, ça va faire
plein de
ref:FR:x mais ils sont nécessaires pour savoir à quel jeu de
donnée
on fait référence vu qu'il n'ont rien en commun les uns avec les
autres !


Et doncon est revenu au point de départ de la discussion :-)

Je continue de penser que ref:FR:code INSEE de la commune est une
galère potentielle, tant en gestion qu'en compréhension.
Quitte à considérer qu'au sein d'une commune on n'aura pas de
chevauchements d'identifiants, alors je préfère largement un unique
tag qui serait quasi la proposition de Tony, à savoir
ref:FR:admin_level8,
avec comme valeur l'identifiant externe fourni par le SIG communal.
Un seul tag, c'est déjà beaucoup plus simple à intégrer (une seule
colonne dans un schéma de BD par exemple) et à documenter : une page
unique plutôt que x déclinaisons, une par nouveau code INSEE.
Quant à l'interprétation de ce tag, ce serait :
la valeur du tag est un identifiant unique délivré par l'entité de
type boundary=administrative+admin___level=8 dans laquelle se situe
(géographiquement parlant) l'objet ainsi taggué.



J'entends ton argument. Ma proposition n'est pas robuste, et donc il en 
faut une autre. Je n'ai rien sous le coude, mais là où j'insiste, c'est 
sur le fait de ne pas arriver à un nouveau tag _par commune_. Il faut 
parvenir à un schéma avec des tags identiques pour toutes les communes.

cf. en début de ce fil :
http://lists.openstreetmap.org/pipermail/talk-fr/2013-March/056812.html

vincent

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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-14 Par sujet Philippe Verdy
Pourquoi FAUT-il- parvernir à ça ? Je ne vois aucune justification au
fait d'avoir des tags identiques pour toutes les communes, car ce ne sont
pas des éléments consitutifs d'un feature géographique.

Le feature c'est plutôt porté par les autres tags. Ici on ne parle que
d'un simple identifiant qui n'indique strictement rien d'autre qu'une base
externe pouvant contenir des tas d'objets géographiques ou non et même pas
dans OSM non plus pour la plupart, et aussi contenant des attributs
supplémentaires pour les objets OSM mais des attributs qu'on ne stockera
pas.

Bref, si ce qui te gène c'est de ne pas pouvoir convertir tous les
attributs ref;* dans des colonnes séparées d'un tableau, tu pars mal :
aucune application n'a besoin de le faire, i ly a des tas d'attributs qu'on
ignore totalement, mais si tu veu pouvoir les retrouver, commence d'abord
par séparer les attributs qui t'intéressent dans des colonnes spécifiques
de ta base, et stocke les autres dans une colonne générique refs
contenant une énumération sous forme clé1=id1;clé2=id2;... là où on avait
ref:clé1=id1 et ref:clé2=id2. Si on sépare malgré tout ces clés dans
OSM c'est pour permettre de faire des requêtes et filtrer les données du
côté du serveur, mais aussi pour limiter le risque d'effacement d'une clé
par une autre incompatible.

La base OSM n'est pas l'application finale utilisatrice qui prendra
seulemetn ce qui l'intéresse, et n'a pas besoin non plus de tout garder
puisque pour le reste elle a toujours accès à l'identifiant d'objet OSM ou
peut le retrouver en faisant une recherche avec la ref:clé=* qu'elle a
gardé (en ignorant les autres ref:clé2=* qu'elle n reconnait pas).


Le 14 avril 2013 12:46, Vincent de Chateau-Thierry v...@laposte.net a
écrit :


 Le 14/04/2013 12:20, Philippe Verdy a écrit :

 Et ce n'est pas suffisant, les objets pouvant être à cheval sur
 plusieurs communes (une voirie, un parc, etc... ou être administré par
 une autre commune qui est locataire les lieux sités sur le territoire
 d'une autre (par exemple une déchetterie)

 Le 14 avril 2013 12:14, Vincent de Chateau-Thierry v...@laposte.net
 Le 14/04/2013 11:14, Christian Quest a écrit :

 ref:xxx dans un tel cas doit servir à lier avec un unique jeu de
 donnée,
 pour moi le xxx doit contenir un identifiant unique vers le jeu de
 donnée et ne doit pas être générique.

 ref:INSEE indique bien qu'on parle du jeu de données de l'INSEE
 ref:FR:RATP du jeu de données de la RATP
 ref:mhs du jeu de donnée Mérimée
 etc...

 ref:FR:08 c'est quel jeu de données ?

 ref:FR:84xxx me semblerai plus approprié et oui, ça va faire
 plein de
 ref:FR:x mais ils sont nécessaires pour savoir à quel jeu de
 donnée
 on fait référence vu qu'il n'ont rien en commun les uns avec les
 autres !


 Et doncon est revenu au point de départ de la discussion :-)

 Je continue de penser que ref:FR:code INSEE de la commune est une
 galère potentielle, tant en gestion qu'en compréhension.
 Quitte à considérer qu'au sein d'une commune on n'aura pas de
 chevauchements d'identifiants, alors je préfère largement un unique
 tag qui serait quasi la proposition de Tony, à savoir
 ref:FR:admin_level8,
 avec comme valeur l'identifiant externe fourni par le SIG communal.
 Un seul tag, c'est déjà beaucoup plus simple à intégrer (une seule
 colonne dans un schéma de BD par exemple) et à documenter : une page
 unique plutôt que x déclinaisons, une par nouveau code INSEE.
 Quant à l'interprétation de ce tag, ce serait :
 la valeur du tag est un identifiant unique délivré par l'entité de
 type boundary=administrative+admin_**__level=8 dans laquelle se situe

 (géographiquement parlant) l'objet ainsi taggué.


 J'entends ton argument. Ma proposition n'est pas robuste, et donc il en
 faut une autre. Je n'ai rien sous le coude, mais là où j'insiste, c'est sur
 le fait de ne pas arriver à un nouveau tag _par commune_. Il faut parvenir
 à un schéma avec des tags identiques pour toutes les communes.
 cf. en début de ce fil :
 http://lists.openstreetmap.**org/pipermail/talk-fr/2013-**
 March/056812.htmlhttp://lists.openstreetmap.org/pipermail/talk-fr/2013-March/056812.html


 vincent

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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-14 Par sujet Guillaume Allegre
Le dim. 14 avril 2013 à 12:14 +0200, Vincent de Chateau-Thierry a écrit :

 Et doncon est revenu au point de départ de la discussion :-)

Oui, et tant mieux, les digressions sur la meilleure réforme possible 
des administrations, ce n'est pas tellement ce qui va faire avancer la cause.

 Je continue de penser que ref:FR:code INSEE de la commune est une
 galère potentielle, tant en gestion qu'en compréhension.

Pourquoi ? Ça gêne qui ?

 Quitte à considérer qu'au sein d'une commune on n'aura pas de
 chevauchements d'identifiants, alors je préfère largement un unique
 tag qui serait quasi la proposition de Tony, à savoir
 ref:FR:admin_level8

Et si une voie est à la limite de deux communes ayant toutes deux versé
leur SIG, ça ne marche plus.


 avec comme valeur l'identifiant externe fourni par le SIG communal.
 Un seul tag, c'est déjà beaucoup plus simple à intégrer (une seule
 colonne dans un schéma de BD par exemple) et à documenter : une page

Qui va faire un schéma de BD contenant toutes les clés possibles ?
Ça existe _en pratique_ ? ça me paraît tordu.


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 ° /\Guillaume AllègreOpenStreetMap France
  /~~\/\   allegre.guilla...@free.fr  Cartographie libre et collaborative
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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-14 Par sujet Guillaume Allegre
Le dim. 14 avril 2013 à 11:14 +0200, Christian Quest a écrit :

 ref:FR:84xxx me semblerai plus approprié et oui, ça va faire plein de
 ref:FR:x mais ils sont nécessaires pour savoir à quel jeu de donnée on
 fait référence vu qu'il n'ont rien en commun les uns avec les autres !

+1


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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-14 Par sujet Vincent de Chateau-Thierry



Le 14/04/2013 12:58, Philippe Verdy a écrit :

Pourquoi FAUT-il- parvernir à ça ? Je ne vois aucune justification au
fait d'avoir des tags identiques pour toutes les communes, car ce ne
sont pas des éléments consitutifs d'un feature géographique.



Le il faut n'est pas à prendre comme un ordre. En revanche ça me 
semble la cible à atteindre. Et ça n'est pas parce que ces IDs externes 
sont en effet, plutôt une meta-donnée qu'une donnée, qu'il faut les 
modéliser n'importe comment.



Le feature c'est plutôt porté par les autres tags. Ici on ne parle que
d'un simple identifiant qui n'indique strictement rien d'autre qu'une
base externe pouvant contenir des tas d'objets géographiques ou non et
même pas dans OSM non plus pour la plupart, et aussi contenant des
attributs supplémentaires pour les objets OSM mais des attributs qu'on
ne stockera pas.

Bref, si ce qui te gène c'est de ne pas pouvoir convertir tous les
attributs ref;* dans des colonnes séparées d'un tableau, tu pars mal :
aucune application n'a besoin de le faire,


J'adore ce genre de vérité définitive : aucune application n'a besoin 
de le faire. Pour affirmer ça, il faudrait connaître toutes les 
utilisations de la base, et le détail de chacune. C'est bien prétentieux 
! Philippe, dis-toi bien que tu ne connais (et moi non plus et personne 
d'autre ici) pas le 1/4 du 1/3 du périmètre des applications qui 
s'appuient sur la base OSM. Et c'est tant mieux, au passage.

Mais donc ce genre d'argument n'en est pas un.

Pour revenir au sujet, je vais reformuler autrement ma proposition de ce 
matin. Pour combiner un nombre restreint de tags (ici 1 seul finalement) 
et un peu de robustesse, on pourrait renseigner ce type de tag :
ref:FR:admin_level8=code INSEE de la commune source:identifiant de 
l'objet tel que géré par cette commune


Par rapport à ce que je proposais ce matin, on garde un seul tag, mais 
on n'est pas contraint par une inclusion géographique. On gèrerait 
correctement la Maison de Victor Hugo :

ref:FR:admin_level8=75056:identifiant de la maison selon la Ville de Paris

vincent

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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-14 Par sujet kimaidou
Le 14 avril 2013 14:32, Vincent de Chateau-Thierry v...@laposte.net a
écrit :


 Pour revenir au sujet, je vais reformuler autrement ma proposition de ce
 matin. Pour combiner un nombre restreint de tags (ici 1 seul finalement) et
 un peu de robustesse, on pourrait renseigner ce type de tag :
 ref:FR:admin_level8=code INSEE de la commune source:identifiant de
 l'objet tel que géré par cette commune

 Par rapport à ce que je proposais ce matin, on garde un seul tag, mais on
 n'est pas contraint par une inclusion géographique. On gèrerait
 correctement la Maison de Victor Hugo :
 ref:FR:admin_level8=75056:**identifiant de la maison selon la Ville de
 Paris


 vincent


J'aime assez cette dernière proposition. En effet, on reste sur l'effet
une seule colonne dans les bases de données à plat  tout en permettant de
filtrer pour la ou les communes qui nous intéresse.
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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-14 Par sujet Vincent de Chateau-Thierry


Le 14/04/2013 14:21, Guillaume Allegre a écrit :

Le dim. 14 avril 2013 à 12:14 +0200, Vincent de Chateau-Thierry a écrit :


Et doncon est revenu au point de départ de la discussion :-)


Oui, et tant mieux, les digressions sur la meilleure réforme possible
des administrations, ce n'est pas tellement ce qui va faire avancer la cause.


Je continue de penser que ref:FR:code INSEE de la commune est une
galère potentielle, tant en gestion qu'en compréhension.


Pourquoi ? Ça gêne qui ?


Tout le monde à terme : contributeurs (c'est indocummentable, anti 
intuitif au possible) et consommateurs.





Quitte à considérer qu'au sein d'une commune on n'aura pas de
chevauchements d'identifiants, alors je préfère largement un unique
tag qui serait quasi la proposition de Tony, à savoir
ref:FR:admin_level8


Et si une voie est à la limite de deux communes ayant toutes deux versé
leur SIG, ça ne marche plus.



Dans le cas d'une voie communale en frontière, on suffixe 
ref:FR:admin_level8 avec :left et :right. Cette convention est assez 
répandue dans les tags.





avec comme valeur l'identifiant externe fourni par le SIG communal.
Un seul tag, c'est déjà beaucoup plus simple à intégrer (une seule
colonne dans un schéma de BD par exemple) et à documenter : une page


Qui va faire un schéma de BD contenant toutes les clés possibles ?
Ça existe _en pratique_ ? ça me paraît tordu.


On n'en sait _rien_ , cf. ce que je viens de répondre à Philippe. Mais 
justement, ne sachant pas, notre responsabilité c'est de ne pas 
fabriquer une usine à gaz.


vincent

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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-14 Par sujet Christian Quest
Le 14 avril 2013 14:32, Vincent de Chateau-Thierry v...@laposte.net a
écrit :


 Pour revenir au sujet, je vais reformuler autrement ma proposition de ce
 matin. Pour combiner un nombre restreint de tags (ici 1 seul finalement) et
 un peu de robustesse, on pourrait renseigner ce type de tag :
 ref:FR:admin_level8=code INSEE de la commune source:identifiant de
 l'objet tel que géré par cette commune

 Par rapport à ce que je proposais ce matin, on garde un seul tag, mais on
 n'est pas contraint par une inclusion géographique. On gèrerait
 correctement la Maison de Victor Hugo :
 ref:FR:admin_level8=75056:**identifiant de la maison selon la Ville de
 Paris



Et ça ne marchera pas si 2 communes veulent identifier le même objet...
comme tout les objets en limite de commune et plein de cas particuliers
comme celui de la Maison de Victor Hugo.

2 jeux de données différents = 2 ref:xxx différents, je ne vois pas d'autre
solution qui puisse tenir, désolé.

-- 
Christian Quest - OpenStreetMap France
Synthèse du Week-end SOTM-FR à Lyon :
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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-14 Par sujet Vincent de Chateau-Thierry


Le 14/04/2013 15:25, Christian Quest a écrit :

Le 14 avril 2013 14:32, Vincent de Chateau-Thierry v...@laposte.net
mailto:v...@laposte.net a écrit :


Pour revenir au sujet, je vais reformuler autrement ma proposition
de ce matin. Pour combiner un nombre restreint de tags (ici 1 seul
finalement) et un peu de robustesse, on pourrait renseigner ce type
de tag :
ref:FR:admin_level8=code INSEE de la commune source:identifiant
de l'objet tel que géré par cette commune

Par rapport à ce que je proposais ce matin, on garde un seul tag,
mais on n'est pas contraint par une inclusion géographique. On
gèrerait correctement la Maison de Victor Hugo :
ref:FR:admin_level8=75056:__identifiant de la maison selon la Ville
de Paris



Et ça ne marchera pas si 2 communes veulent identifier le même objet...
comme tout les objets en limite de commune et plein de cas particuliers
comme celui de la Maison de Victor Hugo.

2 jeux de données différents = 2 ref:xxx différents, je ne vois pas
d'autre solution qui puisse tenir, désolé.



Donc mettons nous dans le cas où n communes gèrent, chacune dans son 
coin, un seul et même objet (ex. : la déchetterie citée par Philippe). 
Toutes ces communes libèrent leurs données. Mince ! Nous sommes donc 
confrontés à une bataille (dantesque !) de sources :-)
Qu'est-ce qui, dans ce type de cas, nous empêche d'utiliser, là encore, 
une convention de tagguage (au même titre que :left et :right), à savoir 
le ';' comme séparateur de valeurs ? Je n'en suis pas fan, mais ça me 
semble une fois de plus largement plus gérable que le mode où chaque 
source provoquerait l'ajout d'un tag distinct.


vincent

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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-14 Par sujet Tony Emery
cquest wrote
 ref:xxx dans un tel cas doit servir à lier avec un unique jeu de donnée,
 pour moi le xxx doit contenir un identifiant unique vers le jeu de donnée
 et ne doit pas être générique.
 
 ref:INSEE indique bien qu'on parle du jeu de données de l'INSEE
 ref:FR:RATP du jeu de données de la RATP
 ref:mhs du jeu de donnée Mérimée
 etc...
 
 ref:FR:08 c'est quel jeu de données ?
 
 ref:FR:84xxx me semblerai plus approprié et oui, ça va faire plein de
 ref:FR:x mais ils sont nécessaires pour savoir à quel jeu de donnée on
 fait référence vu qu'il n'ont rien en commun les uns avec les autres !

si on suit cette logique, alors il faut faire ref:FR:Communes car INSEE est
une institution, pas un code de classification. Si on compare avec la même
chose, c'est comme si on mettait ref:84087 pour ajouter le code INSEE
derrière en valeur de clé.

REF:FR:admin_level_08=* voudrait dire c'est la référence en France pour les
niveaux administratif 8 (les communes.

Pour quoi le 08 et non le 8, parce qu'il y a 10 niveaux administratifs
recensés en France. C'est pour garder le même nombre de caractères pour ce
type de tags.



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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-14 Par sujet Tony Emery
Guillaume Allegre wrote
 Je continue de penser que ref:FR:
 code INSEE de la commune
  est une
 galère potentielle, tant en gestion qu'en compréhension.
 
 Pourquoi ? Ça gêne qui ?

Ceux qui  utilisent les données dans des SIG classiques (il y en a encore).
Il ne faut pas seulement penser informatique et web...


Guillaume Allegre wrote
 Quitte à considérer qu'au sein d'une commune on n'aura pas de
 chevauchements d'identifiants, alors je préfère largement un unique
 tag qui serait quasi la proposition de Tony, à savoir
 ref:FR:admin_level8
 
 Et si une voie est à la limite de deux communes ayant toutes deux versé
 leur SIG, ça ne marche plus.

C'est déjà le cas pour le nom de ces voies name:left et name:right. Ou alors
les séparer par des ;. De toute façon, l'identifiant unique devrait
contenir le n° INSEE de la commune (comme pour les parcelles).


Guillaume Allegre wrote
 avec comme valeur l'identifiant externe fourni par le SIG communal.
 Un seul tag, c'est déjà beaucoup plus simple à intégrer (une seule
 colonne dans un schéma de BD par exemple) et à documenter : une page
 
 Qui va faire un schéma de BD contenant toutes les clés possibles ?
 Ça existe _en pratique_ ? ça me paraît tordu.

Des communautés de communes, d'agglo ou tout autre EPCI qui gèrent plusieurs
communes, par exemple.



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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-14 Par sujet Tony Emery
Vincent de Château-Thierry wrote
 Pour revenir au sujet, je vais reformuler autrement ma proposition de ce 
 matin. Pour combiner un nombre restreint de tags (ici 1 seul finalement) 
 et un peu de robustesse, on pourrait renseigner ce type de tag :
 ref:FR:admin_level8=
 code INSEE de la commune source
 :
 identifiant de 
 l'objet tel que géré par cette commune

Le code INSEE de la commune est presque toujours déjà présent dans
l'identifiant. Chez nous, l'identifiant est du type 84087V123456. Donc,
pas besoin du code INSEE de la commune source:, surtout que les : se
gèrent très mal dans les Bases de données des SIG.


Vincent de Château-Thierry wrote
 Par rapport à ce que je proposais ce matin, on garde un seul tag, mais 
 on n'est pas contraint par une inclusion géographique. On gèrerait 
 correctement la Maison de Victor Hugo :
 ref:FR:admin_level8=75056:lt;identifiant de la maison selon la Ville de
 Parisgt;

Là, je vois pas le rapport. L'idée n'est pas de savoir qui est le
propriétaire ou le gestionnaire de la voie (ça, à la rigueur, c'est le tag
operator, mais dans quelle commune elle se trouve.



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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-14 Par sujet Vincent de Chateau-Thierry


Le 14/04/2013 16:52, Tony Emery a écrit :

Vincent de Château-Thierry wrote

Pour revenir au sujet, je vais reformuler autrement ma proposition de ce
matin. Pour combiner un nombre restreint de tags (ici 1 seul finalement)
et un peu de robustesse, on pourrait renseigner ce type de tag :
ref:FR:admin_level8=
code INSEE de la commune source
:
identifiant de
l'objet tel que géré par cette commune


Le code INSEE de la commune est presque toujours déjà présent dans
l'identifiant. Chez nous, l'identifiant est du type 84087V123456. Donc,
pas besoin du code INSEE de la commune source:, surtout que les : se
gèrent très mal dans les Bases de données des SIG.


Mais on ne peut pas établir une règle en considérant que ce qui se fait 
à Orange se fait partout. Il faut toujours penser au pire quand tu 
réfléchis à un modèle, et là, le pire, c'est une commune qui dans son 
SIG aurait, par exemple, des IDs qui commencent à 1 et s'incrémentent. 
Si 2 communes font la même chose, on n'aura pas d'unicité des identifiants.
Or ce scenario est gérable si le code INSEE de la commune est imposé en 
début de valeur, avant un séparateur, qui peut être ':' ou autre chose. 
Au passage, qu'un SIG gère mal ce caractère dans un nom de champ je peux 
le concevoir, mais dans une valeur de champ typé en caractère, ça me 
semble plus improbable.




Vincent de Château-Thierry wrote

Par rapport à ce que je proposais ce matin, on garde un seul tag, mais
on n'est pas contraint par une inclusion géographique. On gèrerait
correctement la Maison de Victor Hugo :
ref:FR:admin_level8=75056:lt;identifiant de la maison selon la Ville de
Parisgt;


Là, je vois pas le rapport. L'idée n'est pas de savoir qui est le
propriétaire ou le gestionnaire de la voie (ça, à la rigueur, c'est le tag
operator, mais dans quelle commune elle se trouve.



L'idée est de savoir quel organisme a affecté l'identifiant qu'on est en 
train de lire. La réponse à dans quelle commune se trouve l'objet n'a 
pas du tout besoin de tout ça, l'inclusion spatiale dans la limite de 
commune suffit.


vincent

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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-14 Par sujet Philippe Verdy
le ,ombre de caractères c'est ridicule, sinon au devrait écrire aussi le
tag admin_level=08 et non admin_level=8; cela aurait un sens si c'était
un identifiant servant de base à d'autres, mais ça n'a été modiflisé que
comme une valeur strictement énumérée ayant une valeur numérique comparable
sous forme d'entier, même sans le zéro (sans compter qu'à tout moment on va
avoir une zone où on trouvera des valeurs non entières, pour gérer les cas
de transitions lors de réformes adminsitratives dans un pays (qui
entraineront des changements massifs et une perte de compatibilité avec les
appilis tierces utilisant encore les anciennes entités pendant une période
assez longue).
Ajouter un zéro n'aidera pas dans ce cas les clés sont juste des clés, pas
des valeurs ni des codes identifiants de bases externes, là il s'agit juste
d'une convention strictement interne à OSM de nommage des clés et il vaut
mieux être cohérent avec le schéma adopté dans OSM pour sa propre
utilisation des admin_level=*.



Le 14 avril 2013 16:30, Tony Emery tony.em...@yahoo.fr a écrit :

 cquest wrote
  ref:xxx dans un tel cas doit servir à lier avec un unique jeu de donnée,
  pour moi le xxx doit contenir un identifiant unique vers le jeu de donnée
  et ne doit pas être générique.
 
  ref:INSEE indique bien qu'on parle du jeu de données de l'INSEE
  ref:FR:RATP du jeu de données de la RATP
  ref:mhs du jeu de donnée Mérimée
  etc...
 
  ref:FR:08 c'est quel jeu de données ?
 
  ref:FR:84xxx me semblerai plus approprié et oui, ça va faire plein de
  ref:FR:x mais ils sont nécessaires pour savoir à quel jeu de donnée
 on
  fait référence vu qu'il n'ont rien en commun les uns avec les autres !

 si on suit cette logique, alors il faut faire ref:FR:Communes car INSEE est
 une institution, pas un code de classification. Si on compare avec la même
 chose, c'est comme si on mettait ref:84087 pour ajouter le code INSEE
 derrière en valeur de clé.

 REF:FR:admin_level_08=* voudrait dire c'est la référence en France pour
 les
 niveaux administratif 8 (les communes.

 Pour quoi le 08 et non le 8, parce qu'il y a 10 niveaux administratifs
 recensés en France. C'est pour garder le même nombre de caractères pour ce
 type de tags.



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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-14 Par sujet Philippe Verdy
P. N'importe quoi. Les EPCI ne peuvent pas gérer *toutes* les donénes
qu'on met dans OSM. Elles sont de toute façon obligées de faire le tri dans
ce qui les intéresse, et de reclasser/regrouper des éléments qui ont été
codifiés séparément dans OSM (par exemple à quoi cela peut servir à une
collectivité française les clés qui séparents les concepts définis au
Royaume-Uni ou aux USA, et à quoi sert la nomenclature de classification
officielle française à une agence américaine qui a des lois carrément
incompatibles et une toute autre classification ?
Personne (j'insiste) ne peut utiliser toutes les clés simultanément,
d'autant plus que certaines codifications dans OSM n'ont aucun équivalent
officiel ailleurs et ne sont que des compromis orientés vers une
utilisation plus grand public.
Même nos serveur sde rendu sont obligés tous de faire ces requalifications
quand ils créents leurs propres tables de features à partir des données
OSM trop riches, et de résoudre aussi des ambiguités avec des heuristiques
(car on n'a pas encore de règles claires, très souvent, sur la façon de
taguer *partout* de la même façon).
Dès qu'on commence à parler d'une telle couche d'adaptation, toutes les
clés (et aussi les valeurs) doivent d'avord être interprêtées, et ce qu'on
ne comprend pas selon le but de la base finale à créer, on le met déjà de
côté. Les utilisations vont aussi changer, comme nos propres
recommandations et expérimentations sur bon nombre de tags. Déjà assez
souvent on doit ignorer des tags devenus obsolètes car trop ambigus. N'en
ajoutons pas d'autres qui dès le départ seront ambigus.


Le 14 avril 2013 16:43, Tony Emery tony.em...@yahoo.fr a écrit :

 Guillaume Allegre wrote
  Je continue de penser que ref:FR:
  code INSEE de la commune
   est une
  galère potentielle, tant en gestion qu'en compréhension.
 
  Pourquoi ? Ça gêne qui ?

 Ceux qui  utilisent les données dans des SIG classiques (il y en a encore).
 Il ne faut pas seulement penser informatique et web...


 Guillaume Allegre wrote
  Quitte à considérer qu'au sein d'une commune on n'aura pas de
  chevauchements d'identifiants, alors je préfère largement un unique
  tag qui serait quasi la proposition de Tony, à savoir
  ref:FR:admin_level8
 
  Et si une voie est à la limite de deux communes ayant toutes deux versé
  leur SIG, ça ne marche plus.

 C'est déjà le cas pour le nom de ces voies name:left et name:right. Ou
 alors
 les séparer par des ;. De toute façon, l'identifiant unique devrait
 contenir le n° INSEE de la commune (comme pour les parcelles).


 Guillaume Allegre wrote
  avec comme valeur l'identifiant externe fourni par le SIG communal.
  Un seul tag, c'est déjà beaucoup plus simple à intégrer (une seule
  colonne dans un schéma de BD par exemple) et à documenter : une page
 
  Qui va faire un schéma de BD contenant toutes les clés possibles ?
  Ça existe _en pratique_ ? ça me paraît tordu.

 Des communautés de communes, d'agglo ou tout autre EPCI qui gèrent
 plusieurs
 communes, par exemple.



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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-12 Par sujet Christian Rogel


Le 11 avr. 2013 à 17:43, Tony Emery tony.em...@yahoo.fr a écrit :
 Une fois que j'ai dit ça, que peut-on en tirer ?
 1- Que la source première de données est et restera toujours la commune (en
 gros toujours) ;
 2- Qu'il faut s'appuyer sur elles si l'on veut constituer une base crédible
 et maintenue dans le temps ;
 3- Que, étant données les différences de moyens des collectivités, seule un
 petite minorité d'entre elles sont capables de faire ce travail
 4- Que pour compenser l'inégalité des moyens, il faudrait que les
 intercommunalités prennent le relais mais
 5- Que certaines d'entre elles, notamment en milieu rural, n'ont pas plus
 les moyens de le faire
 6- Que les collectivités locales ne peuvent pas imposer quoi que ce soit aux
 autres (principe constitutionnel d’interdiction de la tutelle d’une
 collectivité territoriale sur une autre)

Sur 5 et 6, la solution est de faire des SIG à un niveau supérieur à la 
communauté de communes.
C'est  ce qui a été fait à Brest où la métropole met, par convention, son SIG à 
la disposition des autres EPCI du Pays de Brest (pays Voynet)
9 agents arrivent à couvrir 89 communes.
Evidemment, c'est une décision politique, difficile à prendre, si les élus se 
méfient les uns des autres, mais, pas impossible à réaliser.
Le modèle est que le SIG le plus avancé, fédère les EPCI les plus proches.
Si certains d'entre vous sont en position d'attirer l'attention des élus 
là-dessus, ce serait une bonne chose.

Christian R., contributeur super-lambda

PS : Je connais une communauté d'agglo qui a un SIG, mais, la ville centre 
garde le sien, car, les deux têtes politiques, du même parti, sont en guerre 
ouverte !!???


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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-12 Par sujet Tony Emery
Christian Rogel wrote
 la solution est de faire des SIG à un niveau supérieur à la communauté de
 communes.
 C'est  ce qui a été fait à Brest où la métropole met, par convention, son
 SIG à la disposition des autres EPCI du Pays de Brest (pays Voynet)
 9 agents arrivent à couvrir 89 communes.
 Evidemment, c'est une décision politique, difficile à prendre, si les élus
 se méfient les uns des autres, mais, pas impossible à réaliser.
 Le modèle est que le SIG le plus avancé, fédère les EPCI les plus proches.
 Si certains d'entre vous sont en position d'attirer l'attention des élus
 là-dessus, ce serait une bonne chose.

Effectivement, mais ce ne sera pas possible vu que la politique actuelle
d'aménagement du territoire est de réduire le mille-feuilles administratif
et de supprimer les syndicats et autres pays.

Je pense que ça pourrait se faire soit au niveau des Conseils Généraux (mais
ils leurs manque la compétence), soit, dans une volonté de solidarité, entre
les interco qui ont des SIG et les autres (mais là, c'est un doux rêve).

En attendant, il faut déjà avancer avec ceux qui ont déjà des référentiels
et des moyens.



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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-12 Par sujet Philippe Verdy
Même sans faire appel au mille-feuille administratif, il y a d'autres
moyens de coopérations entre communes et autres collectivités pour
certaines missions. Les associations ça existe, la France n'en manque pas !

Déjà il y a l'Association des maires de France (AMF) et je ne vois pas
pourquoi les petites collectivités qui manquent de moyens ne pourraient pas
utiliser une solution pérenne gérée par une telle association, avec des
moyens partagés, et des relais dans toutes les régions.

Evidemment se pose la question de la sécurité des SIG,et de la
responsabilité des intervenants qui modifient les bases, ou les consultent,
mais ce n'est pas spécifique au cadre de la collaboration et le même
problème existe déjà au sein même de chaque collectivité devant gérer un
SIG, la différence étant une question d'échelle si un SIG partagé devient
tellement important par le nombre d'infos qui y sont enregistrées
collectivement qu'il suscite ensuite des convoitises dangereuses ou
tentatives de corruption des données.

Le vrai problème est en fait moins technique (la sécurité ça se résoud y
compris par la responsabilisation des agents et les règlementations), que
celui de la formation des agents aux évolutions de ces systèmes. C'est là
que les coûts peuvent exploser, à moins que les collectivités mettent en
place des délégations de service public et s'en remettent alors totalement
à quelqu'un d'autre pour leurs besoins (avec la crainte d'une dépendance
opérationnelle, mais aussi de non maîtrise des coûts ultérieurs s'ils
augmentent, et la difficulté alors de rapatrier les données pour les gérer
d'une autre façon).

Mais là aussi une asso comme l'AMF peut exercer son contrôle pour évaluer
raisonnablement les solutions partagées mises en oeuvre (sans pour autant
fédérer tout le monde dans le même système afin qu'il garde une taille
raisonnable sans exploser et limiter l'exposition aux risques) et étudier
les coûts (en faisant appel aussi au contrôle par la Cours des comptes qui
a l'expertise dans ce domaine et la compétence nécessaire pour les fouiller
en détail). Elle peut émettre des recommandations sur les meilleures
pratiques et les évolutions nécessaires.



Le 12 avril 2013 14:59, Tony Emery tony.em...@yahoo.fr a écrit :

 Christian Rogel wrote
  la solution est de faire des SIG à un niveau supérieur à la communauté de
  communes.
  C'est  ce qui a été fait à Brest où la métropole met, par convention, son
  SIG à la disposition des autres EPCI du Pays de Brest (pays Voynet)
  9 agents arrivent à couvrir 89 communes.
  Evidemment, c'est une décision politique, difficile à prendre, si les
 élus
  se méfient les uns des autres, mais, pas impossible à réaliser.
  Le modèle est que le SIG le plus avancé, fédère les EPCI les plus
 proches.
  Si certains d'entre vous sont en position d'attirer l'attention des élus
  là-dessus, ce serait une bonne chose.

 Effectivement, mais ce ne sera pas possible vu que la politique actuelle
 d'aménagement du territoire est de réduire le mille-feuilles administratif
 et de supprimer les syndicats et autres pays.

 Je pense que ça pourrait se faire soit au niveau des Conseils Généraux
 (mais
 ils leurs manque la compétence), soit, dans une volonté de solidarité,
 entre
 les interco qui ont des SIG et les autres (mais là, c'est un doux rêve).

 En attendant, il faut déjà avancer avec ceux qui ont déjà des référentiels
 et des moyens.



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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-12 Par sujet Christian Rogel
Le 12 avr. 2013 à 15:58, Philippe Verdy verd...@wanadoo.fr a écrit :

 Même sans faire appel au mille-feuille administratif, il y a d'autres moyens 
 de coopérations entre communes et autres collectivités pour certaines 
 missions. Les associations ça existe, la France n'en manque pas !
 
 Déjà il y a l'Association des maires de France (AMF) et je ne vois pas 
 pourquoi les petites collectivités qui manquent de moyens ne pourraient pas 
 utiliser une solution pérenne gérée par une telle association, avec des 
 moyens partagés, et des relais dans toutes les régions.
 
 Evidemment se pose la question de la sécurité des SIG,et de la responsabilité 
 des intervenants qui modifient les bases, ou les consultent, mais ce n'est 
 pas spécifique au cadre de la collaboration et le même problème existe déjà 
 au sein même de chaque collectivité devant gérer un SIG, la différence étant 
 une question d'échelle si un SIG partagé devient tellement important par le 
 nombre d'infos qui y sont enregistrées collectivement qu'il suscite ensuite 
 des convoitises dangereuses ou tentatives de corruption des données.
 
 Le vrai problème est en fait moins technique (la sécurité ça se résoud y 
 compris par la responsabilisation des agents et les règlementations), que 
 celui de la formation des agents aux évolutions de ces systèmes. C'est là que 
 les coûts peuvent exploser, à moins que les collectivités mettent en place 
 des délégations de service public et s'en remettent alors totalement à 
 quelqu'un d'autre pour leurs besoins (avec la crainte d'une dépendance 
 opérationnelle, mais aussi de non maîtrise des coûts ultérieurs s'ils 
 augmentent, et la difficulté alors de rapatrier les données pour les gérer 
 d'une autre façon).
 
 Mais là aussi une asso comme l'AMF peut exercer son contrôle pour évaluer 
 raisonnablement les solutions partagées mises en oeuvre (sans pour autant 
 fédérer tout le monde dans le même système afin qu'il garde une taille 
 raisonnable sans exploser et limiter l'exposition aux risques) et étudier les 
 coûts (en faisant appel aussi au contrôle par la Cours des comptes qui a 
 l'expertise dans ce domaine et la compétence nécessaire pour les fouiller en 
 détail). Elle peut émettre des recommandations sur les meilleures pratiques 
 et les évolutions nécessaires.

Difficile de répondre  à une suite de propositions qui n'ont strictement aucun 
sens dans le contexte de l'administration territoriale.
Des prestations SIG externalisées? Avec appels d'offres tous les 3 ans et 
obligation pour les
fonctionnaires communaux de réapprendre une nouvelle interface?
Même aux USA, paradis des missions publiques privatisées, cela doit être rare.
Une association n'aurait aucune légitimité dans le domaine, seule une entente 
réglementaire entre collectivités pourrait être envisagée ou des conventions 
multi-latérales comme à Brest.

Christian R., ancien utilisateur lambda d'un SIG public
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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-12 Par sujet Philippe Verdy
LA légitimité concerne l'utilisation quotidienne des données effectives.
L'asso est tout à fait habilitée à faire des recommandations et des études,
qui n'ont aucun impact réglementaire ou légal pour autant qui sont
inattaquables.

Les collectivités sont ensuite responsables de leurs décisions de suivre ou
pas ces recommandations. Pourtant bien des réglementations sont issues de
réflexions préalables passant par des associations et des recommandations.
Elles deviennent pertinente une fois que leurs membres commencent à les
adopter (mais la recommandation ou l'asso qui l'a promue reste
inattaquables elles-mêmes, seule les décisions de ceux qui les appliquent
pouvant être l'objet de contentieux légaux).

De quoi parle-t-on dans ce sujet ? De la difficulté des colectivités de
s'adapter. Si on commence à parler de la possibilité qui leur est donné de
déléguer leurs SIGs à d'autres entités (fussent-elles d'autres
collectivités), on comence à parler de collaboration avant.

L'AMF est tout à faire appropriée comme lieu d'échange et de discussions
pour formuler des propositions et recommandations qui seront *ensuite*
suivies d'effet par les délégations de service public faites soit entre les
collectivités elles-mêmes (pas de marché public en tant que tel), soit avec
des prestataires externes via des marchés publics. Mais ce sera *leur*
décision, pas celle de l'AMF.



Le 12 avril 2013 17:23, Christian Rogel
christian.ro...@club-internet.fra écrit :

 Le 12 avr. 2013 à 15:58, Philippe Verdy verd...@wanadoo.fr a écrit :

  Même sans faire appel au mille-feuille administratif, il y a d'autres
 moyens de coopérations entre communes et autres collectivités pour
 certaines missions. Les associations ça existe, la France n'en manque pas !
 
  Déjà il y a l'Association des maires de France (AMF) et je ne vois pas
 pourquoi les petites collectivités qui manquent de moyens ne pourraient pas
 utiliser une solution pérenne gérée par une telle association, avec des
 moyens partagés, et des relais dans toutes les régions.
 
  Evidemment se pose la question de la sécurité des SIG,et de la
 responsabilité des intervenants qui modifient les bases, ou les consultent,
 mais ce n'est pas spécifique au cadre de la collaboration et le même
 problème existe déjà au sein même de chaque collectivité devant gérer un
 SIG, la différence étant une question d'échelle si un SIG partagé devient
 tellement important par le nombre d'infos qui y sont enregistrées
 collectivement qu'il suscite ensuite des convoitises dangereuses ou
 tentatives de corruption des données.
 
  Le vrai problème est en fait moins technique (la sécurité ça se résoud y
 compris par la responsabilisation des agents et les règlementations), que
 celui de la formation des agents aux évolutions de ces systèmes. C'est là
 que les coûts peuvent exploser, à moins que les collectivités mettent en
 place des délégations de service public et s'en remettent alors totalement
 à quelqu'un d'autre pour leurs besoins (avec la crainte d'une dépendance
 opérationnelle, mais aussi de non maîtrise des coûts ultérieurs s'ils
 augmentent, et la difficulté alors de rapatrier les données pour les gérer
 d'une autre façon).
 
  Mais là aussi une asso comme l'AMF peut exercer son contrôle pour
 évaluer raisonnablement les solutions partagées mises en oeuvre (sans pour
 autant fédérer tout le monde dans le même système afin qu'il garde une
 taille raisonnable sans exploser et limiter l'exposition aux risques) et
 étudier les coûts (en faisant appel aussi au contrôle par la Cours des
 comptes qui a l'expertise dans ce domaine et la compétence nécessaire pour
 les fouiller en détail). Elle peut émettre des recommandations sur les
 meilleures pratiques et les évolutions nécessaires.

 Difficile de répondre  à une suite de propositions qui n'ont strictement
 aucun sens dans le contexte de l'administration territoriale.
 Des prestations SIG externalisées? Avec appels d'offres tous les 3 ans et
 obligation pour les
 fonctionnaires communaux de réapprendre une nouvelle interface?
 Même aux USA, paradis des missions publiques privatisées, cela doit être
 rare.
 Une association n'aurait aucune légitimité dans le domaine, seule une
 entente réglementaire entre collectivités pourrait être envisagée ou des
 conventions multi-latérales comme à Brest.

 Christian R., ancien utilisateur lambda d'un SIG public
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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-11 Par sujet Pieren
2013/4/5 Christian Rogel christian.ro...@club-internet.fr

 J'ignore ce que Pieren désigne par contributeur lambda. Cela s'oppose à
 contributeur non-lambda.


Je vais essayer d'en donner une définition : c'est une personne de 7 à 77
ans qui veut juste ajouter une rue, une piste cyclable, un nom, une maison
ou un POI mais qui ne sait pas ce que veut dire SIG, qui ne sait pas ce
qu'est un code INSEE de la commune (qui est, en plus, différent du code
postal), qui ne connait pas la différence entre canton et arrondissement
départemental. Bref, ceux qui ne participent pas ou peu aux discussions sur
cette liste, contrairement au contributeur non-lambda, qui par la force des
choses ou par son métier, connait tout ce vocabulaire et les arcanes de
l'administration et qui sont à peu près les seuls à être capables
d'appréhender l'ensemble des données présentes dans OSM.

Pieren
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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-11 Par sujet Pieren
2013/4/7 Tony Emery tony.em...@yahoo.fr


 Une autorité de l'Etat qui se chargerait de chapeauter les compétences de
 collectivités territoriales autonomes ?!? Oula, tu veux la révolution ???

Penchez-vous sur le sujet de la décentralisation en France et vous
 comprendrez que vous avez tout faut, là...


Bah, je pensais au cadastre en disant ça. Ca à l'air de fonctionner à peu
près correctement avec une administration centrale qui collabore avec les
communes et collectivités locales (ça irait encore mieux avec plus de
moyens). Mais la composante adresse n'est pas son principal souci (elles
sont souvent erronées, imprécises et anonymes). Il suffirait d'en faire une
obligation comme pour le parcellaire et en utilisant le même modèle de
coopération pour l'actualiser. Cela ne changerait rien à l'autonomie locale
mais rien n'empêche de fixer certaines normes pour pouvoir construire des
bases de données à l'échelle du pays.
Bien sûr, on peut préférer l'absence de standardisation, le chaos où chacun
fait comme il veut dans son coin et l'absence totale de mise en commun des
ressources et des données. On peut comprendre que cela fasse les affaires
de quelque-uns mais cela se fait au détriment de l'intérêt général.

Pieren
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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-11 Par sujet Philippe Verdy
Le 11 avril 2013 11:14, Pieren pier...@gmail.com a écrit :

 Mais la composante adresse n'est pas son principal souci (elles sont
 souvent erronées, imprécises et anonymes). Il suffirait d'en faire une
 obligation comme pour le parcellaire et en utilisant le même modèle de
 coopération pour l'actualiser.

Pour cela il aurait fallu que la filiale de La Poste gérant et exploitant
le fichier des adresses soit transférée sous l'autorité de l'ARCEP, afin de
permettre dans ce domaine là aussi une juste concurrence.

Je ne comprend pas que l'ARCEP soit compétente pour gérer par exemple le
plan de numérotation téléphonique national, mais pas les codes postaux, ni
adresses pourtant issues du travail des collectivités territoriales
publiques, alors qu'elle est sensée réguler la concurrence dans le domaine
postal. La Poste devenant une société privée, n'aurait pas du conserver cet
avantage issu de l'ancien monopole de service public.

Je me demande pourquoi les autres concurrents de La Poste n'ont pas fait
d'action judiciaire pour avoir un accès égal à celui de La Poste concernant
les adresses et codes postaux, puisque La Poste a maintenant un avantage
concurrentiel dans ce domaine, les autres devant collecter eux-mêmes ces
fichiers depuis leurs clients, ou acheter des licences à la filiale de La
Poste pour les fichiers MediaPost !
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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-11 Par sujet Tony Emery
Pieren wrote
 Bah, je pensais au cadastre en disant ça. Ça à l'air de fonctionner à peu
 près correctement avec une administration centrale qui collabore avec les
 communes et collectivités locales (ça irait encore mieux avec plus de
 moyens). Mais la composante adresse n'est pas son principal souci (elles
 sont souvent erronées, imprécises et anonymes). Il suffirait d'en faire
 une obligation comme pour le parcellaire et en utilisant le même modèle de
 coopération pour l'actualiser. Cela ne changerait rien à l'autonomie
 locale mais rien n'empêche de fixer certaines normes pour pouvoir
 construire des bases de données à l'échelle du pays.
 Bien sûr, on peut préférer l'absence de standardisation, le chaos où
 chacun fait comme il veut dans son coin et l'absence totale de mise en
 commun des ressources et des données. On peut comprendre que cela fasse
 les affaires de quelque-uns mais cela se fait au détriment de l'intérêt
 général.

Alors, je vais essayer de vous expliquer comment ça marche.
1- La DGFiP fait partie de la fonction publique d'état et les communes de la
fonction publique territoriale, c'est comme si vous vouliez comparer Auchan
avec le boulanger du coin.
2- La DGFiP ne dispose pas du filaire de voirie mais seulement d'une couche
de données représentant les étiquettes du nom des voies.
3- La création, modification, suppression d'une voie ou de son nom est de la
compétence de la commune (en gros) est se fait par délibération.
4- Cette délibération est ensuite transmise à la DGFiP (avec un plan papier)
qui numérise tout ça et attribut un numéro de Rivoli.
5- La commune reçoit en retour chaque année une mise à jour des données
cadastrales comprenant, entre autres, une table avec le nom des voies et le
code rivoli (en gros aussi).
6- il peut se passer plusieurs mois voir années entre le point 4- et le
point 6-.
7- l'unité principale de la DGFiP n'est pas la voie mais la parcelle...

Une fois que j'ai dit ça, que peut-on en tirer ?
1- Que la source première de données est et restera toujours la commune (en
gros toujours) ;
2- Qu'il faut s'appuyer sur elles si l'on veut constituer une base crédible
et maintenue dans le temps ;
3- Que, étant données les différences de moyens des collectivités, seule un
petite minorité d'entre elles sont capables de faire ce travail
4- Que pour compenser l'inégalité des moyens, il faudrait que les
intercommunalités prennent le relais mais
5- Que certaines d'entre elles, notamment en milieu rural, n'ont pas plus
les moyens de le faire
6- Que les collectivités locales ne peuvent pas imposer quoi que ce soit aux
autres (principe constitutionnel d’interdiction de la tutelle d’une
collectivité territoriale sur une autre)

Et alors, que peut-on faire ?
1- Sensibiliser les collectivités à la démarche et faire en sorte que celles
qui en ont les moyens réfléchissent soit à modèle de données commun, soit à
un système permettant de passer de l'un à l'autre.
2- D'aider les autres communes à créer de la données selon le(s) modèle(s)
commun et à maintenir une mise à jour

Je crois qu'OpenStreetMap et sa communauté peut y jouer un rôle...




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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-11 Par sujet Christian Quest
Le 11 avril 2013 17:43, Tony Emery tony.em...@yahoo.fr a écrit :

 Alors, je vais essayer de vous expliquer comment ça marche.
 1- La DGFiP fait partie de la fonction publique d'état et les communes de
 la
 fonction publique territoriale, c'est comme si vous vouliez comparer Auchan
 avec le boulanger du coin.
 2- La DGFiP ne dispose pas du filaire de voirie mais seulement d'une couche
 de données représentant les étiquettes du nom des voies.


Ca dépend... les fichiers EDIGEO fournis à la DGFiP peuvent contenir le
filaire de voirie en plus des étiquettes.



 3- La création, modification, suppression d'une voie ou de son nom est de
 la
 compétence de la commune (en gros) est se fait par délibération.
 4- Cette délibération est ensuite transmise à la DGFiP (avec un plan
 papier)
 qui numérise tout ça et attribut un numéro de Rivoli.


Rivoli est devenu FANTOIR ou bien c'est différent ?



 5- La commune reçoit en retour chaque année une mise à jour des données
 cadastrales comprenant, entre autres, une table avec le nom des voies et le
 code rivoli (en gros aussi).
 6- il peut se passer plusieurs mois voir années entre le point 4- et le
 point 6-.
 7- l'unité principale de la DGFiP n'est pas la voie mais la parcelle...

 Une fois que j'ai dit ça, que peut-on en tirer ?
 1- Que la source première de données est et restera toujours la commune (en
 gros toujours) ;
 2- Qu'il faut s'appuyer sur elles si l'on veut constituer une base crédible
 et maintenue dans le temps ;
 3- Que, étant données les différences de moyens des collectivités, seule un
 petite minorité d'entre elles sont capables de faire ce travail
 4- Que pour compenser l'inégalité des moyens, il faudrait que les
 intercommunalités prennent le relais mais
 5- Que certaines d'entre elles, notamment en milieu rural, n'ont pas plus
 les moyens de le faire
 6- Que les collectivités locales ne peuvent pas imposer quoi que ce soit
 aux
 autres (principe constitutionnel d’interdiction de la tutelle d’une
 collectivité territoriale sur une autre)

 Et alors, que peut-on faire ?
 1- Sensibiliser les collectivités à la démarche et faire en sorte que
 celles
 qui en ont les moyens réfléchissent soit à modèle de données commun, soit à
 un système permettant de passer de l'un à l'autre.
 2- D'aider les autres communes à créer de la données selon le(s) modèle(s)
 commun et à maintenir une mise à jour

 Je crois qu'OpenStreetMap et sa communauté peut y jouer un rôle...



Tu as une idée de comment OSM pourrait jouer un rôle ou bien c'est plutôt
un vœu ?


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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-11 Par sujet Pieren
2013/4/11 Christian Quest cqu...@openstreetmap.fr

 2- La DGFiP ne dispose pas du filaire de voirie mais seulement d'une couche
 de données représentant les étiquettes du nom des voies.


 Ca dépend... les fichiers EDIGEO fournis à la DGFiP peuvent contenir le
 filaire de voirie en plus des étiquettes.


Oui, c'est un peu ça l'idée. Mais ça ne devrait pas forcément aller dans la
même bdd que le parcellaire...
Tout ce qui est dit sur les délais trop longs peut changer dès lors qu'une
responsabilité est assignée et les moyens qui vont avec (c'est bien là où
ça coince).
L'inégalité des moyens entre communes existe aussi pour gérer le
parcellaire et ce sont les collectivités aux échellons supérieurs qui
prennent le relai (on voit comment ça se passe pour la numérisation).

Pieren
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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-11 Par sujet Tony Emery
cquest wrote
 Ca dépend... les fichiers EDIGEO fournis à la DGFiP peuvent contenir le
 filaire de voirie en plus des étiquettes.

Ça fait 6 ans que je traite les données de la DGFiP et je n'ai jamais vu le
filaire de voie


cquest wrote
 Rivoli est devenu FANTOIR ou bien c'est différent ?

Oui, le fichier RIVOLI (répertoire informatisé des voies et lieux-dits) est
devenu le FANTOIR (Fichier ANnuaire TOpographique Initialisé Réduit)


cquest wrote
 Tu as une idée de comment OSM pourrait jouer un rôle ou bien c'est plutôt
 un vœu ?

J'ai quelques pistes... et c'est vraiment un projet qui me botte !



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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-11 Par sujet Tony Emery
Pieren wrote
 Tout ce qui est dit sur les délais trop longs peut changer dès lors qu'une
 responsabilité est assignée et les moyens qui vont avec (c'est bien là où
 ça coince).

Sauf que l'Etat n'a déjà plus les moyens d'assumer ses propres missions


Pieren wrote
 L'inégalité des moyens entre communes existe aussi pour gérer le
 parcellaire et ce sont les collectivités aux échellons supérieurs qui
 prennent le relai (on voit comment ça se passe pour la numérisation).

Déjà, la numérisation du parcellaire a pris presque 10 ans (et je dirais
même plus), aucune des bases (IGN ou DGFiP) n'est précise et les communes ne
gèrent pas les parcelles...



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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-11 Par sujet Philippe Verdy
Le 11 avril 2013 19:45, Tony Emery tony.em...@yahoo.fr a écrit :

 Oui, le fichier RIVOLI (répertoire informatisé des voies et lieux-dits) est
 devenu le FANTOIR (Fichier ANnuaire TOpographique Initialisé Réduit)


Tu ne voulais pas dire plutôt le Fichier OUblié TOpographique Inutilisé au
Rebut ?

;-)
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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-11 Par sujet Christian Quest
Il reste 8905 communes en raster et sur un an il y en a eu dans les  de
vectorisées.

A ce rythme, il faudra encore 4 ans pour arriver à bout.

Voir:
http://munin.openstreetmap.fr/stats.db/departement/osm_commune_tous.html


Le 11 avril 2013 19:49, Tony Emery tony.em...@yahoo.fr a écrit :

 Pieren wrote
  Tout ce qui est dit sur les délais trop longs peut changer dès lors
 qu'une
  responsabilité est assignée et les moyens qui vont avec (c'est bien là où
  ça coince).

 Sauf que l'Etat n'a déjà plus les moyens d'assumer ses propres missions


 Pieren wrote
  L'inégalité des moyens entre communes existe aussi pour gérer le
  parcellaire et ce sont les collectivités aux échellons supérieurs qui
  prennent le relai (on voit comment ça se passe pour la numérisation).

 Déjà, la numérisation du parcellaire a pris presque 10 ans (et je dirais
 même plus), aucune des bases (IGN ou DGFiP) n'est précise et les communes
 ne
 gèrent pas les parcelles...



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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-11 Par sujet Romain MEHUT
Le 11 avril 2013 19:58, Christian Quest cqu...@openstreetmap.fr a écrit :

 Il reste 8905 communes en raster et sur un an il y en a eu dans les 
 de vectorisées.

 A ce rythme, il faudra encore 4 ans pour arriver à bout.


Et sans compter que le processus de vectorisation n'est pas financé partout
avec en particulier le département de la Meuse (cf. ce message de Pieren
http://lists.openstreetmap.org/pipermail/talk-fr/2012-November/051023.html)

Romain
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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-11 Par sujet Philippe Verdy
Si l'Etat ne peut plus financer ça auprès des collectivités territoriales
rurales, sans doute un accord de coopération avec la région, voire aussi
les autres régions, départements et communes et intercommunalités (via
leurs associations nationales), ou encore les chambres de commerce et
d'industrie, celles d'agriculture, les structures de gestion des parcs
régionaux et domaines forestiers, ou les agences de bassin, ou celles
chargées des coopérations en terme d'aménagement et planification des
transports, pourraient aider à finaliser les budgets nécessaires.

D'autres agences nationales (l'IGN par exemple participe aussi à des
programmes de coopération avec des agences cartographiques étrangères),
l'Union européenne (par des subventions accordées à une association de
gestion de ces coopérations), ou les structures de coopération
transfrontalières européennes existantes (où participent déjà des
collectivités territoriales françaises) pourraient contribuer dans ces
coopérations.

Malgré tout avant de demander des subventions européennes, il faudrait
convaincre que la France ne peut pas financer ça elle-même alors que les
besoins sont beaucoup plus criants dans bien d'autres pays européens
beaucoup moins bien lotis financièrement pour mener ds projets similaires
(Chypre, Malte, Grèce, Portugal) alors que la France devrait aussi pouvoir
les aider ne serait-ce que par des moyens techniques et équipements.

Dans une structure de coopération, les modes d'action sont plus ouverts que
les seules administrations publiques. Mais il se pose alors le problème de
la certification des données et de l'expertise des coopérants, ce qui
demande une supervision dans le cas des données à caractère légal comme le
cadastre et la collecte fiscale, et non seulement estimatives pour de
nombreuses statistiques, ou les zones à risque, les PLU et les schémas de
transports engageant les collectivités), et celui de la confidentialité de
certaines informations privées qui ne doivent pas figurer dans ces données,
ainsi que dans les moyens de recours et d'accès aux données privatives en
cas d'erreurs.

Peut-être que le niveau de précision demandé pour la numérisation est trop
élevé dès le départ, alors que les bases numérisées pourrait s'améliorer
bien plus tard de façon plus progressive et moins douloureuse
financièrement : un relèvement des marges d'erreurs acceptables pourraient
accélérer les choses. C'est ce qui a été fait en Espagne par exemple, même
si de nombreux plans cadastraux ne sont pas encore numérisés non plus (ni
même simplement scannés, il y a de nombreuses zones blanches), avec une
vectorisation partielle seulement de certaines frontières, souvent sans
conflation complète des différents plans (d'ailleurs ces ajustements n'ont
pas plus été faits en France pour raccorder correctement les communes,
voire des planches cadastrales de la même commune, et là dessus l'IGN
aurait du développer des solutions techniques permettant de corriger ces
défauts en minimisant les erreurs, tout en gardant les seuils de précision
des planches initiales dont le métrage historique a été fait sur une
ancienne triangulation géodésique et jamais révisé !).



Le 11 avril 2013 22:46, Romain MEHUT romain.me...@gmail.com a écrit :

 Le 11 avril 2013 19:58, Christian Quest cqu...@openstreetmap.fr a écrit
 :

 Il reste 8905 communes en raster et sur un an il y en a eu dans les 
 de vectorisées.

 A ce rythme, il faudra encore 4 ans pour arriver à bout.


 Et sans compter que le processus de vectorisation n'est pas financé
 partout avec en particulier le département de la Meuse (cf. ce message de
 Pieren
 http://lists.openstreetmap.org/pipermail/talk-fr/2012-November/051023.html
 )

 Romain

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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-10 Par sujet Guillaume Allegre
Le sam. 06 avril 2013 à 15:46 -0700, Tony Emery a écrit :

 Je suis d'accord sur ce point. Mais je tiens, en tant que cartographe et
 géographe de formation à vous rappeler une chose : quel sens donne-t-on à la
 carte ? à quoi doit-elle servir ?
 S'il s'agit juste de cartographier le réel juste pour avoir des objets dans
 la base de données, ça sert à rien.
 Si on veut que cela soit utiliser, ça veut dire qu'il faut créer de la
 donnée pour l'usage et l'usager.

OK, on sera tous d'accord là dessus, mais je ne vois pas quelle conséquence
tu en tires sur le fait que les données opendata importées seront, oui ou 
non, fusionnées
avec les données standard OSM.

Comme c'est un sujet particulièrement important, que je ne veux pas voir poussé 
sous le tapis,
je vais essayer de rédiger une synthèse de toute la discussion, avec les points
consensuels et les points de désaccord.

A bientôt donc...



-- 
 ° /\Guillaume AllègreOpenStreetMap France
  /~~\/\   allegre.guilla...@free.fr  Cartographie libre et collaborative
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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-06 Par sujet Tony Emery
Pieren wrote
 Quand je parle de simple, c'est par rapport à la simplification
 administrative qui ferait qu'une seule autorité serait chargée de
 maintenir une base unique. Elle pourrait bien-sûr être abondée par les
 créateurs d'adresses (les communes) mais aussi pouvoir être corrigée et
 améliorée par les institutions utilisatrices (INSEE, DGFiP, police, la
 poste, etc). Seule la partie anonymisée serait publique et réutilisable.
 La partie nominative serait plus facilement entretenue si elle était
 couplée à une obligation légale de déclaration dominiliaire (se déclarer
 en mairie lors de l'installation) comme pratiquement partout ailleurs en
 Europe.

Une autorité de l'Etat qui se chargerait de chapeauter les compétences de
collectivités territoriales autonomes ?!? Oula, tu veux la révolution ???
Penchez-vous sur le sujet de la décentralisation en France et vous
comprendrez que vous avez tout faut, là...

Je pense qu'il faut aborder le problème d'une autre manière. Si on prend le
cas de la numérisation des documents d'urbanisme, les recommandations ont
été proposées (et non imposées) par le Centre National de l'Information
Géographique (CNIG). A charge, pour les communes, d'appliquer ces
recommandations.

Il faudra sûrement en passer par là dans notre cas et proposer une
normalisation suffisamment exhaustive et applicable pour s'imposer d'elle
même aux collectivités...



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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-06 Par sujet Tony Emery
Christian Rogel wrote
 Tony faisait le distinguo entre collectivité publique autonome et
 administration de l'Etat.
 C'est sur l'anarchie admistrative français qu'il met le doigt.

En fait, je ne parle pas d'anarchie, je suggère seulement de comprendre que
le service publique n'est pas une nébuleuse unique ou tous les services sont
rattachés.

Il faut bien distinguer la fonction publique d'Etat (les ministère, les
préfectures, les impôts, l'INSEE, l'IGN, ...) et la fonction publique
territoriale (les communes, les départements et les régions). Je rentre pas
dans les détails car c'est plus complexe encore.

Et, en gros, la fonction publique d'Etat ne peut rien imposer à la fonction
publique territoriale.

Voilà comment ça marche.




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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-06 Par sujet Tony Emery
Guillaume Allegre wrote
 OSM ne doit pas devenir un dépôt où les institutions accepteraient de
 verser leurs données à condition que personne n'y touche. 
 
 OSM c'est du crowdsourcing avant tout ; l'open data est un complèment, 
 bienvenu mais pas essentiel.
 Il faut qu'on travaille au maximum pour intégrer l'open data dans OSM,
 mais si
 on tombe sur un conflit entre les deux, OSM laissera tomber l'open data et 
 privilégiera toujours le crowdsourcing.
 
 Ce point est très important pour les discussions avec les collectivités,
 et 
 il est non négociable, comme la licence.
 En un mot : aucune donnée ne doit être verrouillée dans OSM.

Je suis d'accord sur ce point. Mais je tiens, en tant que cartographe et
géographe de formation à vous rappeler une chose : quel sens donne-t-on à la
carte ? à quoi doit-elle servir ?
S'il s'agit juste de cartographier le réel juste pour avoir des objets dans
la base de données, ça sert à rien.
Si on veut que cela soit utiliser, ça veut dire qu'il faut créer de la
donnée pour l'usage et l'usager.

Concernant la remarque de Guillaume sur:

Guillaume Allegre wrote
 Donc, exit le ref:source=, et je ne vois pas d'autre solution que 
 le ref:FR:
 idbase
 =
 id

Je suis d'accord pour un ref:FR:idbase=id, et même, je dirais, un
ref:FR:Communal=id ou un ref:FR:niveau_administratif=id pour gérer les
référentiels de plusieurs échelles administratives.



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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-06 Par sujet Philippe Verdy
On partage le même point de vue, sauf que les références provenant
d'entités administratives multiples mais de même niveau (plusieurs communes
ou plusieurs départements) risquent d'arriver (sans pour autant que leurs
identifiants de bases de données soient compatibles entre eux.

Là dessus OSM peut **aussi** devenir prescripteur d'identifiants stables
permettant d'aider les collectivités à trouver des identifiants pour bases
de données compatibles entre elles, si les organismes nationaux fournissant
des nomenclatures (l'Insee par exemple, ou des organismes européens, ou
l'ISO dans une norme internationale) ne traitent pas certains sujets.

De nombreux pays par exempel n'ont pas de nomenclature stabilisée et
utilisent des logiciels et bases de données fournies par d'autres pays ou
par des sociétés privées ou organisations non commerciales (je pense à des
tas de PVD en Afrique, Asie centrale, et archipels du Pacifique ou des
Caraïbes), tout bonnement car ils n'ont pas les moyens de développer et
maintenir ces logiciels et bases de données eux-mêmes. Hors ces pays, s'ils
font appel à des sociétés privées (ou même de la part de fondations
caritatives internationales), risquent de se retrouver dans l'incapacité de
publier leurs données à cause de problèmes de licences de la part de ces
tiers.

OSM peut alors fournir une aide en proposant sa codification qui ne sera
pas meilleure, ni pire, que les autres codifications incompatibles entre
elles proposées par des tiers sous des licences restrictives et empêchant
les croisements de fichiers qui leurs sont pourtant fournis.



Le 7 avril 2013 00:46, Tony Emery tony.em...@yahoo.fr a écrit :

 Guillaume Allegre wrote
  OSM ne doit pas devenir un dépôt où les institutions accepteraient de
  verser leurs données à condition que personne n'y touche.
 
  OSM c'est du crowdsourcing avant tout ; l'open data est un complèment,
  bienvenu mais pas essentiel.
  Il faut qu'on travaille au maximum pour intégrer l'open data dans OSM,
  mais si
  on tombe sur un conflit entre les deux, OSM laissera tomber l'open data
 et
  privilégiera toujours le crowdsourcing.
 
  Ce point est très important pour les discussions avec les collectivités,
  et
  il est non négociable, comme la licence.
  En un mot : aucune donnée ne doit être verrouillée dans OSM.

 Je suis d'accord sur ce point. Mais je tiens, en tant que cartographe et
 géographe de formation à vous rappeler une chose : quel sens donne-t-on à
 la
 carte ? à quoi doit-elle servir ?
 S'il s'agit juste de cartographier le réel juste pour avoir des objets dans
 la base de données, ça sert à rien.
 Si on veut que cela soit utiliser, ça veut dire qu'il faut créer de la
 donnée pour l'usage et l'usager.

 Concernant la remarque de Guillaume sur:

 Guillaume Allegre wrote
  Donc, exit le ref:source=, et je ne vois pas d'autre solution que
  le ref:FR:
  idbase
  =
  id

 Je suis d'accord pour un ref:FR:idbase=id, et même, je dirais, un
 ref:FR:Communal=id ou un ref:FR:niveau_administratif=id pour gérer
 les
 référentiels de plusieurs échelles administratives.



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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-05 Par sujet Tony Emery
Désolé pour le retard de ma réponse. Je vais essayer de vous donner quelques
éléments de réflexion. Après, je suis ouvert à toutes propositions.


Guillaume Allegre wrote
 1) la boundary est une frontière de canton, qui coïncide avec un bout de
 la frontière communale
 (Orange / Caderousse)
 http://www.openstreetmap.org/?way=171243851 mais qui n'est pas confondue
 (points distincts)
 Selon moi, elle devrait être confondue, en tant que limite communale ET
 limite de canton.

J'ai demandé à Christian, dans le cadre d'une expérimentation pour
l'intégration des bureaux de vote et de la carte électorale, d'importer les
données issues de notre SIG. Il s'agit du découpage officiel et utilisé par
les services pour leurs missions quotidiennes.

On peut comparer ce travail au découpage des zones du document d'urbanisme
(PLU), des Servitudes d'Utilité Publique ou des parcelles de la DGFiP (je
dis bien de la DGFiP). Par conséquent, ces traçés, même si leur précision
n'est pas bonne, est règlementée. Pour info, dans un document d'urbanisme
approuvé, si le dessin d'une zone à été mal fait, qu'il coupe une parcelle
alors qu'il ne le devrait pas, c'est quand même ce découpage qui est
appliqué. Je pense donc, même si ce n'est pas juste, qu'il faut le laisser
tel quel si l'on veut que les collectivités s'investissent dans OSM. Elles
ne le feront pas si les limites officielles ne correspondent pas, à cette
échelle, à ce qu'elles trouvent dans OSM.


Guillaume Allegre wrote
 2) le way polling_station a une résolution bien plus élevée (1 point par
 mètre dans les courbes),
 suivant les _anciens_ méandres de la Meyne, qui restent la limite
 communale comme ici :
 http://www.openstreetmap.org/?lat=44.08722lon=4.7789zoom=17layers=M
 A mon avis, c'est de la sur-résolution inutile,  mais ça se discute.
 Cela n'enlève rien au point 1 : il faut choisir quelle limite on prend
 (171243851 ou 197278529),
 voire un intermédiaire en simplifiant la limite polling_station, mais il
 faut quand même à terme
 fusionner les deux.

Même réponse qu'au-dessus



Guillaume Allegre wrote
 3) La relation 2649371 a des attributs bizarres : 
 - pas de nom 
 - un CANTON=Ouest pas documenté
 - un ref=22 pas documenté non plus

Effectivement, peut-être que le ref peut devenir le name


Guillaume Allegre wrote
 4) la route http://www.openstreetmap.org/browse/way/195747326 a les
 attributs :
 highway = road
 addr:postcode = |84100
 ref:orange = 84087V99
 En dehors de la typo sur le code postal avec le |, est-ce logique de
 mettre un code postal
 sur une voie ? le wiki ne donne qu'un noeud ou une surface, et j'aurais
 tendance à le suivre
 sur ce point.

J'ai pris le parti d'ajouter addr:postcode = 84100 sur les voies qui se
trouvent dans la commune, en attendant d'avoir un outil qui me permette de
sélectionner tous les objets présents à l'intérieur d'une frontière
administrative. Le fait qu'elles aient |84100 veut dire qu'elles se trouvent
en partie sur le territoire (pas forcément gauche et droite) et que je dois
faire attention quand je les intègre.


Guillaume Allegre wrote
 Ensuite : ref:orange : là, je pense qu'on a un problème à régler. orange
 n'est pas suffisamment
 distinctif. Si toutes les communes du monde se mettent à utiliser le même
 schéma, on va multiplier
 les conflits. Comment régler ça ? 

L'objectif est de pouvoir faire un lien systématique entre la voie dans OSM
et celles dans la base communale. J'ai mis, à l'époque, ref:orange parce
qu'il n'y avait rien de similaire et qu'il s'agit d'une réflexion que l'on
mène sur plusieurs communes du Vaucluse. S'il faut changer de clé, cela ne
me pose pas de problème mais il faut savoir que cela concernera d'abord les
communes et non l'INSEE. On m'avait suggéré ref:84087, mais je trouvais cela
redondant car dans mon identifiant,il y a déjà le code INSEE. De plus, c'est
quelque chose qui peut se diffuser sur d'autres communes et nous aurions des
tags ref:84087, ref:75001, ref:13205, etc... Il faudrait plutôt un tag du
type ref:FR:commune= ou dans le genre.


Guillaume Allegre wrote
 Je ne remets pas en cause l'utilisation d'OSM comme support de données
 métiers issues 
 de SIG territoriaux, bien au contraire. 
 Mais si, comme je le suppose, Orange tend à devenir une zone d'exemple et
 de démonstration 
 pour cette convergence, il serait préférable que le schéma suivi soit
 aussi 
 irréprochable que possible quant à l'intégration dans les conventions
 standard OSM.
 Alors, je pense qu'il faut sérieusement se pencher sur :
 - le schéma d'attributs et de références qui conviendrait à tout le monde
 - les conventions de fusion ou juxtaposition de données, et les précisions
 géométriques 
   minimales/maximales acceptables.

Je suis d'accord et je veux bien y participer



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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-05 Par sujet Tony Emery
kimaidou wrote
 Bonjour,
 
 Sur l'idée de la base tierce, en effet je me suis un peu emballé. Je
 pensais à une application libre que chacun pourrait installer chez soi
 pour
 gérer les liens entre OSM et ses données métiers, si elles sont privées.
 Par contre, l'idée d'une base commune ferait encore sens pour les bases de
 données métiers libres (par exemple celles en ODBL libérées via
 l'opendata).
 
 Je ne pensais pas forcément à une super api qui gère les flux. Pourquoi
 pas
 à l'avenir. Mais dans un premier temps, une simple table qui stocke les
 liens entre objets osm et objets métiers suffit. On peut ensuite utiliser
 les outils comme osmWatch ou autre (à développer...) pour écouter les
 diffs, vérifier s'ils concernent des liens, puis lancer les actions (rss
 pour laisser manuellement, suppression automatique du lien, etc.). A noter
 qu'il n'est pas obligé d'avoir une vraie base de données métiers. Ce
 sytème fonctionnerait aussi bien sûr avec des fichiers de type CSV,
 tableau, etc. Tant que des objets métiers ont un identifiant, on peut
 créer un lien.
 
 Au sujet de la base tierce qui doit connaître les objets osm et les
 stocker chez elle, c'est vrai qu'il faut à un moment pouvoir lire les
 liens, par exemple pour comparer la donnée. Mais je ne vois pas de souci
 technique ici. On peut imaginer des outils
 * qui aident à créer les liens
 * qui aident à créer des données fusionnées via les liens (par exemple
 prend moi la géométrie OSM et colle y les colonnes A, B et C de ma table
 métier
 * qui alertent les personnes lorsqu'une donnée a été supprimée ou modifiée
 d'un côté ou de l'autre
 * qui montre les liens avec un système sympa de double panneau, etc.

En fait, je dois quand même vous alerter sur un points : les collectivité
sont de plus en plus consciente de l'intérêt de gérer en interne une base
exhaustive de leur voirie. Or, cela sous-entend de pouvoir identifier chaque
voie de manière unique dès la création de cette voie, d'où, l'identifiant.
Qu'avons nous comme identifiant voirie :
- Rivoli : c'est un code créé et géré par la DGFiP
- l'ID de la BDAdresse : idem pour l'IGN

Il faut donc créer un identifiant interne dans la commune car la commune est
la source de cette information.

Or, certaines communes ont déjà travaillé sur ce type de référentiel en
interne, parfois même cartographié leur réseau. On ne peut pas leur demander
de refaire le travail, d'où ma question :

= OSM est-il capable de supporter un identifiant unique pour la voirie
provenant directement des communes sans en avoir forcément la même structure
(nous, on a pris CODE_INSEETYPENUMERO) ?

Je pense que oui et que cela permettrait de faciliter les connexions entre
les données de différentes bases (vous savez que je suis fan des
passerelles entre bases de données).




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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-05 Par sujet Christian Quest
Il me semble qu'un numéro de référence unique de la voirie doit
effectivement se baser sur le code rivoli/fantoir et le code insee de
la commune.

Comme toujours, il faut regarder les cas particuliers... par exemple
comment gérer une rue qui est la limite entre deux communes ?

Ce simple cas particulier me laisse penser qu'il faudrait une
référence combinée INSEE+FANTOIR et ça sera plus léger que d'avoir 2
tags.

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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-05 Par sujet Tony Emery
cquest wrote
 Il me semble qu'un numéro de référence unique de la voirie doit
 effectivement se baser sur le code rivoli/fantoir et le code insee de
 la commune.
 
 Comme toujours, il faut regarder les cas particuliers... par exemple
 comment gérer une rue qui est la limite entre deux communes ?
 
 Ce simple cas particulier me laisse penser qu'il faudrait une
 référence combinée INSEE+FANTOIR et ça sera plus léger que d'avoir 2
 tags.

Les collectivités ne pourront pas utiliser les codes fantoir de la DGFiP :
- parce qu'ils sont créés par la DGFiP a posteriori, après que la commune
ait transmis la délibération aux impôts, que ces derniers aient intégré ces
infos dans leur base et que ces données aient été renvoyées aux communes. Il
peut se passer plusieurs mois, voire plus.
- il y a des doublons dans les fantoir, et des codes fantoir qui pointent
sur des voies qui n'existent plus.

Si les communes qui se sont penché sur le problème ont décidé de créer leur
propre identifiant unique, c'est que c'était la seule solution.
L'inconvénient étant que la très grande majorité des communes n'ont pas
encore fait ce travail.



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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-05 Par sujet Pieren
2013/4/5 Tony Emery tony.em...@yahoo.fr

 Qu'avons nous comme identifiant voirie :
 - Rivoli : c'est un code créé et géré par la DGFiP
 - l'ID de la BDAdresse : idem pour l'IGN
 Il faut donc créer un identifiant interne dans la commune car la commune
 est
 la source de cette information.


Donc chaque rue a trois identifiants uniques.

Qui a parlé de simplification administrative ?

Pieren
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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-05 Par sujet Pieren
2013/4/5 Tony Emery tony.em...@yahoo.fr

 Par conséquent, ces traçés, même si leur précision
 n'est pas bonne, est règlementée. Pour info, dans un document d'urbanisme
 approuvé, si le dessin d'une zone à été mal fait, qu'il coupe une parcelle
 alors qu'il ne le devrait pas, c'est quand même ce découpage qui est
 appliqué. Je pense donc, même si ce n'est pas juste, qu'il faut le laisser
 tel quel si l'on veut que les collectivités s'investissent dans OSM.


Ce point est capital avec OSM. C'est la violation d'un principe de base du
projet : les données doivent pouvoir être améliorées par les contributeurs,
sinon elles n'ont pas leur place dans la base. Aucune donnée ne doit
pouvoir être bloquée dans OSM sous prétexte d'officialité, encore plus si
elles sont mauvaises.
Je renverrais la lecture d'un fil de discussion de référence sur ce thème
(en anglais) :
http://lists.openstreetmap.org/pipermail/talk/2009-March/034948.html

Pieren
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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-05 Par sujet Tony Emery
Pieren wrote
 2013/4/5 Tony Emery lt;

 tony.emery@

 gt;
 
 Qu'avons nous comme identifiant voirie :
 - Rivoli : c'est un code créé et géré par la DGFiP
 - l'ID de la BDAdresse : idem pour l'IGN
 Il faut donc créer un identifiant interne dans la commune car la commune
 est
 la source de cette information.


 Donc chaque rue a trois identifiants uniques.
 
 Qui a parlé de simplification administrative ?
 
 Pieren

Effectivement, sans parler de l'ID de la BDAdresse que je n'utilise pas,
j'ai :
- le RIVOLI de la DGFIP (en plus, j'ai 44 voies sur les 730 qui n'ont pas de
rivoli)
- l'identifiant interne géré par la mairie
- l'identifiant OSM

Après, on ne peut pas parler de simplification administrative puisqu'il ne
s'agit pas de la même institution.
Je pense que tu dois avoir la même chose à la poste, au niveau des conseil
généraux, ...



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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-05 Par sujet Pieren
2013/4/5 Tony Emery tony.em...@yahoo.fr

 Après, on ne peut pas parler de simplification administrative puisqu'il ne
 s'agit pas de la même institution.


Il y a aussi le serpent de mer de la base adresse unifiée. Parce que pour
l'instant, chaque institution construit la sienne à grands frais (enfin,
surtout aux frais des contribuables et des usagers).
Mon rêve : une base adresse unifiée, publique, réutilisable librement et
avec un code de voie vraiment unique adoptée par toutes les institutions.
Vous avez dit trop simple ?

Pieren
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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-05 Par sujet kimaidou
Pieren,

Je plussoie ! On parle d'opendata, mais cette base unifiée dont tu parles,
en ODBL, avec une api sympa pour y accéder, ce serait l'idéal !


Le 5 avril 2013 11:54, Pieren pier...@gmail.com a écrit :

 2013/4/5 Tony Emery tony.em...@yahoo.fr

 Après, on ne peut pas parler de simplification administrative puisqu'il ne
 s'agit pas de la même institution.


 Il y a aussi le serpent de mer de la base adresse unifiée. Parce que pour
 l'instant, chaque institution construit la sienne à grands frais (enfin,
 surtout aux frais des contribuables et des usagers).
 Mon rêve : une base adresse unifiée, publique, réutilisable librement et
 avec un code de voie vraiment unique adoptée par toutes les institutions.
 Vous avez dit trop simple ?

 Pieren

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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-05 Par sujet Ista Pouss
Le 5 avril 2013 12:27, kimaidou kimai...@gmail.com a écrit :

 Pieren,

 Je plussoie ! On parle d'opendata, mais cette base unifiée dont tu parles,
 en ODBL, avec une api sympa pour y accéder, ce serait l'idéal !


 Le 5 avril 2013 11:54, Pieren pier...@gmail.com a écrit :


 2013/4/5 Tony Emery tony.em...@yahoo.fr

 Après, on ne peut pas parler de simplification administrative puisqu'il
 ne
 s'agit pas de la même institution.


 Il y a aussi le serpent de mer de la base adresse unifiée. Parce que pour
 l'instant, chaque institution construit la sienne à grands frais (enfin,
 surtout aux frais des contribuables et des usagers).
 Mon rêve : une base adresse unifiée, publique, réutilisable librement et
 avec un code de voie vraiment unique adoptée par toutes les institutions.
 Vous avez dit trop simple ?


Je n'y crois pas du tout. Peut être est-ce bon pour l'Administration, mais
il est sûr que c'est mauvais pour la géographie, et il n'est pas clair que
ce soit bon pour la cartographie. Quand à savoir si c'est bon pour
l'humain...

Que l'Administration n'y arrive même pas, alors que ça parait si trop
simple, devrait donner quelques doutes sur l'idée... mais pour les
certitudes il est plus facile d'invoquer la lourdeur administrative,
j'admets.

Quelques éléments de doute ?... comment une adresse est-elle en rapport
avec une voie ? comment se fait la synchronisation personne-adresse-voie ?
et j'en passe.

En informatique, si les identifiants uniques restent un outil majeur, les
identifiants par rapport à un contexte, une identité, et quelques fois à un
ordre, gagnent de plus en plus de terrain, c'est pas pour des prunes. XML
Schéma, par exemple, les définit ainsi, contredisant (reculant, dirais-tu ?
) le système des DTD qui définissait les identifiants de façon absolue.
C'est pas pour se faire plaisir, mais parce que dans un contexte hétérogène
les identifiants uniques ça coince très vite.

(à mais oui c'est vrai que XML c'est looouuud)

OSM, je crois, est trop centré administration française. C'est pour ça
qu'on croit voir sur le terrain tant de objets qui pourraient avoir un
identifiant unique... et que, finalement, on ne sache même pas si une
clairière est un trou ou un objet qui ferait ou non partie de la forêt.

Que la collaboration avec l'administration aide à se valoriser, à
travailler, à faire son mai 68 open data est une chose. Mais qu'on se mette
à donner des leçons à cet administration en est une autre. Et que l'on
comprenne comment est-ce que l'on peut rendre compte du terrain sur une
carte, encore une autre. Pour ça les questions d'identités, non les
numéros, sont The Good Way To Do May Be.
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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-05 Par sujet Pieren
2013/4/5 Ista Pouss ista...@gmail.com


 Que la collaboration avec l'administration aide à se valoriser, à
 travailler, à faire son mai 68 open data est une chose. Mais qu'on se mette
 à donner des leçons à cet administration en est une autre.


Quand je parle de serpent de mer, c'est au sein même de l'administration.
Un peu de lecture s'impose:
http://www.afigeo.asso.fr/documentation/category/12.html?download=463%3Aafigeo-gt-adresse-rapport-2011

Pieren
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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-05 Par sujet Christian Quest
Le sujet des adresses est revenu à de très nombreuses fois durant les
rencontres de l'Afigéo à Bordeaux (qui se terminent ce soir). Hier,
l'IGN a signé à ce sujet un partenariat avec PIGMA, la plateforme
d'échange d'infos géographiques d'Aquitaine.

Il y a aussi beaucoup d'infos à récupérer de la DGFiP car les adresses
figurent dans le cadastre vectoriel et de ce côté, il est bien
possible qu'on ai accès à court terme à diverses données vectorielles
du cadastre dans leur format d'origine (donc récupération de la voirie
et des adresses, voire de quelques POI ou même des parcelles ce qui
permet d'affiner les landuse).

-- 
Christian Quest - OpenStreetMap France
Synthèse du Week-end SOTM-FR à Lyon : http://openstreetmap.fr/synthese-sotmfr

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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-05 Par sujet Tony Emery
Pieren wrote
 Il y a aussi le serpent de mer de la base adresse unifiée. Parce que pour
 l'instant, chaque institution construit la sienne à grands frais (enfin,
 surtout aux frais des contribuables et des usagers).
 Mon rêve : une base adresse unifiée, publique, réutilisable librement et
 avec un code de voie vraiment unique adoptée par toutes les
 institutions.
 Vous avez dit trop simple ?

Je vais essayer d'être concis...

Effectivement, je ne suis pas d'accord avec ça et pour plusieurs raisons :
- une commune n'est pas l'administration française mais est une
*collectivité locale autonome*. A moins d'accord particulier, rien de permet
de croire que 2 communes puissent travailler de la même manière, qu'elles
soient voisines ou, pire encore, aux quatre coins de la France.
- Les communes ont des *moyens financiers et humains* très différents. Si
les grandes villes et les villes moyennes ont les compétences internes pour
gérer la voirie en référentiel unique, ce n'est pas forcément le cas pour
les petites villes et certainement pas le cas pour les 30.000 communes de
moins de 1.000 habitants (à vue de nez).
- Vous me direz, il y a les intercommunalités. Ce ne sont pas des
collectivités locales et n'ont aucun contrôle sur les communes de son
territoire. Elles n'ont pas forcément comme compétence la gestion de la
voirie et, si c'est le cas, cela ne concerne en général que la voirie dite
communautaire. La compétence voirie reste donc *essentiellement une
compétence communale*.

Là, je ne parle que de l'aspect création d'une base unique. Il reste le
problème de la maintenance de cette base unique. Et, là encore, la commune
est la source unique de l'information.
C'est bien pour tout cela que je parle de *référencement interne à la
commune de la voirie*. 

Croyez-moi, le sujet est loin d'être aussi simple. Il est complexe (pas
compliqué) mais c'est pour cela qu'il est intéressant...



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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-05 Par sujet Tony Emery
cquest wrote
 Il y a aussi beaucoup d'infos à récupérer de la DGFiP car les adresses
 figurent dans le cadastre vectoriel et de ce côté, il est bien possible
 qu'on ai accès à court terme à diverses données vectorielles du cadastre
 dans leur format d'origine (donc récupération de la voirie et des
 adresses, voire de quelques POI ou même des parcelles ce qui permet
 d'affiner les landuse).

Attention, il n'existe pas de données graphiques concernant la voirie dans
le cadastre de la DGFiP. Il s'agit, en fait, d'une couche d'étiquettes du
nom des voies qui sont positionnées dans les espaces entre les parcelles. Au
mieux, il y a une couche d'habillage qui correspond (pas toujours) aux
bordures de trottoir...



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http://gis.19327.n5.nabble.com/experimentations-a-Orange-tp5755270p5755901.html
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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-05 Par sujet HELFER Denis
Damned ! tu aurais des scoops avant la réunion du 9 ?
Gaël, au fait, si tu as des précisions sur le lieu exact du rendez-vous, je 
suis preneur.

Denis

-Message d'origine-
De : Christian Quest [mailto:cqu...@openstreetmap.fr] 
Envoyé : vendredi 5 avril 2013 14:52
À : Discussions sur OSM en français
Objet : Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

Le sujet des adresses est revenu à de très nombreuses fois durant les 
rencontres de l'Afigéo à Bordeaux (qui se terminent ce soir). Hier, l'IGN a 
signé à ce sujet un partenariat avec PIGMA, la plateforme d'échange d'infos 
géographiques d'Aquitaine.

Il y a aussi beaucoup d'infos à récupérer de la DGFiP car les adresses figurent 
dans le cadastre vectoriel et de ce côté, il est bien possible qu'on ai accès à 
court terme à diverses données vectorielles du cadastre dans leur format 
d'origine (donc récupération de la voirie et des adresses, voire de quelques 
POI ou même des parcelles ce qui permet d'affiner les landuse).



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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-05 Par sujet Ista Pouss
Le 5 avril 2013 14:42, Pieren pier...@gmail.com a écrit :



 Quand je parle de serpent de mer, c'est au sein même de l'administration.
 Un peu de lecture s'impose:

 http://www.afigeo.asso.fr/documentation/category/12.html?download=463%3Aafigeo-gt-adresse-rapport-2011


Ouais enfin bon merci de ne me donner que 30 pages de lecture sur les
serpents de mer dans l'administration, mais j'ai quelque mal à comprendre,
à la lecture (rapide, excuse moi) de ce document, comment est-ce que l'on
peut en conclure que l'adresse est un problème simple, quand bien même
l'administration est mal foutue.

... et sur mon opinion que OSM est trop orienté administratif, qu'en
penses-tu ? (sans me donner 30 pages de plus à lire).


-- 
Les dérives de rue :
Le papillon d’hiver (le film)http://drivrsdu.fr/le-papillon-dhiver-le-film/
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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-05 Par sujet Philippe Verdy
Le 5 avril 2013 14:58, Tony Emery tony.em...@yahoo.fr a écrit :
 problème de la maintenance de cette base unique. Et, là encore, la commune
 est la source unique de l'information.

C'est peut-être vrai pour les communes de taille raisonnable (disons
au moins 1500 habitants), mais aujourd'hui plus aucune des plus
petites communes rurales n'a les moyens ni la compétence de maintenir
seule ces données.

Et que pour des raisons pratiques évidentes, elles ont fait gérer leur
SIG depuis longtemps par des tiers (peut-être au départ via des
prestataires privés intervenant sur de nombreuses autres communes),
mais aujourd'hui plus souvent par l'EPCI dont elles sont membres (même
si l'EPCI peut ausssi faire appel à des prestataires externes, au
moins l'EPCI dispose de son SIG et a un accès directe et on contrôle
des données qui sont dedans).

Il me semble que de plus en plus la source des infos et leur
maintenance a été transférée aux EPCI qui disposent de plus de moyens
(et de personnels) avec au passage des économies d'échelle en terme de
coût. Et qu'en fin de compte il ne reste que les communes de taille
suffisante, avec des budgets suffisants (en hausse constante), à
encore gérer elles-mêmes leur propre SIG : ces communes seront de
moins en moins nombreuses et même si elles conservent encore un SIG,
une bonne partie de leur données seront toute de même transférées pour
être gérées par l'EPCI (même si la commune fournit de temps en temps
des données et y a un accès continu en cas de besoin).

C'est à l'occasion de ces transferts vers l'EPCI que des travaux
d'uniformisation sont entrepris, et qu'au passage les EPCI se
concertent aussi entre eux pour évaluer les solutions choisies (les
EPXI aussi veulent faire des économies d'échelle et n'ont probablement
pas envie de développer des solutions totalement propriétaires
incompatibles avec ce que font les autres). Au delà de ça, il y a
aussi les SIG des départements et régions qui eux aussi proposent
leurs solutions d'intégration.

Certes il n'y a pas encore d'uniformisation au plan national (avec des
agences partenaires au plan national comme l'Insee ou l'IGN, ou
interrégionales comme les agences de bassin, parfois aussi des agences
européennes ou des structures de coopération transfrontalières,
notamment pour les transports, l'environnement et le développement
touristique ou économique), mais on doit constater tout de même une
convergence progressive entre les différents modèles de représentation
des données entre les différents niveaux territoriaux jusqu'à l'Etat
lui-même, même si certaines agences ont des besoins spécifiques
supplémentaires qui sortent du cadre actuel des tentatives
d'uniformisation/normalisation, faute d'avoir d'autres acteurs
intéressés pour maintenir ces données spécifiques.

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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-05 Par sujet Pieren
2013/4/5 Ista Pouss ista...@gmail.com

  comment est-ce que l'on peut en conclure que l'adresse est un problème
 simple, quand bien même l'administration est mal foutue.


Quand je parle de simple, c'est par rapport à la simplification
administrative qui ferait qu'une seule autorité serait chargée de maintenir
une base unique. Elle pourrait bien-sûr être abondée par les créateurs
d'adresses (les communes) mais aussi pouvoir être corrigée et améliorée par
les institutions utilisatrices (INSEE, DGFiP, police, la poste, etc). Seule
la partie anonymisée serait publique et réutilisable. La partie nominative
serait plus facilement entretenue si elle était couplée à une obligation
légale de déclaration dominiliaire (se déclarer en mairie lors de
l'installation) comme pratiquement partout ailleurs en Europe.


 ... et sur mon opinion que OSM est trop orienté administratif, qu'en
 penses-tu ?


Je suis d'accord. Mes coups de gueule sur les références récurentes au code
INSEE en témoignent. Ou les noms des cantons qui sont aussi les noms des
villes et qu'on retrouve dans les résultas de recherche. Les contributeurs
moyens d'OSM sont trop éloignés de ce vocabulaire. Il faut faire attention
à ne pas se déconnecter du moteur du projet : le contributeur lambda. J'ai
cru comprendre qu'au dernier SOTM-fr, il n'y en avait pratiquement aucun.
C'est un danger qui gu

(sans me donner 30 pages de plus à lire).


J'ai bon ?

Pieren
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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-05 Par sujet Christian Rogel

Le 5 avr. 2013 à 17:36, Pieren a écrit :
 ... et sur mon opinion que OSM est trop orienté administratif, qu'en 
 penses-tu ?
 
 Je suis d'accord. Mes coups de gueule sur les références récurentes au code 
 INSEE en témoignent. Ou les noms des cantons qui sont aussi les noms des 
 villes et qu'on retrouve dans les résultas de recherche. Les contributeurs 
 moyens d'OSM sont trop éloignés de ce vocabulaire. Il faut faire attention à 
 ne pas se déconnecter du moteur du projet : le contributeur lambda. J'ai cru 
 comprendre qu'au dernier SOTM-fr, il n'y en avait pratiquement aucun. 


Je ne sais pas qui est trop orienté administratif, car, il me semble avoir 
parfois, contredit Pieren, sur des points marginaux qui tenaient à
l'acceptation sans contrôle des données de l'administration, dont la réputation 
de cohérence et de logique est parfois usurpée.

Tony faisait le distinguo entre collectivité publique autonome et 
administration de l'Etat.
C'est sur l'anarchie admistrative français qu'il met le doigt :
Les lois qui concernent l'environnement sont uniformes, malgré la diversité des 
climats et des écosystème, et, pourtant, t il semble admissible que les unités 
de
base n'aient pas un minimum de référentiel commun pour des questions qui n'ont 
rien de politique, sinon, d'énormes efforts pour maintenir l'inertie 
et la désorganisation.

Pour ce qui concerne, les références administratives, il est clair qu'il s'agit 
d'un débat qui ne concerne pas le supposé contributeur lambda.
Il peut, éventuellement, être concerné par un alourdissement d ela BDD, mais, 
c'est tout.

Ces références ou référentiels ne peuvent qu'être introduit que mécaniquement.

Le lieu naturel pour trancher, sous la forme d'une recommandation qui deviendra 
vite une norme, est OSM- France, la liste étant un outil pour
faire émerger les questions débroussailler les problèmes et indiquer les voies 
à suivre.

J'ignore ce que Pieren désigne par contributeur lambda. Cela s'oppose à 
contributeur non-lambda.
S'agit-il des codeurs, souvent appelés et inexactement  geeks dans le langage 
courant?
Il me semble que j'en ai rencontré quelques non-codeurs à SOTM-Fr, mais, moi 
qui ne code rien, j'étais content de discuter avec des gens qui
me parlaient de codage, en termes généraux, bien sûr.



Christian R. 

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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-05 Par sujet Guillaume Allegre
Le ven. 05 avril 2013 à 11:34 +0200, Pieren a écrit :
 2013/4/5 Tony Emery tony.em...@yahoo.fr
 
  Par conséquent, ces traçés, même si leur précision
  n'est pas bonne, est règlementée. Pour info, dans un document d'urbanisme
  approuvé, si le dessin d'une zone à été mal fait, qu'il coupe une parcelle
  alors qu'il ne le devrait pas, c'est quand même ce découpage qui est
  appliqué. Je pense donc, même si ce n'est pas juste, qu'il faut le laisser
  tel quel si l'on veut que les collectivités s'investissent dans OSM.
 
 
 Ce point est capital avec OSM. C'est la violation d'un principe de base du
 projet : les données doivent pouvoir être améliorées par les contributeurs,
 sinon elles n'ont pas leur place dans la base. Aucune donnée ne doit
 pouvoir être bloquée dans OSM sous prétexte d'officialité, encore plus si
 elles sont mauvaises.
 Je renverrais la lecture d'un fil de discussion de référence sur ce thème
 (en anglais) :
 http://lists.openstreetmap.org/pipermail/talk/2009-March/034948.html

Je plussoie entièrement Pieren sur ce point.

OSM ne doit pas devenir un dépôt où les institutions accepteraient de
verser leurs données à condition que personne n'y touche. 

OSM c'est du crowdsourcing avant tout ; l'open data est un complèment, 
bienvenu mais pas essentiel.
Il faut qu'on travaille au maximum pour intégrer l'open data dans OSM, mais si
on tombe sur un conflit entre les deux, OSM laissera tomber l'open data et 
privilégiera toujours le crowdsourcing.

Ce point est très important pour les discussions avec les collectivités, et 
il est non négociable, comme la licence.
En un mot : aucune donnée ne doit être verrouillée dans OSM.




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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-05 Par sujet Guillaume Allegre
Le jeu. 04 avril 2013 à 23:50 -0700, Tony Emery a écrit :

 En fait, je dois quand même vous alerter sur un points : les collectivité
 sont de plus en plus consciente de l'intérêt de gérer en interne une base
 exhaustive de leur voirie. Or, cela sous-entend de pouvoir identifier chaque
 voie de manière unique dès la création de cette voie, d'où, l'identifiant.
 Qu'avons nous comme identifiant voirie :
 - Rivoli : c'est un code créé et géré par la DGFiP
 - l'ID de la BDAdresse : idem pour l'IGN
 
 Il faut donc créer un identifiant interne dans la commune car la commune est
 la source de cette information.

Pas la peine de partir dans les rêves de Grande Unification, je pense qu'on
peut en déduire une chose : il faut que le schéma opendata utilisé accepte
plusieurs identifiants provenant de plusieurs bases différentes.

Donc, exit le ref:source=, et je ne vois pas d'autre solution que
le ref:FR:idbase=id

Je pense qu'on ne pourra pas se passer de l'identifiant DGFiP, puisque c'est 
déjà le référentiel pour les imports de cadastre (et qu'on peut espérer négocier
une seule fois pour toute la France, et pas commune par commune).
Bref, la DGFiP, c'est l'identifiant le plus utile à plus court terme.

Ensuite, rien n'empêche d'ajouter un identifiant par commune participante.

Et puis, dans dix ans, quand l'IGN aura vu la lumière (ou sera morte et 
enterrée) 
on pensera à mettre l'ID de la BDAdresse.


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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-03 Par sujet kimaidou
Bonjour,

Sur l'idée de la base tierce, en effet je me suis un peu emballé. Je
pensais à une application libre que chacun pourrait installer chez soi pour
gérer les liens entre OSM et ses données métiers, si elles sont privées.
Par contre, l'idée d'une base commune ferait encore sens pour les bases de
données métiers libres (par exemple celles en ODBL libérées via
l'opendata).

Je ne pensais pas forcément à une super api qui gère les flux. Pourquoi pas
à l'avenir. Mais dans un premier temps, une simple table qui stocke les
liens entre objets osm et objets métiers suffit. On peut ensuite utiliser
les outils comme osmWatch ou autre (à développer...) pour écouter les
diffs, vérifier s'ils concernent des liens, puis lancer les actions (rss
pour laisser manuellement, suppression automatique du lien, etc.). A noter
qu'il n'est pas obligé d'avoir une vraie base de données métiers. Ce
sytème fonctionnerait aussi bien sûr avec des fichiers de type CSV,
tableau, etc. Tant que des objets métiers ont un identifiant, on peut
créer un lien.

Au sujet de la base tierce qui doit connaître les objets osm et les
stocker chez elle, c'est vrai qu'il faut à un moment pouvoir lire les
liens, par exemple pour comparer la donnée. Mais je ne vois pas de souci
technique ici. On peut imaginer des outils
* qui aident à créer les liens
* qui aident à créer des données fusionnées via les liens (par exemple
prend moi la géométrie OSM et colle y les colonnes A, B et C de ma table
métier
* qui alertent les personnes lorsqu'une donnée a été supprimée ou modifiée
d'un côté ou de l'autre
* qui montre les liens avec un système sympa de double panneau, etc.

Bref c'est pas l'envie qui me manque, mais le temps en ce moment (je fais
du Lizmap à fond).

Bonne journée
Michael


Le 2 avril 2013 21:18, Guillaume Allegre allegre.guilla...@free.fr a
écrit :

 Le sam. 30 mars 2013 à 20:37 +0100, Guillaume Allegre a écrit :

 
  1) la boundary est une frontière de canton, qui coïncide avec un bout de
 la frontière communale
  (Orange / Caderousse)
  http://www.openstreetmap.org/?way=171243851 mais qui n'est pas
 confondue (points distincts)
  Selon moi, elle devrait être confondue, en tant que limite communale ET
 limite de canton.

 Sur ce premier point, tout le monde est d'accord pour la fusion ?

 À terme, si ce schéma se généralise, ça veut dire que les limites de
 communes seront également
 découpées selon les limites de bureaux de vote.
 Pas d'opposition ?


 
  2) le way polling_station a une résolution bien plus élevée (1 point par
 mètre dans les courbes),
  suivant les _anciens_ méandres de la Meyne, qui restent la limite
 communale comme ici :
  http://www.openstreetmap.org/?lat=44.08722lon=4.7789zoom=17layers=M
  A mon avis, c'est de la sur-résolution inutile,  mais ça se discute.

 Pas d'autre avis sur ce point ?


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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-03 Par sujet thevenon . julien
- Mail original -
 De: kimaidou kimai...@gmail.com

 Bonjour, 

 Sur l'idée de la base tierce, en effet je me suis un peu emballé. Je pensais 
 à une application libre que chacun pourrait installer chez soi pour gérer les 
 liens entre OSM et ses données 
 métiers, si elles sont privées. Par contre, l'idée d'une base commune ferait 
 encore sens pour les bases de données métiers libres (par exemple celles en 
 ODBL libérées via l'opendata). 

 Je ne pensais pas forcément à une super api qui gère les flux. Pourquoi pas à 
 l'avenir. Mais dans un premier temps, une simple table qui stocke les liens 
 entre objets osm et objets
 métiers suffit. On peut ensuite utiliser les outils comme osmWatch ou autre 
 (à développer...) pour écouter les diffs, vérifier s'ils concernent des 
 liens, puis lancer les actions (rss
 pour laisser manuellement, suppression automatique du lien, etc.). A noter 
 qu'il n'est pas obligé d'avoir une vraie base de données métiers

Bonjour,

Pour ce qui est d ecouter les diffs SODA fournit une infrastructure. La 
verification par rapport aux liens et les actions a prendre pourraient etre 
faites dans un plugin dedie

Julien

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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-02 Par sujet Christian Quest
Ce problème de multiplication des liens partant d'OSM vers des données
externes vient en fait de l'incapacité actuelle à faire des liens
pérennes pointant VERS OSM. Les ID des objets peuvent changer, les
objets peuvent être découpés (par exemple une route sera tronçonnée
pour l'enrichir en détails).

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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-02 Par sujet Vincent Pottier

Le 01/04/2013 20:08, kimaidou a écrit :

[...]


+1
Je crois que c'est en effet une telle base de données externe, à 
l'écoute des minutes diff qui permet à la fois :

* l'enregistrement de métadonnées tierces
* le monitoring par un tiers de données synchrones, problème soulevé 
voici quelques temps déjà : identification, acceptation de modification...


Il me semble que la structure de cette basse de données doit être 
relativement simple à concevoir.
La difficulté est plus, il me semble, sur la gestion de flux, 
particulièrement à la création de données ou à la synchronisation de 
données existantes.
Comment faire savoir à cette base ( va pour OSMLink, ou OSMSync ) que 
les nouveaux objets importés sont liés à un SIG externe et qu'elle doit 
enregistrer et éliminer les métadonnées avant l'intégration dans OSM ?
On a peut-être déjà des éléments avec l'instance fr de l'API qui agit 
comme interface, il me semble.
Je n'ai pas tout compris de la mécanique de Etherpad, mais il semble 
qu'il y ait des choses puissantes pour suivre les trois états des 
modifications, côté client : version utilisateur - version réseau, côté 
serveur : version réseau - version db.


Comment, aussi, rendre ce flux compatible avec l'API officielle ?
Genre : J'édite un objet sous Potlatch, ou autre éditeur, et j'ajoute le 
tag qui va bien pour dire que cet objet est lié à l'objet ID:* du SIG 
machin.
Sous JOSM, c'est facile (pour certains, pas pour moi !) de faire le 
plugin permettant de gérer cette extension d'OSM et de se connecter au 
serveur de synchronisation.


Je suggérai de préfixer ces tags de métadonnées par @. Ce type de 
convention m’apparaît d'autant plus précieux pour suivre un flux qui ne 
passerait pas par le serveur Sync. Le serveur le repérerait de toute 
façon par les minutes diff.

--
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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-02 Par sujet Ista Pouss
Le 2 avril 2013 09:42, Christian Quest cqu...@openstreetmap.fr a écrit :

 Ce problème de multiplication des liens partant d'OSM vers des données
 externes vient en fait de l'incapacité actuelle à faire des liens
 pérennes pointant VERS OSM. Les ID des objets peuvent changer, les
 objets peuvent être découpés (par exemple une route sera tronçonnée
 pour l'enrichir en détails).


Autant que je puisse comprendre les choses, d'un point de vue géographique,
ce n'est peut être pas très grave : il n'est pas sûr qu'il y ait quelque
chose, en géographie, ou du moins ce quelque chose n'apparait que du point
de vue d'une vision. Informatiquement parlant, on le définit à partir de
notions d'équivalence, ou d'identité, ou de similarités, enfin des choses
dans le genre. (en java, voir guava et leurs idées de hash ou de
equivalence).

Par contre, d'un point de vue base de données (puisqu'on raconte qu'osm
est une base de données), c'est assez étrange :-)

Ce qui me parait plus génant est, semble-t-il, l'absence de possibilités de
synchronisation, telle qu'en parle Vincent Pottier dans son message. On
peut aussi voir les choses sous la forme d'écoute ; j'ai rien vu de
pareil sur les apis d'osm, et c'est surtout ça qui est génant, ou dont il
faudrait discuter si je comprends pas.

Cordialement.
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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-02 Par sujet Philippe Verdy
Les id d'objets OSM peuvent changer en effet mais une chose est stable
: la géolocalisation. Si nécessaire on pourrrait utiliser dans la base
OSM des relations collections contenant un ID stable dans cette
collection (sous forme de rôle de type id:* dans la liste de ses
membres).
Ce qui permettrait de stabiliser dans OSM ces relations elles-mêmes
ayant un ID d'objet OSM stable, et en croisant avec l'id stable
présent dans le rôle pour trouver l'objet référencé qui peut changer.
Ces relations destinées à des applications externes pourraient avoir
un type particulier type=collection, et même être stockées dans un
espace de nommage propre à cette application externe utilisatrice, en
la liant à un compte utilisateur ou un compte d'application
enregistré. Ces collections pourraient s'autoorganiser entre elles.

Mais en général la plupart des applications utilisent pour se lier à
OSM la géolocalisation (coordonnées et niveau de zoom) et une
recherche, souvent par nom (via Nominatim par exemple) s'il faut être
plus précis. C'est ce que fait Wikipédia et d'une façon générale la
plupart des utilisateurs. Google Maps lui non plus ne fournit pas d'ID
stable mais permet de positionner des couches métiers par dessus la
couche Google, sans avoir besoin de se lier directement à elle.

Le but est donc moins de permettre à ses applications tierces de
retrouver où se situent dans la base les objets OSM, que d'indiquer
plutôt aux utilisateurs OSM comment trouver ces applications et
données tierces pouvant servir de référence ou d'enrichir et mettre à
jour les données OSM et de les vérifier. Afin d'avoir une idée de la
pertinence et l'exactitude des données OSM. C'est alors plus précis
que la seule mention de la source qui est souvent très vague, et c'est
le rôle donné aux tags ref:*=*.

Je reste persuadé qu'il n'y aura jamais beaucoup de ref:* pour
chaque objet OSM et que la plupart du temps il n'y en aura tout au
plus qu'un seul, le plus commun utilisé non seulement dans OSM mais
par plein d'autres applications qui utilisent la même source
d'informations (exemple : les réf. INSEE, ISO, Eurostat, les numéros
de référence régionaux, nationaux ou européens des réseaux de
transport). Et qu'aller vers un renforcement de la règle de nommage
des tags ref:* suffira. 

Le 2 avril 2013 09:42, Christian Quest cqu...@openstreetmap.fr a écrit :
 Ce problème de multiplication des liens partant d'OSM vers des données
 externes vient en fait de l'incapacité actuelle à faire des liens
 pérennes pointant VERS OSM. Les ID des objets peuvent changer, les
 objets peuvent être découpés (par exemple une route sera tronçonnée
 pour l'enrichir en détails).

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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-02 Par sujet Guillaume Allegre
Le lun. 01 avril 2013 à 20:08 +0200, kimaidou a écrit :
 Bonjour à tous
 
 On en avait déjà parlé avec Tony dès ses premières expérimentations. Pour
 tous ces cas là, je préférerais largement qu'une base de données externe
 s'occupe de gérer les liens entre identifiants. J'imagine un outil, qu'on
 pourrait appeler OsmLink (ou mieux), qui centraliserait l'ensemble de tous
 les liens entre identifiants, avec un schéma assez classique en base de
 donnée :
 
 Objet OSM  (osm_id) ---  OsmLink (osm_id, osm_type, id_table_externe,
 id_objet_externe )  - Table externe ( id_objet_externe)
 
 L'idée est de stocker le lien entre identifiants dans la table de lien, et
 ni dans OSM ni dans notre table métier. Ainsi on ne pollue ni notre table
 métier, ni notre table de lien, et cela permet

OK pour cette idée d'une base tierce, mais dans ta description je ne comprends
pas qui l'héberge.
Pour moi, c'est forcément du côté du SIG, puisque la base tierce doit 
connaître
à la fois les références SIG et les références OSM. Or OSM est publique, et le 
SIG
métier est privé.

Du coup je ne comprends pas :
 * de gérer autant de tables externes que souhaité : la base de donnée
 OsmLink serait alors un immense creuset de lien, qui serait administrée (et
 pourquoi pas versionnée aussi) comme la bdd OSM, avec une union des forces


En tous cas, c'est une idée intéressante, et il va bien falloir aboutir
à une solution si on veut accepter proprement les données OpenData qu'on nous
propose.


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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-02 Par sujet Guillaume Allegre
Le sam. 30 mars 2013 à 20:37 +0100, Guillaume Allegre a écrit :

 
 1) la boundary est une frontière de canton, qui coïncide avec un bout de la 
 frontière communale
 (Orange / Caderousse)
 http://www.openstreetmap.org/?way=171243851 mais qui n'est pas confondue 
 (points distincts)
 Selon moi, elle devrait être confondue, en tant que limite communale ET 
 limite de canton.

Sur ce premier point, tout le monde est d'accord pour la fusion ?

À terme, si ce schéma se généralise, ça veut dire que les limites de communes 
seront également 
découpées selon les limites de bureaux de vote.
Pas d'opposition ?


 
 2) le way polling_station a une résolution bien plus élevée (1 point par 
 mètre dans les courbes),
 suivant les _anciens_ méandres de la Meyne, qui restent la limite communale 
 comme ici :
 http://www.openstreetmap.org/?lat=44.08722lon=4.7789zoom=17layers=M
 A mon avis, c'est de la sur-résolution inutile,  mais ça se discute.

Pas d'autre avis sur ce point ?


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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-02 Par sujet Philippe Verdy
Le 2 avril 2013 21:18, Guillaume Allegre allegre.guilla...@free.fr a écrit :
 Le sam. 30 mars 2013 à 20:37 +0100, Guillaume Allegre a écrit :


 1) la boundary est une frontière de canton, qui coïncide avec un bout de la 
 frontière communale
 (Orange / Caderousse)
 http://www.openstreetmap.org/?way=171243851 mais qui n'est pas confondue 
 (points distincts)
 Selon moi, elle devrait être confondue, en tant que limite communale ET 
 limite de canton.

 Sur ce premier point, tout le monde est d'accord pour la fusion ?

 À terme, si ce schéma se généralise, ça veut dire que les limites de communes 
 seront également
 découpées selon les limites de bureaux de vote.
 Pas d'opposition ?

Non pas de moi. Je dirais plutôt l'inverse : que les bureaux de vote
ne peuvent pas s'étendre sur plusieurs communes et devraient couvrir
tout le territoire de de la commune, sans recouvrement ente eux, et
sans laisser aucune frange même ces franges sont inhabitées.

Les bureaux de vote sont établis sur la base des points d'adresses des
électeurs inscrits (que la commune géolocalise par le point d'accès à
cette adresse depuis la voirie publique indiquée dans l'adresse), ce
qui compte c'est juste l'adresse enregistrée, même si leur propriété
privée (éventuellement sur plusieurs parcelles disjointes) peut être
couverte par plusieurs bureaux de vote : au niveau du droit électoral
cela ne change rien, les étendues des propriétés privées (ou louées)
ne sont pas prises en compte.

En conséquence il n'est pas nécessaire d'avoir une granularité
territotriale très précise et en pratique les bureaux de vote sont
découpés sur les axes de rues ou entre les îlots habités, et la
plupart du temps ces limites de bureaux de vote réutiliseront donc des
tracés déjà existants d'objets réels (les rues) et administratives
(frontières communales ou d'arrondissement de commune), mais pas
toujours les frontières de quartiers au sens de l'aménagement ou de
certains services publics communaux, communautaires ou d'autres
collectivités territoriales ou de l'Etat (tels que l'assainissement,
la collecte des ordures, la carte scolaire, les services sociaux, les
commissariats de police ou gendarmeries, les espaces verts, les plans
de protection de l'urbanisme, les zones de prévention des risques,
etc...), mais ces tracés dans certains cas pourront tracer un grand
segment tout droit coupant un parc en deux (sans autre détail
concernant les limites exactes de parcelles).

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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-01 Par sujet kimaidou
Bonjour à tous

On en avait déjà parlé avec Tony dès ses premières expérimentations. Pour
tous ces cas là, je préférerais largement qu'une base de données externe
s'occupe de gérer les liens entre identifiants. J'imagine un outil, qu'on
pourrait appeler OsmLink (ou mieux), qui centraliserait l'ensemble de tous
les liens entre identifiants, avec un schéma assez classique en base de
donnée :

Objet OSM  (osm_id) ---  OsmLink (osm_id, osm_type, id_table_externe,
id_objet_externe )  - Table externe ( id_objet_externe)

L'idée est de stocker le lien entre identifiants dans la table de lien, et
ni dans OSM ni dans notre table métier. Ainsi on ne pollue ni notre table
métier, ni notre table de lien, et cela permet

* de gérer autant de liens qu'on veut.
* de gérer les problèmes levés par Tony : on peut lier plusieurs osm_id à
un objet métier et non faire comme fait actuellement Je prends l'osm_id
le plus petit de la route
* de gérer autant de tables externes que souhaité : la base de donnée
OsmLink serait alors un immense creuset de lien, qui serait administrée (et
pourquoi pas versionnée aussi) comme la bdd OSM, avec une union des forces

Bien sûr il faut créer/inventer/adapter des outils pour répondre aux
questions du type Que se passe-t-il si on supprime un objet d'OSM ?,
Comment créer le lien, etc.. Mais je pense qu'avec ce système, c'est
beaucoup plus simple de lister les liens qui sont orphelins d'un côté ou de
l'autre, et de créer ou adapter des applications (OsmWatch, etc.)

Bref, c'est un projet pas trop compliqué au niveau technique, il suffit de
se poser les bonnes questions et de mettre un premier prototype sur Github.
Je vois bien une interface graphique comme OsmFlickr, avec une carte, pour
créer facilement le lien entre mon tableau métier et des objets OSM.
Ce projet me tient à coeur depuis qu'on en a parlé avec Tony, mais je n'ai
toujours pas trouvé le temps ou les moyens de m'y mettre...

Michael
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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-04-01 Par sujet Philippe Verdy
N'est-ce pas la même chose que les tags ref:*=* actuels ? Sauf qu'il
suffirait de définiir une convention de nommage plus strict pour ces
ref:*=* (et éviter l'utilisation d'autres tags ne commençant pas par
ref: tels que les CLC_ID)..

Même dans une table séparée (ou une base séparée, ce qui ne change pas
grand chose topologiquement parlant, sauf que l'intégrité
référentielle n'est plus assurée entre les identifiants OSM et la base
séparée), on n'évitera pas une convention de nommage identique pour
les clés (à ceci près qu'il n'y a plus besoin alors de mettre le
préfixe ref: dans le nom de la clé : le problème est donc identique.

Si on utilise une table séparée de celle des tags, il faut alors
modifier le schéma XML des objets : c'est vaile pour les ways et
relations, mais cela va surcharger beaucoup pour référencer les
noeuds. L'intérêt toutefois serait de pouvoir télécharger les données
OSM sans avoir besoin de charger toutes les ref:* externes en tant que
tags. Cela peut se faire par un filtre de téléchargement précisant les
types de clés ref:* qu'on veut voir ou mettre à jour. Mais je ne suis
pas convaincu que cela apporte beaucoup de choses.

Plus utile toutefois serait de pouvoir ajuoter des métadonnées
suppélementaires pour certaines applications. Mais là encore c'est
soluble par une convention de classification entre les tags pouvant
être supporté par une convention de nommage des préfixes de clés. Mais
c'est là que cela devient intéressant : les préfixes à force de se
cumuler partout vont s'allonger et il faut les répéter pour tous les
tags de l'application métier, là où il suffirait d'avoir un seul objet
regroupant divers attributs et ayant leur propre id pour les
regrouper, et les référencer depuis un objet géographique. Mais là on
parle alors de développer une véritable topologie de types d'objets
avec des classes et sous-classes, les objets étant alors un peu
similaires aux objets javascript dans leur extensibilité et leur
flexibilité (mais avec sans doute un contrôle de typage plus strict :
qui voudra développer un système permettant de décrire un schéma
d'objets typés sous forme de hiérarchie de classes et sous-classes et
avec un contrôle des valeurs autorisées ou obligatoirement renseignées
? Et pourra-t-on créer un même objet qui référencera d'autres objets
(pas seulement le sous-classement hoérarchique des types, mais aussi
l'inclusion, les listes ordonnées ou ensembles non ordonnés, bornés en
taille ou pas ???

Est-ce qu'on ne s'éloigne pas trop d'une base géographique ?

Il me semble plus urgent de renforcer les conventions de nommage des
clés de tags et leur documentation pour les listes de valeurs
permises, et les outils automatiques pour des contrôles et des
corrections plus aisées et plus rapides.

Si le problème est la multiplication du nombre de tags par objet OSM,
des filtres pour le téléchargement pourraient être développés pour
éviter d'avoir à tous les charger. Cela peut se faire en ajoutant dans
la base une table de description et de classification des clés de tags
sous forme de collections de clés organisées de façon hiérarchique :
on télécharge alors les clés d'une collection donnée, plus celles de
la collection par défaut (pour compatibiité avec les clés existantes
qui ne sont pas encore décrites dans une collection).

Le 1 avril 2013 20:08, kimaidou kimai...@gmail.com a écrit :
 Bonjour à tous

 On en avait déjà parlé avec Tony dès ses premières expérimentations. Pour
 tous ces cas là, je préférerais largement qu'une base de données externe
 s'occupe de gérer les liens entre identifiants. J'imagine un outil, qu'on
 pourrait appeler OsmLink (ou mieux), qui centraliserait l'ensemble de tous
 les liens entre identifiants, avec un schéma assez classique en base de
 donnée :

 Objet OSM  (osm_id) ---  OsmLink (osm_id, osm_type, id_table_externe,
 id_objet_externe )  - Table externe ( id_objet_externe)

 L'idée est de stocker le lien entre identifiants dans la table de lien, et
 ni dans OSM ni dans notre table métier. Ainsi on ne pollue ni notre table
 métier, ni notre table de lien, et cela permet

 * de gérer autant de liens qu'on veut.
 * de gérer les problèmes levés par Tony : on peut lier plusieurs osm_id à un
 objet métier et non faire comme fait actuellement Je prends l'osm_id  le
 plus petit de la route
 * de gérer autant de tables externes que souhaité : la base de donnée
 OsmLink serait alors un immense creuset de lien, qui serait administrée (et
 pourquoi pas versionnée aussi) comme la bdd OSM, avec une union des forces

 Bien sûr il faut créer/inventer/adapter des outils pour répondre aux
 questions du type Que se passe-t-il si on supprime un objet d'OSM ?,
 Comment créer le lien, etc.. Mais je pense qu'avec ce système, c'est
 beaucoup plus simple de lister les liens qui sont orphelins d'un côté ou de
 l'autre, et de créer ou adapter des applications (OsmWatch, etc.)

 Bref, c'est un projet pas trop compliqué au niveau technique, il suffit de
 se poser les 

Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-03-31 Par sujet Pieren
2013/3/30 Vincent de Chateau-Thierry v...@laposte.net

 Avec le schéma ref:FR:code insee commune on pourrait se retrouver avec
 autant de clés que de communes, toutes signifiant grosso-modo la même chose
 : cette clé a pour valeur une référence interne à la commune XXX.


+1
Et quitte à me répéter, le code insee d'une commune est inconnu de la
plupart des gens, et donc des contributeurs moyens. OSM ne doit pas devenir
une affaire de spécialistes.

Pieren
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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-03-31 Par sujet Vincent Pottier

Le 30/03/2013 21:45, Vincent de Chateau-Thierry a écrit :


Ensuite : ref:orange : là, je pense qu'on a un problème à régler. 
orange n'est pas suffisamment
distinctif. Si toutes les communes du monde se mettent à utiliser le 
même schéma, on va multiplier

les conflits. Comment régler ça ?



Pour éviter d'avoir 36.000 tags ref:* distincts à terme (on peut 
rêver), je verrais plutôt un schéma générique sur 2 tags :


source=* (rien de nouveau ici)
ref:source=* ou source:internal_id ou toute autre formulation pour 
dire la même chose : mentionner l'identifiant unique utilisé par le 
fournisseur.


Dans l'exemple du way :
source=Mairie d'Orange 2012
ref:source=84087V99

Après tout, il ne s'agit pas d'un tag ref pour l'objet, que tout un 
chacun pourrait trouver sur le terrain, mais d'un tag ref qui n'existe 
que parce qu'une certaine source a été utilisée pour l'objet.


vincent

J'ajoute mon grain de sel...
Si le tag n'est pas une référence, une clef externe, comme ref:INSEE, 
ref:sandre, mais une métadonnée, il me semble qu'il serait bon de le 
suggérer d'une façon ou d'une autre.

Il me vient une idée : préfixer les métadonnées par un caractère spécifique.
J'avais pensé dans un premier temps à un underscore. Mais l'usage 
répandu en informatique est que les variables commençant par underscore 
sont des membres privés d'objet, ce qui voudrait dire, dans OSM, des 
tags internes à OSM.
Or, c'est l'inverse dans le cas présent. On veut créer une métadonnée 
pour une valeur externe à OSM. On peut utiliser l'arobase ?

La clef serait alors @ref:*
Voire même pas de mention de ref mais quelque chose du genre @INSEE:id 
(INSEE étant à remplacer par ce qui semblera le plus pertinent dans le 
reste de la discussion)
Ça va faire étrange au début ! Mais si la convention s'installe, ça 
deviendra plus familier de voir des tags @*.
Et ça permettra de repérer rapidement dans/par les éditeurs si c'est une 
info pertinente à éditer, modifier.
Ça permettrait de repérer rapidement dans les outils d'imports 
d'éliminer ce genre de métadonnées avec une expression régulière ultra 
simple.


Par ailleurs, mettre une telle info sur un objet ne simplifie pas pour 
autant la synchro OSM - SIG. En effet, l'absence d'objet portant 
l'identifiant SIG ne signifie pas pour autant que l'objet a été 
supprimé. L'objet peut avoir été seulement altéré sur la clef.

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FrViPofm

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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-03-31 Par sujet Guillaume Allegre
Le dim. 31 mars 2013 à 13:16 +0200, Pieren a écrit :
 2013/3/30 Vincent de Chateau-Thierry v...@laposte.net
 
  Avec le schéma ref:FR:code insee commune on pourrait se retrouver avec
  autant de clés que de communes, toutes signifiant grosso-modo la même chose
  : cette clé a pour valeur une référence interne à la commune XXX.
 
 
 +1
 Et quitte à me répéter, le code insee d'une commune est inconnu de la
 plupart des gens, et donc des contributeurs moyens. OSM ne doit pas devenir
 une affaire de spécialistes.

Je suis d'accord avec ta dernière phrase, mais ce n'est pas un argument ici.
Mettre un attribut destiné à la synchro OSM-SIG est bien une affaire de 
spécialiste.
Ça ne veut pas du tout dire que des contributeurs lambda ne pourront pas 
modifier l'objet,
simplement, ils ne toucheront pas ce tag là.

C'est tout-à-fait admissible d'avoir des attributs génériques compréhensibles 
de tout 
le monde et des attributs spécialisés sur le même objet. Et d'ailleurs c'est 
déjà la pratique 
courante : tout le monde peut ajouter un noeud natural=tree, mais il n'y a que 
les spécialistes
qui pourront préciser le taxon=...




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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-03-31 Par sujet Guillaume Allegre
Le sam. 30 mars 2013 à 23:46 +0100, Christian Quest a écrit :
 Si on se reposait les questions de base ?

Yep.

 
 A quoi servent ces ref:xxx ?
 
 Si il s'agit de maintenir un lien avec un jeu de données externes bien
 précis et d'une façon unique, il faut que la clé permettent d'identifier le
 jeu de données sans ambiguité et donc il faut qu'elle soit unique pour
 chaque jeu de données et un quelque chose du genre ref:insee:x me
 semble adapté.
 Ca donne en plus un lien vers le producteur de ce jeu de données x
 pouvant décrire une région, un département, un EPCI, une commune, voire
 même une entreprise par son SIREN/SIRET.
 
 Si par contre ces références ont un caractère plus global et qu'elles sont
 utilisables sans être liées à un jeu de données particulier, alors là il
 faut utiliser une clé qui elle aussi ne soit pas liée à un jeu de données.
 Si on veut identifier une référence qui serait par exemple donnée de façon
 homogène par un niveau administratif particulier, on pourrait envisager un
 ref:admin_level:xx=*


Faut demander à Tony ce qu'il pense en faire à long terme, mais il me semble 
qu'on
est clairement dans le 1er cas, là : maintenir un lien avec un jeu de données 
externes 
bien précis et d'une façon unique.



 Vous allez voir qu'on va y arriver aux linked data ;)

On peut même dire qu'on y est là, mais ça ne nous donne pas magiquement
la réponse à comment les intégrer au mieux dans le taggins OSM ?



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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-03-31 Par sujet Philippe Verdy
Le code INSEE des communes est pourtant une brique de base en France,
et est largement documenté... surtout il n'est pas du tout inconnu de
ceux qui justement vont chercher à faire des liaisons avec les bases
SIG externes (d'une ou plusieurs communes des données mais avec des
définitions géographiques différentes à cause de différence de
précision par exemple ou de non conflation de leur données pour ce qui
devrait être une seule et même entité dans OSM). Hors si dans OSM on
fait une conflation, impossible de retrouver à quoi cela correspondait
dans les SIG externes.
Il est très courant que les SIG pour divers services ne contiennent
pas la totalité des définitions géodésiques précises (notamment pour
les applications de type environnemental, comme la gestion des zones
de rammasage scolaire, la collecte des ordures ménagères, les zones de
protection d'espaces naturels ou de biotopes..., qui ne sont pas à 10
mètre près ni même souvent à 100 mètres près, comme peut l'être le
cadastre pour la gestion foncière et fiscale ou les plans d'urbanisme
ou d'équipement urbain).

Le 31 mars 2013 13:16, Pieren pier...@gmail.com a écrit :
 2013/3/30 Vincent de Chateau-Thierry v...@laposte.net

 Avec le schéma ref:FR:code insee commune on pourrait se retrouver avec
 autant de clés que de communes, toutes signifiant grosso-modo la même chose
 : cette clé a pour valeur une référence interne à la commune XXX.


 +1
 Et quitte à me répéter, le code insee d'une commune est inconnu de la
 plupart des gens, et donc des contributeurs moyens. OSM ne doit pas devenir
 une affaire de spécialistes.

Alors non je ne suis pas d'accord avec ton argument.

Le but des ref est justement de fournir des identifiants non ambigus à
des bases externes de référence (uniquement pour certaines données
mais pas toutes) qui ont chacune leur propres identifiants pas
toujours unifiés entre eux, le but de leur codification propre n'ayant
pas souvent à prendre en compte tous les détails d'une autre base
externe servant à gérer tout autre chose.

Dès lors qu'une ref externe n'est pas unique entre les bases, on se
doit de les qualifier pour qu'elles ne soient pas ambigues (en France,
seules les codification du COG sont unifiées par l'INSEE pour les
collectivités territoriales, pour le zonage urbain, et les
statiqtiques réglementaires, mais les SIG gèrent des tas d'autres
zonages non réglementés, au bon vouloir de chaque organisme et pas
unifiés au plan national).

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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-03-30 Par sujet Vincent de Chateau-Thierry

Bonsoir,

Le 30/03/2013 20:37, Guillaume Allegre a écrit :


1) la boundary est une frontière de canton, qui coïncide avec un bout de la 
frontière communale
(Orange / Caderousse)
http://www.openstreetmap.org/?way=171243851 mais qui n'est pas confondue 
(points distincts)
Selon moi, elle devrait être confondue, en tant que limite communale ET limite 
de canton.



oui, fusionner la portion commune


3) La relation 2649371 a des attributs bizarres :
- pas de nom
- un CANTON=Ouest pas documenté
- un ref=22 pas documenté non plus



S'agissant de l'extension géographique d'un bureau de vote, on peut 
concevoir qu'il n'ait pas de nom mais juste un n° (le tag ref).



4) la route http://www.openstreetmap.org/browse/way/195747326 a les attributs :
 highway = road
 addr:postcode = |84100
 ref:orange = 84087V99
En dehors de la typo sur le code postal avec le |, est-ce logique de mettre un 
code postal
sur une voie ? le wiki ne donne qu'un noeud ou une surface, et j'aurais 
tendance à le suivre
sur ce point.



Pas sûr que ce soit une typo, ça peut être la moitié d'une modélisation 
sur un seul champ (dans un SIG) :

code_postal à gauche | code postal à droite
Pas forcément heureux là où nous sommes plus habitués à des suffixes 
:left et :right, et donc à deux attributs au lieu d'un.
Mais la modélisation directement sur les ways est banale, quasi 
conventionnelle, chez les fournisseurs de BD de géocodage (IGN, TomTom  
co). Elle n'est pas documentée dans OSM, soit. Ça ne la rend pas 
invalide pour autant, et rien qu'en France, dans les quelques communes a 
CP multiples, ça se conçoit.



Ensuite : ref:orange : là, je pense qu'on a un problème à régler. orange 
n'est pas suffisamment
distinctif. Si toutes les communes du monde se mettent à utiliser le même 
schéma, on va multiplier
les conflits. Comment régler ça ?



Pour éviter d'avoir 36.000 tags ref:* distincts à terme (on peut rêver), 
je verrais plutôt un schéma générique sur 2 tags :


source=* (rien de nouveau ici)
ref:source=* ou source:internal_id ou toute autre formulation pour dire 
la même chose : mentionner l'identifiant unique utilisé par le fournisseur.


Dans l'exemple du way :
source=Mairie d'Orange 2012
ref:source=84087V99

Après tout, il ne s'agit pas d'un tag ref pour l'objet, que tout un 
chacun pourrait trouver sur le terrain, mais d'un tag ref qui n'existe 
que parce qu'une certaine source a été utilisée pour l'objet.


vincent

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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-03-30 Par sujet Philippe Verdy
Le 30 mars 2013 20:37, Guillaume Allegre allegre.guilla...@free.fr a écrit :
 3) La relation 2649371 a des attributs bizarres :
 - pas de nom
 - un CANTON=Ouest pas documenté
 - un ref=22 pas documenté non plus

En effet, on a un schéma déja existant et homogène utilisant le code
Insee complet du canton à 4 chiffres dans ref:INSEE=*. avec
boundary=political, political_division=canton,
name=Orange-Ouest, wikipedia=fr:Canton d'Orange-Ouest


 4) la route http://www.openstreetmap.org/browse/way/195747326 a les attributs 
 :
 highway = road
 addr:postcode = |84100
 ref:orange = 84087V99
 En dehors de la typo sur le code postal avec le |, est-ce logique de mettre 
 un code postal
 sur une voie ? le wiki ne donne qu'un noeud ou une surface, et j'aurais 
 tendance à le suivre
 sur ce point.

 Ensuite : ref:orange : là, je pense qu'on a un problème à régler. orange 
 n'est pas suffisamment
 distinctif. Si toutes les communes du monde se mettent à utiliser le même 
 schéma, on va multiplier
 les conflits. Comment régler ça ?

Pour les références relatives à Orange, ou semble-t-il plutôt son
EPCI, il serait plus utile d'indiquer ref:FR:EPCI=* (avec une
abréviation de l'EPCI) ou ref:FR:code insee de la commune=* (si
cela vient de la commune elle-même).

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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-03-30 Par sujet Guillaume Allegre
Le sam. 30 mars 2013 à 21:58 +0100, Philippe Verdy a écrit :
 Le 30 mars 2013 20:37, Guillaume Allegre allegre.guilla...@free.fr a écrit :
  3) La relation 2649371 a des attributs bizarres :
  - pas de nom
  - un CANTON=Ouest pas documenté
  - un ref=22 pas documenté non plus
 
 En effet, on a un schéma déja existant et homogène utilisant le code
 Insee complet du canton à 4 chiffres dans ref:INSEE=*. avec
 boundary=political, political_division=canton,
 name=Orange-Ouest, wikipedia=fr:Canton d'Orange-Ouest

Je reconnais que mon exemple était ambigu, mais la relation n'est pas un canton,
mais la limite d'un bureau de vote (numéro 22), qui appartient au Canton Ouest.

La question subsidiaire : vaut-il mieux avoir un nom 
Limite du bureau de vote n°22 (complètement redondant) ou rien ?


 4) la route http://www.openstreetmap.org/browse/way/195747326 a les attributs 
 :
  highway = road
  addr:postcode = |84100
  ref:orange = 84087V99
  En dehors de la typo sur le code postal avec le |, est-ce logique de mettre 
  un code postal
  sur une voie ? le wiki ne donne qu'un noeud ou une surface, et j'aurais 
  tendance à le suivre
  sur ce point.
 
  Ensuite : ref:orange : là, je pense qu'on a un problème à régler. orange 
  n'est pas suffisamment
  distinctif. Si toutes les communes du monde se mettent à utiliser le même 
  schéma, on va multiplier
  les conflits. Comment régler ça ?
 
 Pour les références relatives à Orange, ou semble-t-il plutôt son
 EPCI, il serait plus utile d'indiquer ref:FR:EPCI=* (avec une
 abréviation de l'EPCI) ou ref:FR:code insee de la commune=* (si
 cela vient de la commune elle-même).

Non, c'est bien la commune seule. Orange ne fait à ma connaissance toujours 
partie
d'aucune intercommunalité, principalement en raison du bord politique du maire 
(ex-FN)
depuis 1995.

Le ref:FR:code insee de la commune= * paraît rationnel, mais un peu aride.
Cela dit, pour un ref, ça peut passer.



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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-03-30 Par sujet Guillaume Allegre
Le sam. 30 mars 2013 à 21:45 +0100, Vincent de Chateau-Thierry a écrit :

 4) la route http://www.openstreetmap.org/browse/way/195747326 a les 
 attributs :
  highway = road
  addr:postcode = |84100
  ref:orange = 84087V99
 En dehors de la typo sur le code postal avec le |, est-ce logique de mettre 
 un code postal
 sur une voie ? le wiki ne donne qu'un noeud ou une surface, et j'aurais 
 tendance à le suivre
 sur ce point.
 
 
 Pas sûr que ce soit une typo, ça peut être la moitié d'une
 modélisation sur un seul champ (dans un SIG) :
 code_postal à gauche | code postal à droite
 Pas forcément heureux là où nous sommes plus habitués à des suffixes
 :left et :right, et donc à deux attributs au lieu d'un.

OK, merci, je n'y avais pas pensé.
C'est vrai que le bout de route traverse la frontière Caderousse/Orange,
qui est aussi une limite de code postal (84860/84100)  mais elle ne la suit pas.
Donc je ne sais pas si ton interprétation est la bonne.


 Mais la modélisation directement sur les ways est banale, quasi
 conventionnelle, chez les fournisseurs de BD de géocodage (IGN,
 TomTom  co). Elle n'est pas documentée dans OSM, soit. Ça ne la
 rend pas invalide pour autant, et rien qu'en France, dans les
 quelques communes a CP multiples, ça se conçoit.

OK ; ça fait sens. Mais dans ce cas, il faudrait que ce soit renseigné sur le 
wiki,
avec les variantes :left et :right.



 Ensuite : ref:orange : là, je pense qu'on a un problème à régler. orange 
 n'est pas suffisamment
 distinctif. Si toutes les communes du monde se mettent à utiliser le même 
 schéma, on va multiplier
 les conflits. Comment régler ça ?
 
 
 Pour éviter d'avoir 36.000 tags ref:* distincts à terme (on peut
 rêver), je verrais plutôt un schéma générique sur 2 tags :
 
 source=* (rien de nouveau ici)
 ref:source=* ou source:internal_id ou toute autre formulation pour
 dire la même chose : mentionner l'identifiant unique utilisé par le
 fournisseur.
 
 Dans l'exemple du way :
 source=Mairie d'Orange 2012
 ref:source=84087V99
 
 Après tout, il ne s'agit pas d'un tag ref pour l'objet, que tout un
 chacun pourrait trouver sur le terrain, mais d'un tag ref qui
 n'existe que parce qu'une certaine source a été utilisée pour
 l'objet.

Oui, mais cette façon de faire limite les possibilités d'édition ultérieures :
- un objet pourrait avoir plusieurs ref (par exemple un ref:insee et un 
ref:FR:code-commune)
- un objet peut avoir plusieurs sources : un SIG territorial à l'origine, puis 
une retouche par Bing
ou par le cadastre
et le source=Mairie d'Orange irait mieux sur le changeset
Du coup, ref:source me semble trop fragile.
Je pense que ref:FR:code insee commune comme proposé par Philippe Verdy est 
le plus sûr.


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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-03-30 Par sujet Vincent de Chateau-Thierry


Le 30/03/2013 22:35, Guillaume Allegre a écrit :

Le sam. 30 mars 2013 à 21:45 +0100, Vincent de Chateau-Thierry a écrit :


Ensuite : ref:orange : là, je pense qu'on a un problème à régler. orange 
n'est pas suffisamment
distinctif. Si toutes les communes du monde se mettent à utiliser le même 
schéma, on va multiplier
les conflits. Comment régler ça ?



Pour éviter d'avoir 36.000 tags ref:* distincts à terme (on peut
rêver), je verrais plutôt un schéma générique sur 2 tags :

source=* (rien de nouveau ici)
ref:source=* ou source:internal_id ou toute autre formulation pour
dire la même chose : mentionner l'identifiant unique utilisé par le
fournisseur.

Dans l'exemple du way :
source=Mairie d'Orange 2012
ref:source=84087V99

Après tout, il ne s'agit pas d'un tag ref pour l'objet, que tout un
chacun pourrait trouver sur le terrain, mais d'un tag ref qui
n'existe que parce qu'une certaine source a été utilisée pour
l'objet.


Oui, mais cette façon de faire limite les possibilités d'édition ultérieures :
- un objet pourrait avoir plusieurs ref (par exemple un ref:insee et un 
ref:FR:code-commune)
- un objet peut avoir plusieurs sources : un SIG territorial à l'origine, puis 
une retouche par Bing
ou par le cadastre
et le source=Mairie d'Orange irait mieux sur le changeset
Du coup, ref:source me semble trop fragile.
Je pense que ref:FR:code insee commune comme proposé par Philippe Verdy est 
le plus sûr.



Avec le schéma ref:FR:code insee commune on pourrait se retrouver avec 
autant de clés que de communes, toutes signifiant grosso-modo la même 
chose : cette clé a pour valeur une référence interne à la commune 
XXX. À l'extrême, 36.000 communes, 36.000 clés ? Je sais bien qu'on 
n'en arrivera pas là, je pousse juste la logique au bout. Et côté 
modélisation, autant de clés distinctes qui disent toutes la même chose, 
je trouve que ça fait beaucoup. Et dans ce scenario catastrophe, imagine 
le schéma de réutilisation, dans un modèle mis à plat comme le schéma 
standard d'osm2pgsql : 36.000 colonnes rien que pour la source...


Et c'est aussi, à sa manière, fragile. Quid de plusieurs sources issues 
de la même ville (on a facilement le cas sur les grandes villes) : la 
source des espaces verts, celle de la voirie, etc. Pour peu que les 
plages de valeurs se recoupent, le tag ref:FR:insee n'a plus de 
valeurs uniques dans la même ville, le bénéfice de tracer la source est 
perdu.


Ma proposition sur 2 tags a pour objectif, au moins, d'éviter la 
multiplicité des clés signifiant toutes la même chose. Je suis d'accord 
sur le fait que ça ne gère pas le multi-sources. Mais en même temps, 
est-ce que sur ces objets on n'est pas, quasi par principe, face à du 
mono-source ? Des objets issus d'un SIG communal, tracés comme tels, 
sont potentiellement maintenus côté OSM grâce au lien avec la base 
source, justement. Et si besoin, rien n'empêche d'aller un cran plus fin 
dans le détail, en sourçant chaque clé plutôt que l'objet dans sa 
globalité. On a déjà des paquets de source:addr:postcode et des 
source:ref:INSEE, sur le même principe.


vincent

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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-03-30 Par sujet Christian Quest
Si on se reposait les questions de base ?

A quoi servent ces ref:xxx ?

Si il s'agit de maintenir un lien avec un jeu de données externes bien
précis et d'une façon unique, il faut que la clé permettent d'identifier le
jeu de données sans ambiguité et donc il faut qu'elle soit unique pour
chaque jeu de données et un quelque chose du genre ref:insee:x me
semble adapté.
Ca donne en plus un lien vers le producteur de ce jeu de données x
pouvant décrire une région, un département, un EPCI, une commune, voire
même une entreprise par son SIREN/SIRET.

Si par contre ces références ont un caractère plus global et qu'elles sont
utilisables sans être liées à un jeu de données particulier, alors là il
faut utiliser une clé qui elle aussi ne soit pas liée à un jeu de données.
Si on veut identifier une référence qui serait par exemple donnée de façon
homogène par un niveau administratif particulier, on pourrait envisager un
ref:admin_level:xx=*

Vous allez voir qu'on va y arriver aux linked data ;)

-- 
Christian Quest - OpenStreetMap France
Synthèse du Week-end SOTM-FR à Lyon :
http://openstreetmap.fr/shttp://openstreetmap.fr/sotmfr2013ynthese-sotmfr
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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-03-30 Par sujet Philippe Verdy
Le 30 mars 2013 22:26, Guillaume Allegre allegre.guilla...@free.fr a écrit :
 Le sam. 30 mars 2013 à 21:58 +0100, Philippe Verdy a écrit :
 Le 30 mars 2013 20:37, Guillaume Allegre allegre.guilla...@free.fr a écrit 
 :
  3) La relation 2649371 a des attributs bizarres :
  - pas de nom
  - un CANTON=Ouest pas documenté
  - un ref=22 pas documenté non plus

 En effet, on a un schéma déja existant et homogène utilisant le code
 Insee complet du canton à 4 chiffres dans ref:INSEE=*. avec
 boundary=political, political_division=canton,
 name=Orange-Ouest, wikipedia=fr:Canton d'Orange-Ouest

 Je reconnais que mon exemple était ambigu, mais la relation n'est pas un 
 canton,
 mais la limite d'un bureau de vote (numéro 22), qui appartient au Canton 
 Ouest.

Oui mais le nom donné semble indique que le bureau 22 correspond en
fait à la même chose que la fraction du canton sur le territoire de la
commune. Hors un bureau de vote est très souvent beaucoup plus petit
qu'un canton ou même qu'une fraction cantonale. Donc le nom donné
Canton Ouest était bien ambigu. Et devait bien indiquer bureau de
vote n° 22 même s'il appartient à la fraction du canton
d'Orange-Ouest sur le territoire de la commune d'Orange.

A l'heure actuelle, il n'y a pas de schéma défini pour les bureaux de
vote, mais si un schém s'impose cela devrait rester une subdivision du
canton dans un autre type de subdivision pour boundary=political. [Il
me semble qu'au Royaume-Uni il y a des définitions pour les polling
areas.]

 La question subsidiaire : vaut-il mieux avoir un nom
 Limite du bureau de vote n°22 (complètement redondant) ou rien ?

Pas redondant, mais en tout cas ne pas faire de confusion avec les
limites de cantons, et tant que la carte des bureaux de vote de la
commune ou du canton n'est pas complètement établie, il est prématuré
de vouloir faire une conflation des limites de ces bureaux de vote
avec les frontières de communes ou de cantons.

[
Il me semble qu'aucun bureau de vote, pour les élections au suffrage
universel, ne peut couvrir des territoires de communes différentes ni
de cantons différents, ni de circonscriptions législatives
différentes, ni de circonscriptions régionales ou européennes
différentes, car ce sont les communes qui ont la charge de les
organiser (à défaut de moyens, c'est le préfet du département qui
fournit les moyens dans la commune pour ses électeurs) ; la question
ne se pose pas pour les circonscriptions sénatoriales puisque pour les
sénatoriales les votes ne sont pas organisés par les communes mais par
les départements, pour les électeurs élus territoriaux, ou par les
régions pour les électeurs élus régionaux, par le biais su suffrage
indirect qui fonctionne très différemment et n'est pas lié directement
aux territoire de vie des citoyens électeurs
Mais ces bureaux de vote ne sont pas des subdisivions administratives,
et devraient rester dans des boundary=political avec un type
différent pour political_subdivision.
].

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Re: [OSM-talk-fr] expérimentations à Orange

2013-03-30 Par sujet Philippe Verdy
Le 30 mars 2013 23:14, Vincent de Chateau-Thierry v...@laposte.net a écrit :

 Le 30/03/2013 22:35, Guillaume Allegre a écrit :

 Le sam. 30 mars 2013 à 21:45 +0100, Vincent de Chateau-Thierry a écrit :

 Ensuite : ref:orange : là, je pense qu'on a un problème à régler.
 orange n'est pas suffisamment
 distinctif. Si toutes les communes du monde se mettent à utiliser le
 même schéma, on va multiplier
 les conflits. Comment régler ça ?


 Pour éviter d'avoir 36.000 tags ref:* distincts à terme (on peut
 rêver), je verrais plutôt un schéma générique sur 2 tags :

 source=* (rien de nouveau ici)
 ref:source=* ou source:internal_id ou toute autre formulation pour
 dire la même chose : mentionner l'identifiant unique utilisé par le
 fournisseur.

 Dans l'exemple du way :
 source=Mairie d'Orange 2012
 ref:source=84087V99

 Après tout, il ne s'agit pas d'un tag ref pour l'objet, que tout un
 chacun pourrait trouver sur le terrain, mais d'un tag ref qui
 n'existe que parce qu'une certaine source a été utilisée pour
 l'objet.


 Oui, mais cette façon de faire limite les possibilités d'édition
 ultérieures :
 - un objet pourrait avoir plusieurs ref (par exemple un ref:insee et un
 ref:FR:code-commune)
 - un objet peut avoir plusieurs sources : un SIG territorial à l'origine,
 puis une retouche par Bing
 ou par le cadastre
 et le source=Mairie d'Orange irait mieux sur le changeset
 Du coup, ref:source me semble trop fragile.
 Je pense que ref:FR:code insee commune comme proposé par Philippe Verdy
 est le plus sûr.


 Avec le schéma ref:FR:code insee commune on pourrait se retrouver avec
 autant de clés que de communes, toutes signifiant grosso-modo la même chose
 : cette clé a pour valeur une référence interne à la commune XXX. À
 l'extrême, 36.000 communes, 36.000 clés ? Je sais bien qu'on n'en arrivera
 pas là, je pousse juste la logique au bout. Et côté modélisation, autant de
 clés distinctes qui disent toutes la même chose, je trouve que ça fait
 beaucoup. Et dans ce scenario catastrophe, imagine le schéma de
 réutilisation, dans un modèle mis à plat comme le schéma standard
 d'osm2pgsql : 36.000 colonnes rien que pour la source...

Là tu pousses à l'extrême car ces clés ne sont pas destinées à devenir
des features au sens OpenGIS, mais des métadonnées à distinguer
parmi celles pouvant renseigner un objet GIS.

Hors on se retrouvera vite avec des clés fournies ou référencées par
deux collectivités différentes, par exemples sur les voiries partagées
par deux communes (ou plus). Si chacun a sa propre référence dans son
SIG, on fait comment ? Même si une seule des sources a été utilisée
(les autres sont d'accord sur le tracé, il n'y a pas d'ambiguité que
c'est bien le même objet référenc, chaque source devrait pouvoir faire
le lien avec son propre système de référence, car il n'y a pas
garantie que les références utilisées par un SIG soient les mêmes que
celle du SIG voisin (à moins qu'il y ait une convention commune
adoptée entre les collectivités pour qu'elles utilisent la même
référence interne pour faciliter les échanges entre les
collectivités).

Si ces collectivitées sont deux communes d'une même EPCI, elles se
mettront d'accord avec le SIG de l'EPCI qui fera la lien. Mais il
restera tout de même encore des liaisons à faire entre les SIG de deux
EPCI différents, ou d'un EPCI et d'une commune hors EPCI. Ces communes
peuent être aussi dans un autre département ou une autre région.

Quand je proposais ref:FR:numéro insee = *, il était évident qu'on
pouvait y mettre toute référence insee : un département à deux
chiffres/lettres, une commune à 5 chiffres, mais si nécessaire on doit
pouvoir être plus précis et indiquer le type de collectivité :
- ref:FR:région:numéro insee = *
- ref:FR:département:numéro insee = *
- ref:FR:commune:numéro insee = *
- ref:FR:EPCI:numéro insee = *

Si au sein de la même collectivité il peut y avoir plusieurs sources
utilisant des numéros de référence différents (service des espaces
verts d'une commune par exemple), on peut sous-qualifier:
- ref:FR:EPCI:numéro insee:esp-verts = *

Note: les références nationales pour désigner les territoires entiers
des collectivités elles-mêmes (ou autres subdivisions administratives
voire aussi les cantons) restent:
- ref:INSEE = numéro INSEE

Les académies pourraient avoir leurs propre références pour les
établissements qu'elles gèrent:
- ref:FR:académie:Nom=*

Chacun a sa clé de référence pour faire la liaison avec son SIG.

Idem pour les régions militaires (mais là je pense qu'on n'a pas accès
aux références internes, et que c'est géré en fait par le ministère de
la défense, y compris pour les gendarmeries)

 Ma proposition sur 2 tags a pour objectif, au moins, d'éviter la
 multiplicité des clés signifiant toutes la même chose.

Cela ne multiplie pas les clés. Les ref:* ne sont pas des features
au sens GIS se ne sont que des métadonnées attachées en complément à
un autre feature.

Et les ref indiquées ne sont pas non plus nécessairement les